Si vous entrez dans une boulangerie toulousaine pour acheter votre traditionnel pain au chocolat, demandez une « chocolatine ». Oui, c'est ainsi que les habitants de la Ville rose (et du Sud-Ouest en général) nomment cette viennoiserie au chocolat.
Le pain au chocolat, aussi appelé chocolatine, couque au chocolat, croissant au chocolat ou encore petit pain et petit pain au chocolat, est une viennoiserie constituée d'une pâte levée feuilletée, identique à celle du croissant, rectangulaire et enroulée sur une ou plusieurs barres de chocolat.
"On ne sait pas expliquer pourquoi la chocolatine est restée dans le Sud-Ouest" Entre l'accent autrichien "qui prononce les 'd' comme des 't' et le nôtre, les Parisiens ont appelé la viennoiserie chocolatine" ; poursuit Jean Lapoujade.
Pour dire bonjour en occitan, vous avez adieu ou adieu-siatz.
Autrement dit : à Paris, faites comme les Parisiens et dites « pain au chocolat » ; et à Toulouse faites comme les Toulousains en disant « chocolatine » !
À Marseille, comme dans une grande partie du pays, le pain au chocolat est roi. Mais attention, dans le sud-ouest, si vous vous y rendez, notre meilleur ami du petit déjeuner se dit "chocolatine".
Une chocolatine est un terme employé au Canada et dans certaines régions françaises pour désigner une pâtisserie fourrée au chocolat. C'est en fait une pâte feuilletée contenant deux barres de chocolat. En France, on parle plutôt de pain au chocolat.
Patois de Bagnes, M. Fellay, on s'aime ainsi : ye t'âmoù = je t'aime.
Celui qui a alors le titre d'Empereur des Français inaugurait un pont traversant la Garonne lorsqu'un violent coup de vent aurait arraché le pompon situé sur son chapeau, l'envoyant ainsi dans le fleuve. La foule voyant le pompon flotter sur l'eau se serait alors exclamé “c'est le pompon sur la Garonne”.
À cette adresse, le «schokoladencroissant» était un croissant fourré au chocolat. Les Français, entendant «schokoladen», auraient alors traduit le mot en «chocolatine». Au XXe siècle, tandis que les pâtissiers français fabriquèrent ces viennoiseries à leur manière, le terme s'évanouit peu à peu.
Certes, les locuteurs utilisant « pain au chocolat » sont plus nombreux, en raison de l'uniformisation de la langue, mais le mot « chocolatine » est plus ancien. Si l'on ajoute que le pain au chocolat n'a, au demeurant, rien à voir avec la composition de la viennoiserie, c'est la chocolatine qui gagne le match.
Dans le Nord aussi, on y apporte une petite spécificité : on dit « petit pain au chocolat », voire « couque au chocolat », aussi répandu en Belgique. A l'Est, une petite zone frontalière évoque ainsi le « croissant au chocolat ».
L'histoire du chocolat remonte à 4 000 ans, dans l'antique Méso-Amérique qui incluait entre autres le Mexique d'aujourd'hui, où les premiers cacaoyers ont été trouvés. La civilisation Olmèque, l'une des plus anciennes d'Amérique latine, a été la première à transformer le cacao en chocolat.
Soucieuse de soutenir le sud-ouest de la France, le Québec a choisi le mot «chocolatine» plutôt que «pain au chocolat» pour nommer la fameuse viennoiserie matinale. Alors que certains cherchent juste le meilleur moyen de remplir leur estomac, d'autres s'intéressent aux noms.
Pourquoi en Belgique un pain au chocolat est appelé une couque ?
Je te "kiff" cela veut dire que tu lui plais vraiment. Mais en fait le sens exact dépend de la définition que chacun veut bien lui donner. Mais le sens général c'est que lui plais vraiment. Peut-être qu'il t'aime puisqu'il te l'as dit.
PORC, POCORC (rouerg.
Survivances des parlers dialectaux : Le mot mamama (que l'on trouve aussi orthographié mamema) est empruntée aux dialectes alsaciens; les tours mamé et mamet constituent des emprunts récents à l'occitan mamé, de même que mamette (occ.
Tertous, tertoutes : Tous, toutes dans le sens de tout le monde (Bonjour tertous – Bonjour tout le monde).
m. 1. (clarté, lumière du soleil) dia ; jorn ; lutz f. ◊ il fait ~ : que hè dias \lutz.
LE NOM CORRESPONDANT À 'SOLEIL', COMMENCE PAR LA CONSONNE S-, SORAYE, SÈLÂO DANS LES PATOIS FRIBOURGEOIS,LE S EST CHUINTANT, CH-, CHÈLÀ.
Étymologie. (1790) La forme est attestée une toute première fois dans un nom d'enseigne « Le café de la chocolatine » à Bordeaux, sans qu'on sache ce que désigne le mot. La première attestation d'usage avec un sens clair se trouve dans un article de Constance Aubert dans le journal L'Illustration.
Il n'y a aucune différence. Les deux désignent la même viennoiserie. Il n'y a que dans le Sud Ouest de la France où ils disent chocolatine. Le reste de la France et la Suisse Francophone appellent ça un petit pain au chocolat.
Ça viendrait de l'époque ou l'Aquitaine était anglaise, et où les anglais demandaient du « chocolat dans du pain » (chocolate in bread), qui serait devenu chocolatine dans le Sud-Ouest.