Conclusions? «Les pressions culturelles poussant les hommes à exercer une autorité et les femmes à éviter de le faire pourraient expliquer, en conjonction avec des facteurs héréditaires, pourquoi les niveaux de testostérone tendent à être plus élevés chez les hommes que chez les femmes», écrivent les auteurs.
Taux trop élevé
Chez l'homme, cela peut être révélateur d'une prise de testostérone synthétique et utilisée en général par certains hommes, souvent des sportifs, afin de bénéficier de son rôle anabolisant et d'augmenter leur masse musculaire. Mais une hyperthyroïdie peut aussi être en cause.
La pollution. Les recherches démontrent que les produits chimiques utilisés en médecine et les pesticides inhibent la testostérone. Ces produits chimiques s'infiltrent dans notre eau, ce qui contribue aux problèmes de fertilité chez les poissons.
Avoir une prédisposition génétique à des taux élevés de testostérone ("testostérone endogène", NDLR) pourrait jouer un rôle dans le développement de problèmes cardiaques majeurs chez les hommes, selon une étude publiée par le BMJ. On parle ici de caillots sanguins, d'insuffisance cardiaque et de crise cardiaque.
La prise de sang permettra de connaitre votre taux de testostérone, mesurable en nmol/L. Pour un homme, le taux considéré comme normal est variable selon les laboratoires mais il doit se situer entre chez l'homme : 8,2–34,6 nmol/L. Chez la femme, il sera compris entre 0,3–3,0 nmol/L (source).
Pratiquez des exercices poly-articulaires, qui sollicitent plusieurs groupes musculaires en même temps : squat, développé couché, soulevé de terre… Les exercices de force. Travailler en force permet de stimuler la sécrétion de testostérone.
Généralement, un faible taux de testostérone est dû à l'une des conditions ou expositions suivantes : Vieillissement normal. La testostérone diminue progressivement avec le vieillissement normal. Trauma aux testicules.
Une étude conclut qu'un traitement à base de testostérone réduit l'obésité chez l'homme. Les experts sont dubitatifs. Un traitement de substitution à la testostérone serait une remarquable aide minceur, assure une étude.
L'andropause est un ensemble de symptômes physiologiques liés à la baisse de sécrétion de testostérone ainsi que d'autres hormones sexuelles chez l'homme, à partir de 45 ans. Cet état physiologique ressemble en termes de symptômes à la ménopause chez la femme mais à la différence que la reproduction reste possible.
Produite par les testicules et les glandes surrénales de l'homme, la testostérone est considérée comme l'hormone mâle par excellence. Pourtant, elle est aussi l'hormone clé du désir…
Les acides gras oméga-3, la vitamine D, le cholestérol et les protéines qu'ils contiennent sont tous essentiels à la production de testostérone. Le jaune d'oeuf contient également du zinc, un nutriment qui participe à la synthèse de la testostérone.
La testostérone est une hormone qui fait partie d'un groupe d'hormones appelées les androgènes. Chez l'homme, elle est principalement fabriquée dans les testicules. Cette hormone est également produite chez la femme (par les ovaires), en quantités beaucoup moindres, et est responsable, chez elle aussi, du désir sexuel.
Les valeurs usuelles de testostéronémie sont variables en fonction du sexe, de l'âge et du stade pubertaire. À titre indicatif, les concentrations sanguines normales de testostérone, qui peuvent varier d'un laboratoire à l'autre, sont : chez l'homme : 8,2–34,6 nmol/L. chez la femme : 0,3–3,0 nmol/L.
Dans certaines situations, la sécrétion d'androgènes est excessive, on appelle cela l'hyperandrogénie. Elle peut se manifester cliniquement par un hirsutisme (présence de poils de distribution masculine chez la femme : visage, dos, fesses…) mais également une acné ou une chute des cheveux.
Les bouffées de chaleur chez l'homme sont principalement le signe de l'andropause. Cette affection touche en priorité les hommes entre 45 et 65 ans. Elle est due à un ralentissement de la production de testostérone, une hormone sexuelle.
Apporter à son corps les vitamines dont il a besoin pour fonctionner à plein régime, faire du sport et limiter le stress : voici le trio gagnant pour combattre la baisse de la testostérone liée à l'âge.
En effet, elle est majoritairement liée à deux protéines plasmatiques : l'albumine (faiblement liée) et la SHBG (fortement liée). La baisse de la sécrétion de testostérone a pour origine le vieillissement d'une part, l'élévation du taux de SHBG ou "globuline liée aux hormones sexuelles" d'autre part.
Cortisol et hormones thyroïdiennes, les hormones qui font grossir.
Les oestrogènes et la progestérone tendent à empêcher l'apparition de graisse abdominale tandis que le cortisol, l'hormone associée au stress, favorise la prise de graisse abdominale, autant chez les femmes minces que chez les femmes en surpoids.
Les termes de “ménopause masculine” ou andropause, que l'on retrouve principalement dans les médias, décrivent la baisse de la testostérone liée au vieillissement naturel et les symptômes qui y sont associés, notamment une baisse d'énergie, une perte de concentration, un gain de poids et un dysfonctionnement érectile.
Bénéfices et risques de la supplémentation
Un apport en testostérone a pour but de maintenir les caractères sexuels secondaires, la fonction sexuelle, la densité minérale osseuse, la masse maigre ainsi que la force musculaire. Mais l'hormone pourrait aussi avoir un effet sur le système cardiovasculaire.
Le sport augmente la testostérone
Son rôle premier est d'assurer le bon fonctionnement sexuel. Elle permet aussi d'augmenter la masse musculaire et de faire baisse la masse graisseuse, ce qui permet une plus grande confiance en soi et de meilleures performances.
Elle agit comme un stéroïde anabolisant naturel, c'est-à-dire que son effet dans les cellules favorise la synthèse des protéines et provoque l'augmentation de l'anabolisme ou des tissus cellulaires. La testostérone agit donc favorablement lors de la construction des muscles.