Les Bretons sont catalogués comme étant des ivrognes. En Basse-Bretagne, dans les manifestations collectives, comme les foires, les pardons et les marchés, les classes sociales populaires boivent des boissons fortes (eau-de-vie) dans la même logique que le binge drinking d'aujourd'hui.
Des documents datant du XIXe siècle présentés dans l'exposition montrent ainsi que la première cuite était un passage obligé chez les jeunes Bretons, une sorte de rite initiatique. Au XXe siècle, la consommation d'alcool se développe alors un peu partout en France, et notamment en Bretagne.
Le chouchen : l'alcool breton par excellence
Autrefois appelé « souchen », le chouchen est l'alcool breton par excellence, le plus connu et réputé. Cette boisson bretonne alcoolisée liquoreuse à la couleur ambrée est obtenue par la fermentation du miel dans l'eau.
En Bretagne
Mais les consommations hebdomadaires sont très largement supérieures aux moyennes, notamment pour les 18-30 ans (43,5 % contre 32,5 %). La Bretagne détient le record national d'expérimentation de l'alcool par les jeunes de 17 ans (93,7 %).
Bières, cidres, whisky et chouchen distillent toute la force et le caractère des terres armoricaines. Dans les cidreries, brasseries et distilleries, partagez les arômes et les secrets de fabrication de ces alcools régionaux lors d'une dégustation chez le producteur.
La crêpe c'est LE plat emblématique de Bretagne. A la crêperie ou sur le pouce en flânant au marché, on se laisse toujours tenter par une crêpe chaude et moelleuse, petit... Sous forme de grains ou de farine, le sarrasin a bon sur toute la ligne !
Yec'hed mat signifie « bonne santé » en breton.
Le c'h de « yec'hed » est une lettre exclusivement bretonne et se prononce comme un « r » français, un « j » espagnol ou un « ch » allemand.
Seules la Martinique (47,7%) et la Guyane (43,4%) font pire. Signe d'une sensibilisation plus forte au fléau ? Les jeunes adultes des Hauts-de-France sont significativement plus tempérants, avec seulement 23,2% d'entre eux à boire au moins une fois par semaine.
La Loire-Atlantique a été séparée administrativement de la région Bretagne par un décret signé le 30 juin 1941 par le Maréchal Pétain... lequel aurait pourtant préféré une Bretagne historique à cinq départements.
En Bretagne, dans les Côtes-d'Armor par exemple, il n'y a pas de sources montagneuses et peu de nappes phréatiques. Il faut donc chercher l'eau en surface. Alors, forcément, cela coûte plus cher à traiter et à récupérer, d'où un prix plus élevé de 5,74 euros le m3 (voir infographie ci-dessous).
Poch. C'est le mot pour alcoolique ou ivrogne.
Comme les autres langues celtiques actuelles, le breton provient historiquement des îles britanniques. Il est également apparenté au gaulois, langue aujourd'hui éteinte qui se parlait au début de notre ère dans une bonne partie de l'Europe occidentale (Belgique, France, Suisse, Nord de l'Italie).
Le chouchen
Elle est issue de la fermentation du miel plus connue sous le nom d'hydromel. Le chouchen est également appelé «chemillard» ou «chamillard» en Haute Bretagne. Cet alcool (13% vol.) à la robe dorée se consomme frais en apéritif ou digestif.
Ce seraient les classes bourgeoises qui voyaient dans la couleur noire une couleur plus chic, plus élégante, qui auraient inspiré les classes populaires à s'habiller en noir. Mais l'évolution du costume tient également du contexte de l'époque. Les juges et autres personnalités de haut rang portaient tous du noir.
Les Bretons sont fondamentalement attachés à leur région, c'est la principale raison de leur bonheur. Le cadre de vie est mis en avant par 6 personnes sur 10, avec l'exemple le plus souvent cité des paysages.
Cette animosité est née de la volonté des uns et des autres de se coloniser. Au début du IXème siècle, les Vikings envahissent la Normandie et ont pour objectif d'étendre leur territoire. Les premiers coups d'épée sont échangés avec les Bretons et peu à peu, ces hommes du Nord envahissent la péninsule.
Le premier, « purement négatif », consiste à souligner le caractère artificiel de la région des Pays de la Loire. Le deuxième argument renvoie à l'histoire et à l'appartenance ancienne de Nantes au duché de Bretagne. Le troisième argument porte sur le souci de préserver et développer l'identité bretonne de Nantes.
Le roi de France, Charles VIII, aurait contraint la duchesse Anne de Bretagne à l'épouser, afin de rallier la région au reste du territoire. Contre son gré, Anne de Bretagne aurait accepté, mais à une condition : les Bretons doivent pouvoir circuler gratuitement et librement, sans payer d'impôt.
Depuis, la Bretagne est française et Nantes est une ville bretonne au même titre que Rennes et Vannes. D' ailleurs, aujourd' hui, la préfecture de Nantes occupe la chambre des comptes de Bretagne d' autrefois.
Et notamment la Bretagne, où le taux des "alcoolisations ponctuelles importantes" (six verres d'alcool ou plus lors d'une unique occasion) est le plus élevé de France : plus de 20 % des adultes boivent ainsi de manière excessive tous les mois, contre 16,2 % dans l'ensemble de la France.
Si, avec les Hauts-de-Seine et Paris, l'Île-de-France comprend les départements bénéficiant des plus hauts niveaux de vie, la Seine-Saint-Denis présente, elle, le plus bas niveau de vie médian (17 740 euros) des départements métropolitains et le taux de pauvreté le plus élevé (28,4 %) (figure 2).
Ainsi, les hommes et les femmes apparaissent inégaux devant l'alcool. En effet, à poids et consommation égaux, le taux d'alcoolémie d'une femme est 1,2 fois supérieur.
Muiañ-karet : Mon bien aimé Hollgaret : Chéri(e) Ma ael : Mon ange. Ma kalon : Mon cœur.
L'indispensable “je t'aime” se dit “da garan”. Et comme on dit en breton, n'eus netra kreñvoh eged ar garantez (rien n'est plus fort que l'amour).