En effet, la pratique de manger avec les mains trouverait son origine dans les enseignements ayurvédiques : le pouvoir est entre les mains, et les doigts seraient l'extension des 5 éléments : « Par le pouce vient l'espace; à travers l'index, l'air; à travers le majeur, le feu; à travers l'annulaire, l'eau et à travers ...
C'est tout simplement parce que dans ce pays, le bisou est un acte très tabou. En Inde, tout comme en Chine, il est interdit de s'embrasser publiquement. Pour les populations, il s'agit de quelque chose de très choquant et vulgaire que de s'adonner à ce genre de comportement.
En Inde, on mange avec la main droite
En Inde, cette dernière, considérée comme impure, sert uniquement à s'essuyer, à se déchausser ou à laver ses pieds. De ce fait, vous ne pouvez pas manger, ni essuyer votre bouche, ni prendre une assiette avec votre main gauche.
Cela symbolise juste un joli lien affectif pour les hommes indiens, ce qui contraste beaucoup avec la société occidentale, où on ne montre pas d'affection entre hommes”, explique Vincent Dolman.
Cependant, toucher les pieds d'un ainé ou d'un maître est considéré comme une marque de respect. En effet, les pieds, qui sont toujours au contact de la Terre, sont considérés comme sales et impurs. Une fois les pieds touchés, la personne attend une bénédiction du maître, et notamment qu'il lui touche la tête.
Le mouvement de tête, te déconcertera.
Il ne s'agit à la fois ni d'une réponse affirmative, ni négative, mais plutôt un signe qui signifie :« Tout va bien » « Je comprend », « Surement », ou encore « Peut-être ». Il n'est pas dans la culture indienne de provoquer un échange tendu ou une dispute.
Dans l'hindouisme, les rishis, les sages et les dieux comme Shiva ne se coupent pas les cheveux. Cette tradition est signe de courage, de virilité et de dévotion spirituelle. Chez les sikhs, le kesh est devenu un moyen de se reconnaître facilement.
#1 Le blanc
Il symbolise la paix et la pureté. En Inde, le blanc est la couleur du deuil. Lors d'un enterrement, chacun doit venir habillé de blanc, et les veuves revêtent également cette couleur tout le long de leur deuil.
Le tilak, tika, ou pottu est une marque portée sur le front par des hindous. C'est une marque censée porter bonheur, apposée au cours d'une cérémonie religieuse ou en guise de bienvenue ou bien le tilak indique l'appartenance à un groupe religieux.
Les habitants des villes de l'Inde font l'amour en moyenne une fois par semaine. Les hommes sont stimulés d'abord par la poitrine des femmes, tandis que celles-ci préfèrent l'allure générale et la musculature de leurs partenaires, indique une étude.
La vache est en effet vue en Inde comme une « Mère universelle » du fait qu'elle donne son lait à tous, même à ceux qui ne sont pas ses veaux. Par ailleurs, l'hindouisme est basé sur le concept de l'omniprésence du Divin, et la présence d'une âme dans toutes les créatures, y compris les bovins.
Un Indien sur deux continue de faire ses besoins dans la nature faute de toilettes. Environ 600 millions d'habitants n'ont en effet pas de toilettes dans leur foyer ou de WC publiques car la répartition des richesses creuse les inégalités d'accès aux installations sanitaires.
Quelque 82% des Indiens interrogés affirment «aimer» la France. Ce sont les plus grands fans de l'hexagone. Pour eux, le pays est avant tout «cultivé, intelligent et créatif». Ils estiment que le rayonnement français est avant tout culturel.
Pour voyager en Inde en toute sécurité, il est conseillé d'éviter les régions du nord surtout les frontières qui relient ce pays avec le Pakistan. C'est une zone où règne le terrorisme. Les visiteurs peuvent être victimes, surtout lorsqu'il s'agit d'un premier voyage, sans connaissance parfaite de ces lieux.
Mais elle finit par déclarer forfait pour plusieurs raisons : coût du voyage jusqu'au Brésil et coût des transports une fois sur place, manque de préparation de l'équipe, manque d'intérêt pour cette compétition au regard de celle des Jeux olympiques.
Dans ce pays, la vache est un animal considéré comme sacré dans l'hindouisme, l'une des grandes religions. Il est ainsi interdit pour un Indien de consommer sa viande. Il est également interdit de frapper, de contraindre, ou même d'insulter l'animal.
Le « point rouge » qu'on appelle « pottu » ou « bindi » est un point coloré que les femmes indiennes portent sur le front, entre les sourcils. Le pottu symbolise le troisième œil, l'œil de la connaissance selon les hindous. De nos jours, le pottu est devenu un accessoire de beauté.
C'est de l'appropriation culturelle. De l'appropriation culturelle, c'est lorsqu'une personne, généralement de la culture dite «dominante», aka les Blancs, utilise à des fins personnelles des éléments d'une autre culture au détriment de ces personnes.
En Inde, le papier toilette ne fait pas partie de leur culture, ils utilisent un jet d'eau et leur main gauche pour se laver. La main gauche est donc considérée comme la "main sale", et manger avec est considéré comme extrêmement dégueulasse par les indiens.
Comme lit, il n'y a, le plus souvent, qu'une natte formée de joncs entrelacés, nommée estera, ou quelques peaux de moutons étendues à même sur le sol, où l'Indien dort tout habillé, roulé dans son poncho.
En Inde, le blanc est la couleur du deuil et de la tristesse. Si la famille et les amis du défunt s'habillent de blanc lors la crémation, les veuves porteront un sari blanc en attendant la mort.
La barbe, les poils du corps sont rares, parce que les Indiens s'épilent. La prunelle de l'œil est noire, le regard triste, les paupières un peu obliques.
Les rituels de beauté capillaires des indiennes
Elles doivent la beauté de leur chevelure à leur rituel de soin, traditionnellement composé de bains de différentes huiles et poudres végétales : Le henné, par exemple, a une place de choix dans les routines de soin indiens.
Chez les Amérindiens également, la tresse a son histoire. Dans cette culture, les cheveux sont historiquement associés à de nombreuses croyances spirituelles. Ainsi, ils sont considérés comme une extension de la pensée, et porter les cheveux tressés témoigne alors de l'unité de la pensée.