Les moutons possèdent un instinct grégaire fortement développé et ils ont un sens de la hiérarchie naturel. Ainsi, les moutons ont une tendance naturelle à se mettre très à proximité de leurs congénères et se déplacent très serrés.
Le bêlement indique l'inquiétude dans le groupe. Pour les moutons, le bêlement est le meilleur moyen de communication. Lorsqu'ils se sentent bien, ils se font entendre naturellement. Mais s'ils ont faim ou soif, ou s'ils sont inquiets, ils le crient aussi haut et fort.
Cependant vos moutons seront bien plus heureux s'ils disposent de 1000 m² par tête. Et bien sûr par terrain il s'entend un terrain herbeux. L'herbe naturelle convient tout à fait au mouton, et s'il trouve des ronces, des orties, du petit bois, il s'en occupera sans problème pour vous laisser une belle prairie !
Ils n'aiment pas le houx et laissent quelques refus dans la pâture (genre herbe avec racine en carotte).
Pommes de terre, carottes, oignons, haricots verts, petits pois, racines d'endives et autres écarts de tri des fruits et légumes font partie des coproduits issus des industries agroalimentaires qui peuvent être consommés par les brebis.
Les moutons n'ont aucune perception de la profondeur, alors les ombres, les surfaces sombres et l'eau sont un problème. Les moutons craignent les nouveaux objets visuels.
Chez les mâles comme chez les femelles, on observe des relations amicales fortes, bien que leurs manifestations soient souvent discrètes. Deux moutons amis restent souvent proches l'un de l'autre pendant leurs activités, telles que le pâturage, le repos ou encore les déplacements.
Les moutons sont fréquemment considérés comme des animaux extrêmement stupides. Leur instinct grégaire et la rapidité avec laquelle ils fuient en cas de danger font que souvent leur comportement est mal compris par les non-initiés.
Ils rappellent que quelle que soit l'espèce concernée, moutons, chevaux, canards et autres oiseaux ne se nourrissent pas de pain, cet aliment étant potentiellement mortel pour eux.
Comment jouer à saute-mouton :
Il faut courir, s'appuyer sur le dos du « mouton » et passer par dessus lui en écartant les jambes, ainsi de suite jusqu'à arriver à l'avant du rang. Il faut alors que le sauteur se penche pour que chaque joueurs ai la possibilité d'effectuer le même nombre de saut.
L'ensilage de maïs est de plus en plus accepté en tant qu'aliment économique et viable pour les moutons, le prix des céréales continuant d'augmenter, ainsi que la taille des troupeaux ovins et la mécanisation des élevages.
Il s'agit de la maladie due à la présence de myiases (larves de mouches) d'OEstrus ovis dans les fosses nasales (automne) puis dans les sinus frontaux (hiver). Maladie infectieuse : la rhinite, la bronchopneumonie, la FCO...
C'est parfois agaçant mais cela peut passer : il suffit de rester cloîtré dans la maison tout volets fermés... Maintenant, elles bêlent beaucoup beaucoup, pas en continu mais plutôt par rafales de 2-5 minutes plusieurs fois par heure.
L'agneau favorise cette reconnaissance en remuant vigoureusement la queue devant le nez de sa mère, la position tête-bêche est d'ailleurs une position d'agneau adopté ou en cours d'adoption.
«Lorsqu'un mouton est allongé sur le dos pendant trop longtemps, il risque de s'asphyxier car les gaz dans ses intestins ne peuvent pas être évacués et font pression sur les poumons.»
Et, s'il s'agit d'une brebis enceinte ou en surpoids, l'animal risque de ne plus pouvoir se redresser et, par conséquent, de mourir… “Un mouton couché sur le dos est vulnérable pour diverses raisons : non seulement il est une proie facile pour les corneilles ou les blaireaux, mais c'est contraire à sa propre biologie .
La tonte des moutons est indispensable parce que les fibres de la laine ont une croissance continue. Elles sont recouvertes de graisse (suint) qui représente jusqu'à 50 % du poids de la toison. Cet épais manteau constitue un nid à parasites et un vêtement bien encombrant sous des températures estivales.
Lorsque le dernier joueur debout a sauté par-dessus l'avant-dernier, celui-ci se relève et saute à son tour par-dessus ceux qui le précèdent, et ainsi de suite.
Ainsi, les moutons ont une tendance naturelle à se mettre très à proximité de leurs congénères et se déplacent très serrés. Les moutons adoptent cette attitude pour se protéger lorsqu'il y a une menace extérieure. Ce comportement est du tout simplement à un instinct pour se sentir plus fort en cas de danger imminent.
Pendant l'été, les moutons qui vivent dans les champs passent une grande partie de leur journée à l'ombre de ses arbres. Bien entendu, ils y font leurs crottes et leurs urines. C'est pourquoi le sol est particulièrement fertile et les orties adorent cela et donc elles y poussent très bien.
Le bélier se mettra alors à charger à la moindre occasion puisqu'il chercherà à s'affirmer. La situation peut vite devenir invivable surtout quand vos animaux sont dans le jardin. Ce qui est assez fourbe, c'est que ce mauvais comportement peut apparaitre vers l'âge d'un an, un an et demi.
Pour une brebis en début de lactation, les consommations quotidiennes d'eau sont respectivement de 10 litres en hiver et 20 litres lors de fortes chaleurs avec une ration à base de foin et d'aliments concentrés. Enfin, avec des températures supérieures à 30 °C, un agneau en bergerie boit au quotidien 3 litres d'eau.
Il est divisé en différentes siestes qui durent entre 5 et 7 minutes. Elles ont l'habitude de rester debout, leur taille imposante les aide à se défendre contre d'éventuels prédateurs. Quand elles sont très fatiguées, elles s'allongent et forment un arc avec leur cou, en positionnant leur tête sur leur dos.
Le bélier a alors un comportement caractéristique : il renifle les parties ano-génitales de la femelle puis retrousse sa lèvre supérieure en levant la tête pour indiquer à la femelle qu'il est prêt à s'accoupler avec elle. La femelle s'immobilise alors et le mâle la saillit.