De nombreuses études scientifiques et de reportages médias soulignent que les pauvres prennent souvent de mauvaises décisions. Ils empruntent bien au-delà de leurs moyens, privilégient le court terme, etc. Sans être soi-même pauvre, on peine à comprendre ce genres décisions "déroutantes".
La pénurie frappe votre esprit. Les gens se comportent différemment lorsqu'ils perçoivent une chose comme rare. Ce qui n'est pas rare importe peu. Résultat : les gens qui éprouvent un sentiment de rareté sont bons à gérer leurs problèmes à court terme.
Les facteurs les plus évidents sont l'insécurité alimentaire, des conditions de santé précaires, le manque de compétences dû à un manque d'éducation et le manque d'opportunités économiques.
Contrairement à la solidarité des plus pauvres qui permet de mutualisées les risques de la vie, les riches n'ont aucun intérêt à être solidaire. Pourtant, en Europe ils le sont par obligation avec « la sécurité sociale ». Mais ils ne sont pas plus égoïstes que la population ordinaire, à mon avis plutôt moins.
En effet, comme il est dépensé localement, il permet de faire vivre la communauté et augmente considérablement le niveau de vie. Enfin, donner de l'argent coûte moins cher que financer des programmes d'aide alimentaire ou sociale. L'espace des contributions est réservé aux abonnés.
Le héros légendaire Robin des bois (Robin Hood) est souvent considéré comme une icône du partage, de la solidarité et pour certains des valeurs socialistes. Selon l'expression consacrée, il serait celui qui "vole aux riches pour donner aux pauvres".
Les plus pauvres gèrent leur budget avec des stratégies rationnelles, compréhensibles et souvent en fait assez malignes. Elles ne correspondent pas à une incapacité à se contrôler, mais répondent au contraire aux défis auxquels on fait face lorsque l'on est pauvre.
Deuxièmement, les pauvres subventionnent directement et indirectement de nombreuses activités qui bénéficient aux riches 10. D'une part, ils ont longtemps soutenu les activités de consommation et d'investissement dans l'économie privée, par le biais des bas revenus qu'ils perçoivent.
2) Les pauvres s'appauvrissent à cause des passifs
Ils dépensent 100% de ce qu'ils gagnent, soit pour accumuler des biens qu'ils n'ont pas besoin, soit pour montrer aux autres leur réussite sociale. Encore une fois, cela n'est pas une question de revenus, c'est une question de mentalité.
2 – Lutter contre l'indifférence et réfléchir aux mécanismes de la pauvreté La fraternité, troisième élément de notre devise républicaine, n'est pas un vain mot. En ce sens, lutter en faveur des plus démunis est tout simplement une façon de ne pas ignorer les pauvres et d'agir en conséquence.
Les personnes qui peuvent à peine se nourrir et se loger ne peuvent tout simplement pas envisager de telles dépenses. Quand les gens sont exclus de la société, ne sont pas bien instruits et présentent une incidence élevée de maladie, cela a des répercussions néfastes sur la société.
Qui est responsable de la pauvreté ? Probablement personne et tout le monde, tant est multiple la nature humaine. Il y a chez tous les êtres vivant des disparités qui n'expliquent pas la pauvreté mais la prodigieuse diversité des êtres. Et c'est une bonne chose.
Le Burundi conserve la tête du classement, avec un PIB par tête de 307 dollars en 2023. C'est le seul pays du palmarès des 20 nations les plus pauvres de la planète à afficher un PIB par habitant inférieur au seuil de 400 dollars. Il est suivi du Sierra Leone et du Malawi.
L'anxiété et le stress ont des effets indésirables qui peuvent court-circuiter la réalisation d'un grand nombre de tâches. Ces émotions peuvent même convertir les tâches quotidiennes les plus simples en véritable chemin de croix. Et cela inclue bien évidemment la responsabilité de prendre des décisions.
Vous agissez trop rapidement : prendre des décisions sur des coups de tête n'est jamais une bonne solution. Pensez aux conséquences de vos actes. Vous êtes du genre à vouloir tout contrôler : et parfois, pour garder le contrôle vous allez prendre la décision inverse de ce que vous auriez dû faire.
Prendre des décisions est indispensable pour avancer car il n'y a pas de résultats sans action. Sans prise de décision, une entreprise ne peut pas fonctionner.
Santé Les Français les plus modestes sont beaucoup plus touchés par les maladies chroniques que les plus aisés, confirme une étude de la Drees publiée ce jeudi. Une inégalité à l'origine des très forts écarts d'espérance de vie entre riches et pauvres.
Sans surprise d'ailleurs, les inégalités de richesses, qui sont plus fortes aujourd'hui que jamais, sont mises en lumière en quatre chiffres : les 10% les plus riches détiennent 76% de la richesse mondiale, tandis qu'à l'inverse, les 50% les plus pauvres n'en possèdent que 2%.
Les riches s'enrichissent car ils cherchent à acquérir des actifs, c'est à dire des choses qui leur rapporte de l'argent, en permanence. Bien sûr, réussir à procéder de cette façon implique de faire des choix financiers, comme dans l'exemple de Pierre, que j'ai pris un peu plus haut.
Être pauvre n'est pas un choix mais une conséquence. La misère humaine, où se côtoient les nœuds de la pauvreté subie, montre une fracture sociale qui ne cesse de croître et avec cette période de crise, il est encore plus stigmatisant et dévalorisant d'être pauvre.
Ces personnes aux revenus modestes sont plus jeunes et vivent davantage dans une famille monoparentale ou nombreuse (au moins trois enfants) que le reste de la population. Elles sont moins souvent en emploi ou à la retraite que le reste de la population et davantage au chômage ou inactives non retraitées.
La pauvreté humaine :est considérée comme l'absence des capacités humaines de base : analphabétisme, malnutrition, longévité réduite, mauvaise santé maternelle, maladie pouvant être évitée.
Les gens riches n'échangent pas leur temps contre de l'argent. Ils ne cherchent pas à avoir une fiche de salaire. Les riches sont ceux qui utilisent systématiquement ces trois leviers. Grâce à ces leviers, ils multiplient de plus en plus leur valeur ; ce qui leur rapporte énormément d'argent.
Le stress qu'engendrent les difficultés financières peut causer des maux de tête ou d'estomac, voire des crises cardiaques. C'est cependant son effet sur notre cerveau qui risque d'être le plus dommageable. Les problèmes d'argent peuvent réellement nous stresser.
L'accès à des emplois de qualité est la voie la plus sûre pour sortir de la pauvreté. Des études (a) montrent que la hausse des salaires a permis de faire reculer de 30 à 50 % la pauvreté sur la dernière décennie.