Après avoir consommé de la cocaïne, une personne peut en renifler une autre « ligne » (dose) pour éviter de vivre la période d'anxiété qui suit l'euphorie du début. Cependant, plus elle consomme, plus elle ressent de l'anxiété.
Le “sniff” est préféré à l'injec- tion intraveineuse pour tenter de réduire, entre autres, les risques infectieux. La prise nasale (“snorting”) met des drogues sous forme de solide, comme la cocaïne, au contact de la muqueuse nasale.
La cocaïne n'a pas d'odeur particulière et peut se dissoudre dans l'eau. Le crack se présente sous forme de petits cailloux de couleur blanche, jaunâtre ou brunâtre. Le crack est insoluble dans l'eau.
La cocaïne, la kétamine et la MDMA font partie des drogues qui font le plus de dommages aux parois nasales. Quand tu sniffes, la substance se mélange à tes muqueuses nasales et prend environ 3 à 10 min. avant que tu en ressentes l'effet.
L'alcool. Tandis que la cure de désintoxication de drogues est plus éprouvante sur le plan psychologique, dans la plupart des cas, celle de l'alcool est en général plus difficile sur le plan physique.
On dit de quelqu'un qu'il est dépendant lorsqu'il consomme de la cocaïne entre 3 à 5 fois par semaine avec 2 à 3 jours de break entre les prises. Kelly: Pourquoi devient-on accro à la cocaïne dès la première prise? C'est faux. Il ne suffit pas d'une prise pour devenir accro à la cocaïne.
L'alcool se range dans la catégorie des drogues les plus dangereuses, avec l'héroïne et la cocaïne. Le tabac se situe quant à lui à des niveaux intermédiaires, et le cannabis fait partie des drogues les moins dangereuses.
Les Centres de Soins, d'Accompagnement et de Prévention des Addictions (CSAPA) sont spécialisés dans ces questions d'arrêt. Ils peuvent vous aider à faire mûrir votre envie d'arrêter et vous accompagner dans le temps pour réussir à arrêter sur le long terme. C'est gratuit et confidentiel.
Elle est faite à partir des feuilles du cocaïer d'Amérique du Sud. Ces feuilles sont transformées en fine poudre blanche. Sous cette forme, la cocaïne peut être : aspirée par le nez (reniflée)
Pour les usagers réguliers ou après un fort dosage, aux effets précédemment cités s'ajoutent : des troubles de l'érection, la mégalomanie, des hallucinations, des crises de paranoïa, d'angoisse intense, d'autres effets psychiatriques, délire, de la fièvre et des tremblements, dépression après la descente, etc.
Selon l'OFDT, les drogues les plus employées pour le chem sex sont les poppers, le GHB/GBL, la cocaïne, les médicaments de performance sexuelle comme le Viagra, et plus rarement, la kétamine et la méthamphétamine.
La MDMA est souvent appelée "drogue de l'amour" parce qu'elle possède un effet stimulant. "On va se sentir à l'aise, on a envie d'aller vers les autres, de faire des câlins aux autres. C'est donc quelque chose de vécu de manière assez positive" explique la docteure Geneviève Lafaye, addictologue.
Le sentiment d'euphorie produit par l'héroïne peut être accompagné de rougeurs de la peau et de démangeaisons, ainsi que d'une bouche sèche, d'yeux larmoyants et d'une rhinorrhée. Les héroïnomanes ont souvent la peau sèche, facilement irritée et prurigineuse.
Toute personne majeure surprise par les forces de l'ordre en possession ou en train de consommer des stupéfiants. L'amende ne concerne toutefois pas les mineurs et se limite à la possession de 100g pour le cannabis, 10g pour la cocaïne, précisait la Direction de la sécurité publique.
Un sevrage ambulatoire ou hospitalier peut être mis en place mais aussi une réflexion sur la place que la drogue a pris dans votre vie et les raisons ayant entrainé cette consommation. Une prise en charge globale est essentielle, la consommation de drogue n'étant jamais un problème isolé dans la vie d'une personne.
Pour citer des exemples, l'héroïne, le GHB et le crack sont dangereuses en termes d'intensité.
Sur le plan neuro-psychiatrique, la cocaïne est bien plus forte que les opiacés. Elle entraîne une altération de l'humeur et de la relation aux autres avec des comportements psychiatriques et sociaux impossibles à gérer. Elle rend les personnes paranoïaques et agressives.
Le crack, surnommé la «drogue du pauvre», n'est plus un fléau exclusivement parisien. Cette substance dévastatrice, qui provoque une dépendance foudroyante dès les premières doses, s'est en effet répandue sur tout le territoire.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
Bien que la cocaïne agisse d'abord comme stimulant, la fatigue due à sa consommation peut avoir plusieurs causes. Ainsi, durant la phase finale de l'état d'ivresse, la dysphorie peut s'accompagner d'un manque d'entrain [4].
Le toxicomane va se débrouiller pour trouver le désir et le plaisir dans un objet qui reste totalement contrôlable et à sa merci : ainsi croit-il qu'il n'en dépendra pas puisqu'il le contrôle : l'objet inerte, non désirant, sera la drogue. Le toxicomane se pense donc auto-suffisant avec son produit.