En premier lieu, s'abstenir de consommer de la viande est une pratique d'humilité, qui se manifeste de manière particulièrement marquante dans une société médiévale qui considère cet aliment comme le premier et le meilleur de tous et comme un véritable symbole de pouvoir.
Pour ce jour de la mort du Christ, l'Église demande à ses fidèles de “faire maigre” lors des repas le vendredi et plus particulièrement le Vendredi saint. Ils doivent donc s'abstenir d'aliments riches comme la viande en mémoire du sacrifice de Jésus et dans une démarche de pénitence.
Manger de la viande ne fait pas seulement du mal aux animaux, mais également à vous-même ! Consommer de la chair animale implique un risque pour la santé humaine, notamment de graves conséquences sur le système digestif et l'augmentation du risque de contracter une maladie mortelle.
« Et le vendredi saint, en mémoire du sacrifice de Jésus-Christ, les Chrétiens ont coutume de manger maigre et de s'abstenir de consommer de la viande, le poisson venant ainsi se substituer à ces aliments.
L'absence d'interdits alimentaires
Le christianisme se présente aujourd'hui comme n'ayant pas d'interdits dans le domaine alimentaire. Simplement il encourage ses fidèles à se méfier des voluptés charnelles, celles de la table comme celles du sexe, et à se tourner tout entiers vers les joies spirituelles.
Sikhisme. Le refus de consommation de viande halal est un des interdits que tous les sikhs doivent suivre.
Le jeûne est une pratique courante dans l'Église catholique, où il est considéré comme une pratique de pénitence qui permet de prendre conscience de ses manquements et de se rapprocher de Dieu (voir Matthieu 4, 2 ; Luc 4, 1-4).
La croix est le principal symbole du christianisme. Considérée de nos jours comme l'image du gibet de la Crucifixion du Christ, elle appartient à une symbolique plus ancienne.
Il est interdit de consommer des aliments non maigres, c'est-à-dire les laitages, les œufs ainsi que la plupart des viandes. De même, il n'est pas autorisé de manger entre les repas. Pendant le Carême, les fidèles doivent jeûner le mercredi des Cendres et le vendredi Saint (le vendredi précédent le dimanche de Pâques).
Un inconfort digestif fréquent mais passager. Le temps que la flore intestinale s'ajuste à ce changement de régime, des ballonnements importants, des flatulences voire même des spasmes digestifs peuvent apparaître. Ces inconforts sont d'autant plus sérieux que l'arrêt de la viande est brutal.
Non, il n'est pas indispensable de manger de la viande pour être en bonne santé A rebours des affirmations du ministère de l'agriculture, le consensus scientifique estime que les enfants peuvent grandir en bonne santé sans manger de la viande.
Les animaux qui ne possèdent pas ces caractéristiques ou qui n'en possèdent qu'une : ainsi, le chameau qui est ruminant mais qui n'a pas de sabot fendu, le porc qui n'est pas ruminant mais qui a un sabot fendu, le lièvre qui rumine mais qui n'a pas de sabot, sont-ils interdits.
L'objectif du Carême est de "préparer son cœur à Pâques en pratiquant l'ascèse (un ensemble d'exercices moraux et physiques destinés à libérer l'esprit)", selon le site de l'Église catholique. Par le silence et la privation, les fidèles sont censés se recentrer sur eux-même et être plus réceptifs à la parole de Dieu.
Le poisson, Ichthus en grec, est un symbole chrétien à double sens. Il signifie le Christ et la vie en abondance promise aux chrétiens mais aussi le chrétien romain lui-même : les chrétiens étaient appelés les pisci : les poissons, les vivants.
Dieu le Père et Jésus.
Elle symbolise bien entendu la mort, mais aussi l'ironie de la religion, et une certaine beauté. Ceux qui la portent à l'endroit la prennent simplement comme une "critique". Ceux qui la portent à l'envers sont à la base des "révoltés", les anti-religieux, ceux qui sont agressifs vis-a-vis des croyances chrétiennes.
Un crucifix consiste en l'image de Jésus attaché à la croix, souffrant, parfois mort. La croix, qui présente deux morceaux de bois liés, renvoie à l'outil de torture et de mise à mort utilisé dans l'Empire romain et sur lequel Jésus a perdu la vie.
Le Carême tire ses origines d'un épisode biblique : la tentation du Christ. D'après les Evangiles, peu après son baptême (vers l'âge de 30 ans), Jésus a passé quarante jours de jeûne dans le désert de Judée, à l'est de Jérusalem. Là, le Diable lui serait apparu pour le tenter.
Dans les passages cités du Lévitique, l'impureté de la lèpre sur une étoffe, sur les murs d'une maison, ou sur la peau d'une personne s'oppose en ce sens à une tache ou une lésion qui seraient naturelles et ne rendraient donc ni l'étoffe, ni la maison, ni la personne impures.
En Inde, deux millénaires avant Jésus-Christ, le jeûne était au fondement des rites védiques.” Le docteur Buchinger, celui qui a introduit le jeûne thérapeutique en Europe occidentale, avait coutume de dire : “Quand on jeûne, ce n'est pas le corps qui a faim c'est l'âme.”
30 le hérisson, la grenouille, la tortue, le limaçon et le caméléon. 31 Vous les considérerez comme impurs parmi toutes les petites créatures : quiconque les touchera quand elles sont mortes sera impur jusqu'au soir.
L'Eglise est une nécessité en tout cas pratique. Ce n'est pas le fait d'aller à l'Eglise qui fait le chrétien engagé, l'Eglise, au contraire, existe, par le fait que des chrétiens engagés dans leur vie personnelle se rassemblent pour s'aider mutuellement, et pour agir ensemble.
Ce sont : la paresse, l'orgueil, la gourmandise, la luxure, l'avarice, la colère et l'envie.