Pourquoi autant de tatoueurs refusent de tatouer les doigts / mains ? Il y a beaucoup de raisons à cela mais en voici les principales. La peau des mains, et particulièrement des doigts est vraiment très fine. De ce fait, il est assez fréquent que des tatouages réalisés sur les doigts bavent.
Encore une fois, comme la peau des doigts est extrêmement mince, c'est très difficile pour le tatoueur d'emmener son aiguille assez loin tout en évitant de risquer un blowout. C'est pour cette raison que même si l'artiste sait ce qu'il fait, le tatouage va quand-même presque assurément avoir besoin de retouches.
Toujours exposée, usée, la peau des mains réagit différemment à l'encre des tatouages. Le design vieillit plus rapidement qu'ailleurs et quelques années seulement plus tard, votre tatouage pourra être déformé/étalé/effacé.
La plante du pied est le premier endroit à éviter de tatouer, mais ce n'est pas le seul. En terme de douleur et de tenue, les tatouages sur les doigts ont aussi tendance à baver au fil du temps à cause de la transpiration et des frottements. L'intérieur de la bouche, de la lèvre inférieure est également déconseillé.
Certaines zones du corps vieillissement moins bien que d'autres. C'est le cas des doigts, de la plante des pieds ou de la paume des mains. Ces endroits sont difficiles à tatouer, la cicatrisation est compliquée car la peau y est fragile.
L'encre se diffuse alors sous la peau et le tatouage s'estompe, millimètres par millimètres. Les détails les plus fins sont les premières victimes de l'âge. Après 15 ans, ils perdent beaucoup de leur netteté.
Nous préférons être honnêtes, les tatouages sur les doigts font mal. Et ce, pour la simple et bonne raison que la peau des doigts est très fine et qu'il y a beaucoup de terminaisons nerveuses : c'est une des zones les plus sensibles du corps !
En effet, se faire tatouer peut provoquer différentes complications de la peau comme : Des risques infectieux locaux comme des granulomes ou des infections bactériennes à staphylocoques. Des risques infectieux viraux comme l'hépatite B, le VIH ou l'hépatite C.
Si vous pensez vous faire un tatouage aux doigts, il est recommandé de choisir un dessin simple, puisque l'espace est petit. Plus il y aura de détails, moins lisible sera le tatouage, car les lignes d'encre tendent à se gonfler et à s'étendre avec le temps. Un tatouage simple peut avoir une grande force.
Si vous ambitionnez de vous offrir un petit tatouage, avec un signe simple à faire ou une phrase à l'encre noire classique, les tarifs peuvent même commencer à partir de 20 à 30 euros. Un tatouage de taille moyenne, monochrome et peu complexe pourra coûter une centaine d'euros.
Les zones qui vieillissent le moins sont : le dos, les épaules, les mollets ou les chevilles.
Nous vous conseillons les petits symboles qui collent à votre personnalité. Un tatouage fleur discret, une ancre, un papillon, un cœur, une lettre, un mot, un adjectif, il existe tellement de possibilités… Le tatouage discret peut aussi se faire sur la paume de la main, si c'est une zone que vous aimez !
Le tatouage, ce n'est pas nouveau : cette pratique existe depuis plus de 5 000 ans. À l'origine, certains humains se tatouaient pour montrer leur appartenance à un clan. Puis le tatouage est devenu la marque des « durs » : comme chez les marins, les motards et les criminels.
Parmi les tatouages que l'on peut retrouver sur l'avant-bras, nombre d'entre eux sont très populaires : la manchette, les roses, le mandala ou alors des animaux comme le dragon, le lion, le tigre, le chat ou encore des dessins plus personnels en couleurs ou à l'encre noire en fonction des préférences.
Les tatouages sont à la mode mais pas sans risque : ils entraînent le dépôt à long terme dans le corps de pigments et d'éléments toxiques qui y pénètrent sous forme de nanoparticules, selon une étude publiée mardi dans la revue Scientific Reports. Du dioxyde de titane dans les ganglions lymphatiques.
Vous l'aurez compris, le printemps et l'automne sont les saisons les plus favorables pour vous faire tatouer. " Ni l'une ni l'autre n'ont tendance à être trop ensoleillées et vous avez toujours la possibilité de porter des vêtements plus amples pour protéger le tatouage.
Ainsi, le premier tatouage fatigue le corps, à la manière dont une séance de musculation peut fatiguer (bonjour les courbatures !), et les défenses immunitaires sont plus faibles, donc on peut même tomber malade.
Il faut supporter la douleur
Le pied, la main ou le visage font partie des régions les plus sensibles, de même que les zones osseuses très innervées comme les genoux, les côtes ou le sternum. Alors que les tatouages sur les bras, les cuisses ou les mollets sont plus faciles à supporter.
Cela peut être l'intérieur du poignet, l'avant-bras, le bas de la nuque, l'arrière de l'oreille, la cheville, ou encore les flancs. Plus originale : la tendance du tatouage de l'intérieur de la lèvre. On ne peut pas faire plus discret !
Détendez vous, respirez (inspirez/nez – expirez/bouche) et ne vous laissez pas partir dans l'escalade psychologique et la panique. Essayez de ne pas vous focaliser sur la douleur. Vous pouvez par exemple venir avec vos écouteurs et vous passer la musique qui vous apaise ou qui simplement vous plait.
Le noir devient vert à cause de l'oxyde de fer car avec le temps, il y a forcément une perte de chromie. Donc ne vous exposez pas longtemps car le soleil va tanner votre peau et la friper et je ne parle pas d'un éventuel cancer de la peau.
quelle zone pour mon tatouage fleur à 40 ans et plus ? Fleur ou palmier, lettrage ou date, gros ou petit, noir ou en couleur… à 20 ans comme à 40, c'est à vous et à vous seul qu'appartient cette décision. L'important c'est qu'il vous plaise, on ne pourrait mieux vous aiguiller !
Si l'on tatoue trop profondément, dans l'hypoderme, l'encre s'étale et forme des taches. En effet, l'hypoderme contrairement au derme, n'est pas assez dense. Richement vascularisé et comportant de nombreuses cellules graisseuses il diffuse les pigments. L'encre va donc s'étaler au delà du faisceau des aiguilles.