Tout individu a un besoin primaire de puissance, que généralement il ne peut assouvir qu'en dominant l'autre. Le besoin de dominer l'autre, ou du moins d'établir une hiérarchie est en effet presque toujours présent chez l'Homme, même s'il n'est pas perçu.
Dans le cerveau, un noyau – un groupe de neurones – bien précis entre en jeu lorsqu'on domine autrui ou lorsqu'on subit sa domination. Il s'agit de l'amygdale limbique, responsable selon le neuropsychologue américain Antonio Damasio de la « peur sociale », que nous subissons ou que nous infligeons.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ».
Pour les émotions de colère ou d'agressivité, une personne au comportement dominant aura les sourcils froncés et serrés. Tu pourras voir que l'expression de son visage et surtout de ses yeux évoque la colère. Mais attention, certaines personnes dominantes n'ont pas vraiment d'expression sur leur visage.
Le besoin de contrôle est un mécanisme de défense, une façon de nous protéger dans un monde souvent instable et imprévisible. Ce besoin met en lumière une faiblesse, un besoin de protection affectif et émotionnel. La personne, en étant au contrôle de tout, a l'impression rassurante d'agir plutôt que de subir.
Pourquoi je ne supporte pas la contradiction ? Perte du sens des réalités, intolérance à la contradiction, actions à l'emporte-pièce, obsession de sa propre image et abus de pouvoir Ce seraient quelque uns des symptômes d'une maladie mentale liée à l'exercice du pouvoir, le syndrome d'hubris.
On vient de voir que le mâle dominant parlait d'une voix calme et posée, mais ça ne veut pas dire qu'il ne parle jamais fort. Quand le mâle dominant parle, il est entendu. Il parle suffisamment fort non seulement de façon à ce que tout le monde l'entende, mais aussi parce qu'il sait de quoi il parle.
La personne dominée doit apprendre à vivre seule, à avoir des activités de son côté et elle doit établir une saine distance entre elle et son partenaire. Cette distance lui permettra d'apprécier son autonomie et elle renouera avec son estime de soi.
Strictes, inflexibles: les personnes psychorigides dirigent leurs existences grâce à un arsenal de règles auxquelles il ne faudrait déroger sous aucun prétexte. Un cadre qu'ils ont tendance à imposer à leur entourage.
NARCISSISTE : Définition de NARCISSISTE.
Nous avons tous dans notre entourage une personne qui respecte scrupuleusement les règles, qui déteste le désordre, et qui a des habitudes très ancrées : elles sont psychorigides. Cette personnalité stricte est souvent le signe d'une grande fragilité.
Un caractère est dit dominant s'il s'exprime obligatoirement d'une génération à l'autre. C'est le cas si l'expression de ce caractère (maladie, élément transmissible, etc.)
Dominant : Manipule consciemment les sentiments d'autrui en utilisant la culpabilisation et apitoiement. Dominé : Se montre docile et obéissant par rapport aux dominants et sensible vis à vis de leurs potentielles souffrances réelles ou supposées.
Menton carré, regard direct, voix grave et corps musclé : les mâles dominants se reconnaissent à leur physique, mais pas seulement.
Qui a la prépondérance par l'influence, le nombre, l'étendue ; prépondérant : L'idéologie dominante dans un pays. 2. Qui joue le principal rôle, qui domine parmi d'autres : Les traits dominants de son caractère.
Une personne qui en regarde une autre les yeux dans les yeux peut rapidement instiller de la gêne et pousser son interlocuteur à détourner le regard. Ce comportement suggère en effet la domination.
Tout individu a un besoin primaire de puissance, que généralement il ne peut assouvir qu'en dominant l'autre. Le besoin de dominer l'autre, ou du moins d'établir une hiérarchie est en effet presque toujours présent chez l'Homme, même s'il n'est pas perçu.
Pour la psychanalyse, une femme castratrice est celle qui veut le « phallus » (le pouvoir) pour elle seule. Elle veut tout maîtriser, tout contrôler. Cette femme est en guerre avec les hommes qu'elle veut dominer. Autoritaire, elle les fait marcher à la baguette.
Autrefois appelé hystérie, l'histrionisme est aujourd'hui défini comme un trouble de la personnalité très expansif qui vise à combler ou entretenir un besoin permanent d'attention.
Il ne reconnaît jamais ses torts
Le pervers narcissique aime faire passer sa proie pour une folle qui n'a pas compris. Il aime lui rappeler que sans lui, elle ne serait rien. Il est dans le déni et ne prend jamais la responsabilité de ses actes.