Autour de la Méditerranée, les Grecs ont fondé de nombreuses cités. Les relations entre ces petits États indépendants sont marquées par les rivalités politiques, territoriales et économiques. Les cités s'affrontent donc régulièrement dans des guerres plus ou moins longues.
-C., la Grèce est menacée par l'empire perse. Athènes prend la tête d'une alliance des cités grecques qui repousse les envahisseurs. ² Il s'agit de la guerre du Péloponnèse qui se déroule de 431 à 404 avant J. -C.
Les cités sont indépendantes les unes des autres, elles ont chacune leur monnaie, leur armée. Mourir pour sa cité est le plus bel honneur pour un homme grec. Faire le croquis d'une cité grecque sur le cahier : Lorsque les terres d'une cité sont trop petites pour nourrir toute la population.
elle redevient un important centre du monde grec à cause de son emplacement central, de son fort sur l'Acropole et l'accès à la mer, un avantage sur ses rivales, les cités de Thèbes et de Sparte dans le Péloponnèse. Tôt dans le Ier millénaire av.
« La cité grecque (polis) est une communauté de citoyens entièrement indépendante, souveraine sur les citoyens qui la composent, cimentée par des cultes et régie par des nomoi [lois] » (André Aymard). Cette définition vaut pour l'époque classique (v e-iv e siècle av.
Pourquoi les Grecs ont-ils quitté leurs cités? - Parce qu'ils manquent de terre (colonisation agricole). En Grèce, le sol est pauvre, il y a peu de plaines. Au VIIIème siècle av JC, la population s'accroît, les parcelles des paysans deviennent de plus en plus petites au fur et à mesure que la famille s'agrandit.
Ce n'est donc pas un roi qui dirige, mais l'ensemble des citoyens : Athènes est une démocratie. Démocratie : forme de gouvernement dans lequel le pouvoir appartient à l'ensemble des citoyens. B) les citoyens ont le devoir de défendre la cité en cas de guerre.
162). Néanmoins, le caractère militaire de l'éphébie est pour lui dominant, et le but principal de cette institution consiste à apprendre aux jeunes citoyens le maniement des armes pour en faire de futurs soldats.
Les Grecs sont unis par une culture commune. Ils parlent la même langue, le grec. Ils partagent les mêmes mythes comme celui de la naissance de Zeus et ils pratiquent la même religion polythéiste. Leurs dieux sont Zeus, Héra, Poséidon, Athéna et bien d'autres.
La démocratie athénienne est limitée et imparfaite : Seuls, les citoyens (minorité d'habitants) participent au gouvernement. Les citoyens les plus pauvres se désintéressent souvent des séances à l'ecclésia.
La guerre s'achève sur leur victoire totale : Athènes capitule en 404 ; la cité perd ses remparts, les Longs Murs, qui reliaient Le Pirée à la cité, et doit se joindre à la Ligue du Péloponnèse, sous la férule de Sparte. Le général Lysandre impose à l'Ecclésia un nouveau changement de régime.
J. -C.). Ce sont de petits royaumes indépendants qui exploitent un territoire. Elles sont dirigées par un roi et ont leurs propres institutions.
Les colonies grecques sont rares en Afrique du Nord car il y a un manque crucial de nourriture (pas assez de terres agricoles, fécondes) : tout ceci est dû à un surpeuplement.
Les guerres médiques opposent les Grecs aux Perses de l'Empire achéménide au début du V e siècle av. J. -C. Elles sont déclenchées par la révolte des cités grecques asiatiques contre la domination perse, l'intervention d'Athènes en leur faveur entraînant des représailles.
Les forces des deux partis se balançaient à peu près. Sparte avait pour elle le Péloponnèse , excepté Argos et l'Achaïe ; de plus, les Béotiens , ennemis traditionnels d'Athènes, les Locriens, les Phocidiens, les puissantes colonies de Corinthe, Ambracie , Leucade , etc.
Xerxès fait fouetter la mer
l'offensive contre les Grecs en rassemblant une armée considérable de peut-être 300 000 hommes. Les cités grecques d'Ionie, tributaire du souverain, se sont vues imposer le financement d'une flotte de 1200 navires de guerre et 3000 navires de transport.
La christianisation, qui conduit à la disparition de la religion polythéiste grecque, et le délitement progressif des institutions des cités grecques antiques, à la même époque, marquent la fin de la civilisation grecque antique.
En Grèce antique, la polis (en grec ancien πόλις / pólis ; « cité » dans l'étymologie latine « civitas » ; au pluriel poleis) est une cité-État, c'est-à-dire une communauté de citoyens libres et autonomes, le corps social lui-même, l'expression de la conscience collective des Grecs.
La cité est aussi entourée de murailles pour se protéger des attaques extérieures et pour montrer la limite entre le monde des citoyens et le monde des « barbares ». Chaque cité se compose d'une ville et d'un territoire qui l'entoure.
Le partage de la citoyenneté
Pour les Athéniens, la démocratie ne se limite pas à l'élection de représentants mais implique un exercice effectif du pouvoir par tous les citoyens. C'est ce "partage" à parts égales du pouvoir du demos que garantit le principe d'isonomie.
Ce terme ancien date de l'antiquité grecque où il désignait un garçon atteignant l'âge de la puberté. Un éphèbe est un beau jeune homme. Exemple : Cet éphèbe a tout pour plaire !
Dans l'Antiquité grecque, jeune homme arrivé à la puberté ; adolescent de dix-huit à vingt ans soumis par la cité à certaines obligations religieuses ou militaires. 2. Familier. Jeune homme d'une grande beauté.
Une religion polythéiste
Les Grecs sont polythéistes : ils croient en l'existence de plusieurs dieux. Ils vénèrent des dieux à la puissance illimitée qui vivent sur le mont Olympe, la plus haute montagne de Grèce, dont le sommet est très souvent caché par les nuages.
On a le monde grec qui est composé de la Grèce continentale, sur laquelle on va trouver une multitude de cités : Athènes, la plus connue, Sparte, Delphes.
Les cités-États grecques ont créé de nouvelles colonies autour de la Méditerranée afin de faire face à la surpopulation et de trouver de nouvelles ressources telles que le bois et les métaux. De nombreuses colonies ont commencé comme des comptoirs de commerce avec les peuples indigènes.