12) On peut dire que ce personnage est un monstre car il mange les enfants : « il sentait la chair fraîche », « savez-vous bien que c'est ici la maison d'un ogre qui mange les petits enfants ». Il représente le méchant de l'histoire. Il est géant : il est donc différent des êtres humains.
L'Ogre : C'est le mari de l'Ogresse. Il est méchant, cruel et assoiffé de sang. Ce géant va s'attaquer aux sept enfants perdus par le bûcheron et la bûcheronne.
Il était égoïste, méchant, graisseux et horriblement gigantesque. Comme l'ogre dans Jacques et le haricot magique, il avait de monstrueuses mains et d'énormes pieds.
Perrault dans le conte « Le Petit Poucet » propose donc au final une « morale du mérite », par laquelle se trouve récompensé le talent, l'ingéniosité et le travail, contre les défaveurs de la naissance.
Bottes de sept lieues
"S'étant approché de l'orgre, le Petit Poucet lui tire doucement ses bottes et les mit aussitôt. Les bottes avaient le don de grandir et de rapetisser selon le jambe de celui qui les chaussait, si bien qu'elles lui allèrent aussi bien que si elles avaient été faites pour lui".
Les parents étaient tellement désespérés qu'ils décidèrent d'abandonner les enfants dans la forêt. Mais le Petit Poucet était très rusé. Il jeta des petits cailloux pour retrouver son chemin. Quelques semaines plus tard, les parents réessayèrent et veillèrent cette fois à ce qu'il ne puisse pas jeter de cailloux.
La ruse du Petit Poucet
Dans un conte merveilleux, tout finit bien. Les enfants ne sont donc pas mangés par l'ogre. Ils sont sauvés grâce à la ruse de Poucet qui réussit à tromper l'ogre pendant la nuit : il lui fait croire qu'il réussit à assassiner les sept garçons, alors qu'en fait l'ogre tue ses sept filles.
Le titre est "le Petit Poucet". L'auteur est (Charles) Perrault. Il s'appelle ainsi car il n'est pas plus grand qu'un pouce. Ce genre d'histoire s'appelle un conte.
Dans le conte picard cité plus haut, le petit Poucet s'appelle Jean l'Espiègle. C'est exactement l'Eulenspiegel du conte wende. On sait qu'Espiègle est la forme française du nom d'Eulenspiegel, le héros d'un livre très populaire en Allemagne à la fin du Moyen âge, et qui a fait aussi l'amusement de nos aïeux.
11) L'ogre emploie les mots suivants pour les qualifier : « gibier », « chair fraîche », « friands morceaux ». 12) On peut dire que ce personnage est un monstre car il mange les enfants : « il sentait la chair fraîche », « savez-vous bien que c'est ici la maison d'un ogre qui mange les petits enfants ».
L'Ogre se repaît de chair vulnérable, son avidité prend sa source dans la peur de son propre néant. Il assure et pérennise son pouvoir à chaque fois qu'il détruit et ingère la chair des enfants, Il n'est Ogre que par le danger que représentent ses enfants de le destituer.
Géant des contes de fées qui, selon la tradition, se nourrit de la chair fraîche des enfants. 2. Littéraire. Homme méchant, cruel.
Le monstre est une figure littéraire très utilisée par les écrivains. Depuis l'Antiquité, elle est présente dans de nombreux récits. Le monstre effraie et fascine. Il fait naître de vives émotions chez le lecteur, comme la peur et la pitié.
Quand le monstre est un être ou un animal fantastique terrible, il ressemble souvent à une sorte de dragon étrange et imaginaire. Il possède plusieurs têtes, plusieurs membres supérieurs et inférieurs (pattes, sorte de bras, etc.), des écailles, des ailes, des griffes, des cornes.
2. Comment l'ogre est-il présenté? Son portrait physique : C'est souvent un homme fort, grand (taille hors du commun), parfois bedonnant, pouvu de mâchoires effrayantes avec des dents acérées. Parfois c'est une femme ( La belle au bois dormant) ou les enfants du couple (Le petit Poucet).
Tout en gardant la physionomie générale d'un être humain, l'ogre est un géant qui souvent n'a qu'un seul œil au milieu du front. Certaines caractéristiques physiques le rapprochent d'un animal : des dents pointues de carnassier et un odorat très développé. Comme un prédateur, il sent « la chair fraîche. »
ogresse n.f. Femme d'un ogre.
L'étymologie du mot "ogre" est incertaine. Il vient peut-être du latin ocrus (« enfer »). Au féminin nous disons une ogresse. La plus ancienne figure de l'ogre se trouve dans la mythologie gréco-romaine, où le dieu Cronos/Kronos a mangé ses enfants.
Pourquoi le Petit Poucet est-il le souffre-douleur de la famille ? On en profite car il est le plus petit.
Epoque : le temps des contes, Moyen-Age de fantaisie, repérable dans le texte et dans l'image. Rôle : L'ogre incarne le fort et le méchant, en général vaincu par un personnage petit, faible et rusé, souvent un enfant.
Dans Le Petit Poucet de Charles Perrault, par exemple, le Petit Poucet s'arrange pour que l'ogre égorge ses propres filles au lieu de le manger lui et ses frères. Le Chat botté, lui, dévore l'ogre après l'avoir incité par la ruse à se changer en souris.
Ils virent l'Ogre qui allait de montagne en montagne, et qui traversait des rivières aussi aisément qu'il aurait fait le moindre ruisseau. Le petit Poucet, qui vit un Rocher creux proche le lieu où ils étaient, y fit cacher ses six frères, et s'y fourra aussi, regardant toujours ce que l'Ogre deviendrait.
Le Petit Poucet échange les couronnes des sept filles de l'ogre avec les sept bonnets que les garçons possèdent. Peu de temps après, l'ogre vient trancher la gorge de ses filles en pensant que c'étaient les sept frères.
La forme féminine de diable est diablesse, mais on peut employer diable au féminin dans : une diable de femme, de fille. « Voilà une jolie fille, mais quelles grandes diables de mains rouges ! » (V. Hugo). Diable, toujours avec une minuscule, même quand le mot désigne Satan : le diable en personne présidait le sabbat.