Les raisons de cette immigration de masse sont nombreuses : Les conditions de vie étaient devenues difficiles en Italie entre 1870 et 1900, spécialement à la campagne. Les maladies et la famine ont été les causes principales de l'immigration.
Durant cette période de migration massive, 4 millions d'Italiens sont arrivés aux États-Unis, dont 3 millions entre 1900 et 1914. La principale raison de l'immigration vient de l'unification italienne en 1861, qui a considérablement aggravé les conditions économiques de la population.
Mise en place de flux migratoires vers l'Italie
L'Italie devient alors une terre ne présentant peu de contraintes, car elle n'a jusqu'ici aucune législation et de pratiques, permettant de contrôler les flux d'entrées (à la différence de ses voisins).
Un véritable flot de départs pour fuir la misère, qui ralentit avec le miracle économique de l'après-guerre mais ne se tarit pas. Ils sont encore 1 million d'Italiens à franchir les frontières de leur pays dans les années 1970 et un demi-million dans les années 1980.
Les causes de cette immigration massive
La plus grosse vague migratoire italienne déferle sur l'Argentine entre 1857 et 1920. Il s'agit principalement de travailleurs non qualifiés et d'ouvriers agricoles qui quittent leur pays en raison de sa rapide industrialisation.
L'Espagne, le Portugal et l'Italie en particulier peuvent ainsi être considérés, en raison des antécédents historiques forts existant, comme des latinos (« premiers latins », « latins d'Europe » ou encore « latino-européens ») en opposition aux « néos-latins » ou « latinos-américains ».
Dans les semaines qui suivirent la fin de la guerre, deux sous-marins allemands abordèrent les côtes argentines. Selon des sources proches des services secrets occidentaux, l'un d'eux transportait une partie du trésor de guerre nazi... Ce n'est donc pas en territoire hostile que s'installèrent les vaincus.
Jusqu'à la veille de la Première Guerre mondiale, la cause de l'immigration italienne en France était essentiellement économique. En France, il y avait une pénurie de main-d'œuvre, en particulier dans les secteurs de l'agriculture et de l'industrie (usines et mines) et de la construction.
Le mode de vie de ce pays a été façonné par le caractère de ses natifs. Aussi, ce peuple chaleureux est connu à travers le monde pour son caractère entier et franc. Expansif, il n'hésite pas à rompre la glace avec les étrangers, parfois intimidés par tant de chaleur.
L'immigration portugaise en France a eu lieu principalement dans les années 1960/1970, pour fuir la dictature et permettre aux immigrés des conditions de vie meilleures. Les migrants portugais étaient parfois surnommés « Les gens des baraques ». La plupart ont commencé à travailler dans le bâtiment.
Les pays secondaires de l'immigration italienne sont des pays d'Amérique centrale, mais aussi l'Australie, la Tunisie, l'Algérie, la Libye, l'Albanie, la Grèce, l'Afrique du Sud, l'Espagne, la Somalie, la Suisse, la France métropolitaine, l'Allemagne ou encore la Belgique.
Bon nombre d' Italiens viennent au Canada en passant par les ports américains et cherchent du travail dans la construction des chemins de fer. Les Italo-Canadiens sont parmi les premiers Européens à avoir visité le Canada et s'y être installés.
Les premiers Italiens en Belgique étaient des marchands toscans et des banquiers de la Renaissance, puis quelques dizaines d'artisans et d'exilés jusqu'au XVIII e siècle. Au début du XIX e siècle a commencé une petite communauté d'Italiens, presque tous du Nord, dans les principales villes de Wallonie et à Bruxelles.
1860-1870 - Une nation de migrants
Au même moment, et dans un apparent paradoxe, une partie de la population quitte la Péninsule. Ils sont 14 millions lors de cette "Grande émigration" qui s'étend jusqu'à la veille du premier conflit mondial. Ils seront environ 26 millions, entre les années 1860 et les années 1960.
Objectifs italiens
L'objectif initial de l'offensive était de s'emparer du canal de Suez. Cette voie est alors vitale pour l'Afrique orientale italienne. Pour ce faire, les forces italiennes de la Libye auraient dû avancer dans le nord de l'Égypte jusqu'au canal.
Mais la cause principale de l'émigration sera la grande famine en 1845 due à la maladie de la pomme de terre. Les champs sont parasités par un champignon, le mildiou qui rend le tubercule inconsommable. Ce légume est alors la denrée principale cultivée dans les champs irlandais.
Huile d'olive et fibres
Par rapport à la France "où la culture culinaire est très riche en graisses, avec les fromages ou le beurre, en Italie la base c'est l'huile d'olive, on a plus conscience que c'est de la graisse, on la voit avant de l'ajouter à un plat", a estimé la nutritionniste.
Quand je vais à la plage, mes amis italiens m'appellent « Franci », comme ils savent que je viens de France.
Les origines de la langue italienne
Entre 3000 et 1000 avant J. -C., des populations d'origine indo-européenne sont arrivées d'Europe centrale et orientale. Elles se sont mêlées aux peuples méditerranéens, y compris ceux qui vivaient dans la péninsule italienne (Étrusques, Ligures, Sardes, etc.).
Les départements des Alpes et de la côte méditerranéenne sont ceux qui accusent, à chaque recensement, le plus grand nombre d'Italiens. Les Italiens représentent 25 p. 100 de la population étrangère domiciliée, qui constitue 3,5 p. 100 de la population totale.
La Lombardie en tête
« Géographiquement, les implantations françaises se concentrent principalement dans le Nord de l'Italie », confirme Business France. La principale région italienne d'implantation économique française est de loin la Lombardie, qui pèse 45% du total dont la majorité dans la Province de Milan.
selon les recommandations des projets correspondants. Les Allemands (en allemand : Deutsche) peuvent être définis comme un groupe ethnique dans le sens où ils partagent une même culture allemande, ont l'allemand comme langue maternelle et sont d'ascendance allemande.
Tout au long de la période d'immigration de masse (1880-1914), environ 4 200 000 personnes débarquèrent en Argentine. On peut ainsi compter plus de 2 000 000 d'Italiens, 1 400 000 Espagnols et 170 000 Français, suivis ensuite, dans une moindre mesure, par les Britanniques, les Allemands et les Portugais.