La phase de croissance est d'ailleurs plus longue pour les cheveux, donnant l'impression qu'ils poussent indéfiniment. Pourtant, celle-ci s'arrête elle aussi, au bout de deux à cinq ans. Une fois cette phase achevée, les cellules nécessaires à la pousse du poil cessent de proliférer dans le bulbe, situé sous la peau.
Cela peut aussi être lié, en dehors des années et de la génétique, à une baisse du taux de testostérone, car cette hormone agit sur leur pousse. Demandez donc à votre généraliste, qui vous connaît bien, si vous pouvez appliquer localement et régulièrement une crème hormonale pour les faire repousser.
En effet, en vieillissant, certains de nos follicules capillaires développeront une sensibilité à la dihydrotestostérone (DHT) qui est une hormone mâle produite à partir de la testostérone, cette dernière va raccourcir la durée de vie de chaque follicule affecté.
L'alopécie universalis est la forme la plus grave de l'alopécie areata, caractérisée par la perte totale des cheveux et des poils du corps. Elle est rare, ne touchant que 1 % des personnes atteintes de pelade.
Après la puberté : Le taux d'hormones androgènes augmente à la puberté, ce qui permet de développer la pilosité commune aux deux sexes (aisselles, pubis).
Glabre signifie « sans poils » (et non « pâle, sans couleur »). Un visage glabre, sans barbe, rasé.
A l'adolescence, le corps fabrique des hormones sexuelles : les androgènes. Ce sont elles qui vont stimuler la pousse des poils. L'âge moyen du développement de la pilosité oscille entre 10 et 14 ans. La pilosité définitive dite adulte est atteinte vers 14 ou 15 ans.
C'est l'âge, c'est normal. Mais pourquoi, comment et, surtout, dans quel ordre ce phénomène survient-il ? Car, l'a-t-on remarqué, quand le pubis blanchit, les sourcils sont encore intacts et le poil aux fesses toujours noir. En outre, les poils se raréfient avec l'âge, comme les cheveux.
La croissance pileuse est régulée par les hormones sexuelles masculines (androgènes, dont la testostérone et la dihydrotestostérone), présentes aussi bien chez les hommes que chez les femmes, mais en quantités différentes. La testostérone stimule la croissance des poils du pubis et des aisselles.
Le brossage les élimine et limite le développement des bactéries dans votre toison. Stimuler la pousse de vos poils : pratiqué au quotidien, le brossage permet de masser en douceur la peau de votre visage. Stimulés, les follicules pileux se développent plus rapidement ce qui accélère la croissance de vos poils !
Une greffe de poils peut être pratiquée pour recréer ou densifier les poils pubiens.
Après l'étape de croissance, les poils pubiens cessent de pousser à une certaine longueur (généralement entre 4 et 9 centimètres).
Malheureusement, l'épilation et le rasage du pubis peuvent constituer un risque important de micro-blessures, qui de par leur emplacement, peuvent entraîner une infection et/ou transmettre des IST (infections sexuellement transmissibles) comme la chlamydia, la gonorrhée et les infections à papillomavirus (HPV).
Les études scientifiques sont formelles, raser sa barbe n'a pas d'impact sur la pousse, la dureté ou l'épaisseur du poil. En raccourcissant votre barbe, vous n'intervenez en effet que sur la partie visible du poil et non sur la racine, le follicule qui est lui sous la peau et où se forme le poil.
Poils du pubis : ils jouent un rôle dans l'attirance sexuelle en retenant les phéromones, limitent le risque de sécheresse vaginale, protègent les muqueuses génitales contre les infections.
La pilosité pubienne qui marque la fin de la puberté est en moyenne définitive à 15 ans, âge où le garçon devient fertile. Mais les changements continuent : la mue de la voix peut se faire jusqu'à 17 ou 18 ans et la pilosité faciale et thoracique ne sera complète que bien plus tard, parfois à 25 ou 35 ans.
L'alopécie due à un stress physique, comme une perte de poids récente, une chirurgie, une maladie grave avec forte fièvre ou un accouchement (effluvium télogène) n'est généralement pas traitée et tend à se résoudre d'elle-même. L'application de minoxidil sur le cuir chevelu peut être utile pour certaines personnes.
L'âge physiologique se situe entre 8 et 13 ans. Chez le garçon la pilosité pubienne apparait environ 6 mois après le début de la puberté (caractérisé par l'augmentation du volume testiculaire au-delà de 4 mL). L'âge physiologique se situe entre 9 et 14 ans.
Si les poils pubiens poussent en bouclettes, c'est à cause de leur bulbe qui, comme pour les cheveux frisés, est incurvé et prédéfinit leur forme future. Une permanente pubienne utile en phase de séduction. Car sous ces poils se dissimulent des glandes sudoripares particulières.
Les poils ont un cycle de vie allant de 4 mois à quelques années, au cours duquel ils vont naître, croître, atteindre la maturité puis tomber.
On trouve ces poils plus précisément au niveau de ce qu'on appelle la marge anale et plus largement, toute cette zone entre les deux fesses qui trace une sorte de ligne et qui est appelée le sillon interfessier, le "sif" pour les intimes.
Les poils de la zone intime ne sont pas inutiles : ils forment notamment une barrière protectrice pour la flore vaginale dont l'équilibre est très fragile. L'épilation du maillot (surtout lorsqu'elle est intégrale) peut donc favoriser la survenue d'une cystite, entre autres infections urinaires et vaginales.
Quelles sont les causes ? Le prurit vulvaire peut avoir plusieurs causes : Une maladie infectieuse : mycose, infection à streptocoque, vaginose (qui entraîne des irritations et une mauvaise odeur) ou encore l'herpès qui se manifeste par des démangeaisons très localisées et des douleurs.