Selon les spécialistes, c'est une peur fondamentale. L'incertitude fait partie de la vie. En effet, nous ne savons généralement pas ce qui va se passer ni comment. Il y a cependant des personnes qui font face à ce sentiment d'une meilleure manière que d'autres.
En tant qu'être humain, nous avons tous peur de l'inconnu. Nous nous trouvons souvent fort dépourvus face au flou ou l'incertitude. Une partie de nos mouvements et de nos pensées sont souvent orientés vers une réduction partielle de ce qui nous paraît pas tout à fait clair, ni précis.
L'anthropophobie est donc une peur obsessionnelle des autres, ressentie de manière totalement irrationnelle (comme toutes les phobies).
La peur est une émotion ressentie en présence ou dans la perspective d'un danger ou d'une menace. Elle est un instinct de conservation provoqué par l'analyse du danger et elle permet au sujet de le fuir ou le combattre.
La peur est un sentiment qui accompagne la prise de conscience d'un danger ou d'une menace. Grâce à ce sentiment, le cerveau réagit instantanément en donnant les commandes nécessaires au corps physique afin que ce dernier soit en mesure de faire face à la situation qui représente un danger, une menace.
Dans le cerveau, l'amygdale, notamment son noyau central (en vert) et son noyau latéral (en blanc), sont le siège des réponses comportementales de peur. Des circuits neuronaux spécifiques dans ces noyaux interviennent soit dans l'apprentissage de la peur, soit dans son expression.
La peur de l'inconnu est un sentiment universel et intrinsèque. Selon les spécialistes, c'est une peur fondamentale. L'incertitude fait partie de la vie. En effet, nous ne savons généralement pas ce qui va se passer ni comment.
Cette peur se manifeste par un désir d'éviter la société, une peur morbide des gens et de leur présence. Considéré comme une forme pathologique de la timidité, le mot anthropophobie vient du grec « anthropo » qui signifie homme, et « phobie » qui signifie peur.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
L'émétophobie
Si vomir, pour le commun des mortels, n'est pas une chose agréable, c'est tout simplement insoutenable pour les émétophobes. L'émétophobie est la peur maladive de vomir.
anthropophobe . (Celui, celle) qui n'aime pas l'homme, les hommes. Synon. misanthrope.
Phobie sociale : pourquoi je n'aime pas les gens ? Repli sur soi, sentiment d'être en décalage constant avec la société, impression de ne pas être compris, peur d'être jugé, dénigré… Les craintes qui entourent les rapports aux autres sont aussi intenses que diverses.
La peur de l'abandon n'est pas une pathologie en soit, mais "un ensemble de manifestations anxieuses relatives aux relations et à l'attachement", indique la psychologue. Lorsque l'on souffre du syndrome d'abandon, on vit dans la crainte permanente d'être rejeté(e) et délaissé(é) par l'autre.
L'acrophobie c'est quoi ? L'acrophobie signifie la peur du vide. Il s'agit d'une peur irrationnelle par rapport aux dangers réels présents, interprétés par la personne phobique. Cette phobie courante se manifeste lorsqu'une personne se retrouve face au vide ou en hauteur.
Au XXI e siècle, dans le monde anglophone, le terme « misandry » est dénoncé par certains milieux intellectuels, universitaires et/ou activistes, comme un moyen abusif qui permet de discréditer le point de vue féminin lors d'affaires traitant de l'égalité des sexes ; en 2013, la majorité des auteurs anglophones qui ...
C'est la phobie ultime, LA phobie qui doit bien gâcher la vie puisque la pantophobie, c'est la phobie des phobies, la peur de tout.
La peur n'est pas aliénante, elle reste contrôlable. Il est possible d'avoir peur de l'avion si c'est la première fois que l'on effectue un long trajet. Cependant si la peur est systématique, qu'elle se transforme en angoisse et provoque une souffrance et des réactions excessives, il s'agit d'une phobie.
Cette anxiété incite la personne phobique à contourner les situations ou les objets qui suscitent chez elle de la peur, par des conduites d'évitement et/ou de réassurance (éviter un objet ou demander à une personne d'être présente dans le but d'être rassuré).
La personne qui présente de l'agoraphobie craint les lieux publics, souvent parce qu'elle a peur de ne pas pouvoir en sortir facilement ou d'y faire une crise. Une personne qui fait de l'agoraphobie peut par exemple être incapable d'aller faire son épicerie ou d'aller voir un concert.
Nous restons tétanisés devant le danger potentiel. Puis notre cortex intervient. Il analyse la situation et, si elle est vraiment menaçante, il nous incite à réagir en fuyant ou en affrontant le danger. La deuxième partie de l'amygdale – dite basolatérale – entre alors en jeu.
L'hypocondrie est une anxiété excessive par rapport à la santé. La personne hypocondriaque peut passer sa vie à s'inquiéter pour des maladies imaginaires. Quels sont les symptômes de ce trouble ?
Au départ, la peur est déclenchée par un stimulus visuel, auditif ou olfactif qui signale un danger. «C'est très efficace, presque automatique: dès qu'un signal est détecté par un organe sensoriel, l'information arrive directement à l'amygdale, le centre de la peur, située dans le lobe temporal», note le neurologue.