Aujourd'hui, il s'agit d'une technique surtout utilisée par les chanteurs, lors des concerts, pour éviter les imprévus, avoir la qualité de son d'un studio d'enregistrement, permettre d'effectuer des mouvements irréalisables en chantant (chorégraphies notamment), masquer une incompétence artistique, ou pour dissimuler ...
Le playback permet une économie de voix pour les artistes, leur permettant d'assurer la pérennité de l'ensemble de leurs concerts. Autre cas de figure : le playback forcé. En effet, certains plateaux télé exigent de la part des artistes de chanter et/ou de jouer en playback à cause de contraintes techniques.
Alors comment les repérer? "Il faut être attentif à leurs gestes: ils collent leur bouche au micro et ne cessent de prendre des poses théâtrales, le visage baissé. Ils commencent la chanson le dos tourné, ou dans l'obscurité, ou dans les fumigènes. Car c'est surtout à l'attaque du morceau qu'on repère le playback.
Avec des in-ear monitors, chaque interprète reçoit un signal propre et stéréo, dont il peut ajuster le volume à sa guise. Avec des systèmes de retour plus sophistiqués il est même possible de créer son propre mix, c'est-à-dire baisser le volume de tel ou tel signal (instrument, voix, etc).
(Faux anglicisme) Technique de synchronisation labiale qui consiste à faire semblant de chanter ou de jouer d'un instrument de musique, avec l'aide d'un enregistrement remplaçant le son qui devrait normalement être produit par cette activité simulée.
Les playback peuvent-être modifiés via une station audionumérique sur laquelle sont enregistrées plusieurs pistes voix. L'ingénieur du son peut ainsi manipuler à sa guise la bande-son d'un artiste (tonalité de voix, remplacement d'une prise de voix) pour en personnaliser la prestation.
En 1972, Nippon Columbia met au point une avancée technologique cruciale, puisque grâce à son « voice-changer », la piste vocale peut être supprimée sur un enregistrement, créant ainsi un playback sur lequel le chanteur peut interpréter la chanson.
Réponse du Guichet. Réponse du Département Musique : La main sur l'oreille fait l'effet d'un cornet, et leur sert à mieux entendre leur propre voix, afin de l'harmoniser au mieux avec les autres. Ce geste agit comme un 'retour' naturel.
« On commence généralement par répéter a cappella, en avançant par bloc. À chaque fois, c'est le début qui va donner la clé. Si vous avez les premiers mots, le reste va s'enchaîner. » Pour cela, l'artiste va évidemment s'appuyer sur la musicalité du morceau. « On n'écrit pas pour être lu, mais pour être entendu.
Un système In-Ear ou IEM (In-Ear Monitor en anglais) est un système auditif se plaçant dans l'oreille et permettant aux musiciens d'avoir un retour audio en concert. L'IEM apparaît dans le milieu des années 1990 et permet de remplacer les retours sous forme d'enceintes.
Qualités requises pour devenir chanteur
Il faut chanter juste. Au-delà de la technique, le chanteur a su développer une sensibilité artistique personnelle qui le singularise vis-à-vis des autres. Le chanteur se caractérise généralement par sa créativité et son inventivité.
Se dit d'un spectacle, d'une émission ou d'un disque enregistrés non pas en studio mais sur une scène devant un public.
L'univers sonore est en effet d'emblée émotionnel, parce que la fonction naturelle des sons, pour l'être vivant, est une fonction d'alerte. Ils l'informent sur ce qui se passe, ils éveillent à chaque instant son système d'alarme biologique. Ces changements permanents de l'état du monde sont la source de toute émotion.
Les chansons touchent aux mémoires individuelles et collectives. Et si certains morceaux ont un tel pouvoir fédérateur, c'est aussi parce qu'ils font appel "à la mémoire collective" poursuit Barbara Butch. "On est ensemble autour de musiques qui ont marqué des moments de nos vies.
Si certains contenus ne sont pas disponibles, c'est probablement parce que les accords avec les artistes, les labels ou les détenteurs de droits sont en cours. Les droits de propriété peuvent également changer de titulaire.
« Bravo. Magnifique spectacle. » « Effectivement le spectacle de dimanche était encore un vrai moment de bonheur.» « Sincères bravos et remerciements ! »
Introduire des éléments de jeu ou encore de compétition peut rendre le processus d'apprentissage plus motivant. Par exemple, chronométrez-vous en train de réciter les paroles de la chanson que vous souhaitez connaître par cœur et essayez de battre votre record.
Mieux mémoriser avec la technique de la répétition espacée
Pour apprendre plus facilement le texte d'une chanson, nous vous conseillons de le découper en plusieurs parties. Commencez par lire et disséquer le texte pendant 5 minutes. Une heure plus tard, relisez-le plusieurs fois.
La main contre l'oreille forme un creux, cela permet au chanteur d'avoir un retour du son, et de pouvoir vérifier que ses harmoniques sont justes. Mais pourquoi se boucher l'oreille ? Justement, c'est l'impression que l'on a, mais aucun chanteur ne se bouche l'oreille !
Il existe deux raisons à cela. D'abord, notre mémoire musicale est très solide. Alors que la mémoire des mots est seulement encodée par l'hémisphère gauche de notre cerveau, la musique, elle, est enregistrée dans les deux lobes temporaux. Elle persiste donc plus longtemps.
Pourquoi les chanteurs portent-ils souvent une oreillette quand ils chantent ? Les oreillettes servent de "retour" c'est à dire d'une source sonore qui leur renvoie le son dont ils ont besoin pour se situer parmi les autres musiciens.
En japonais, il signifie “orchestre vide ou absent”. C'est le Philippin Roberto del Rosario qui s'est vu finalement délivrer des brevets en 1983 et 1986 pour un appareil que l'on connaît sous le nom de “système de karaoké”.
C'est l'assemblage de deux mots japonais : kara (qui signifie vide) et okesutora (qui signifie orchestre) qui a donné le mot karaoke (littéralement orchestre vide) car le participant peut chantonner à volonté sans avoir besoin d'un orchestre ou de vrais musiciens pour accompagner sa prestation.
Les Grecs sont le premier des peuples à théoriser la musique. C'est Pythagore qui crée les premières théories d'un système musical comportant sept notes.