une dégradation de la productivité, une augmentation des rebuts ou des malfaçons, une dégradation du climat social, une mauvaise ambiance de travail, des atteintes à l'image de l'entreprise…
Dès que les collaborateurs évoluent dans une ambiance négative, avec des relations tendues avec la hiérarchie ou les collègues, ils vont éprouver des difficultés qui affectent la qualité de vie au travail et leur engagement.
Les risques psychosociaux peuvent engendrer des pathologies voire des accidents du travail et avoir des conséquences irréversibles : troubles émotionnels. troubles du sommeil : peuvent altérer la vigilance. troubles digestifs : coliques, gastralgies, gastrites, colopathies…
Les risques psychosociaux regroupent notamment le stress au travail (c'est-à-dire le déséquilibre entre la perception qu'une personne a des contraintes de son environnement de travail et la per- ception qu'elle a de ses propres ressources pour y faire face), les violences externes (insultes, menaces, agressions ...
La souffrance au travail peut avoir de lourdes conséquences sur le fonctionnement des entreprises (absentéisme, turn-over, présentéisme, manque d'engagement, motivation…) et, surtout, sur la santé des salariés : maladies cardio-vasculaires, troubles musculo-squelettiques, troubles anxio-dépressifs, troubles ...
QU'ENTEND-ON PAR « IMPACT PSYCHOSOCIAL » ? L'impact psychosocial des crises humanitaires inclut les problématiques psychologiques et sociales, au niveau individuel et collectif, apparues suite à l'urgence et leurs impacts sur les ressources psy- chosociales préexistantes.
D'après le ministère du Travail, les risques psychosociaux recouvrent des risques professionnels qui portent atteinte à l'intégrité physique et à la santé mentale des salariés : stress, harcèlement, épuisement profes- sionnel, violence au travail…
Un facteur psychosocial en milieu de travail est un aspect non physique du milieu de travail qui se développe en fonction de la culture, des politiques, des attentes et de l'attitude sociale adoptées par l'organisation.
L'expression « risques psychosociaux » (RPS) regroupe généralement : le stress au travail (surcharge de travail, manque de moyens, manque d'autonomie…) ; les violences internes à l'entreprise (harcèlement, conflit…) ; les violences externes à l'entreprise (insultes, menaces, agressions…).
Une tentative de définition générale des facteurs des risques humains serait qu'il s'agit d'une catégorie de risques professionnels relatifs aux conditions de travail dont les effets portent atteinte à la santé physique et mentale des travailleurs, regroupant notamment le stress, le harcèlement (loi du 6 août 2012 sur ...
L'amélioration du climat social passe donc par l'instauration d'indicateurs RH, la mise en place d'un baromètre social, une attention particulière au dialogue social et à la communication interne ainsi qu'à la qualité de vie au travail.
On qualifie de « risques psychosociaux » (ou RPS) les éléments qui portent atteinte à l'intégrité physique et à la santé mentale des salariés au sein de leur environnement professionnel.
Hypertension, nervosité, fatigue, dépression… L'état de stress n'est pas une maladie en soi mais lorsqu'il est intense et qu'il dure, il peut avoir des effets graves sur la santé physique et mentale des travailleurs concernés.
Ces actions permettent notamment de prévenir la formation de stress et de diminuer la fatigue associée à une charge de travail importante.
Même s'il existe des caractéristiques individuelles qui vont influencer sur l'apparition des troubles psychosociaux, les RPS ont souvent des causes communes liées à l'organisation du travail : charge de travail, manque de clarté dans le partage des tâches, intensification du travail, organisation du travail, mode de ...
L'âge, la culture, le sexe, la situation familiale et matrimoniale, la gestion des soins, la situation socio-économique et de nombreux autres facteurs affectent l'équilibre travail-vie personnelle.
Les ressources ne manquent pas (heureusement) pour aider les entreprises à lutter contre les RPS chez leurs collaborateurs. De nombreux organismes sont à disposition comme AMELI, CARSAT, MSA, ARACT, ANACT, OPPPBTP, les services de santé au travail, les médecins du travail ou les IPRP spécialisés.
Dans le présent article, les principales sources de stress sont réparties en cinq catégories : travail, inquiétudes financières, famille, manque de temps et problèmes personnels et autres.
Frustrations, surcharge de travail, manque de communication entre le management et la base, harcèlement moral, angoisse de la performance, etc… : les sources de stress augmentent chaque jour, et ce, malgré la réduction du temps de travail et les progrès technologiques, censés améliorer notre quotidien.
Dans une démarche de prévention des risques professionnels, identifier ces RPS permet de diminuer les accidents du travail et maladies professionnelles notamment, ainsi que l'absentéisme et le turnover.