Le besoin d'exposer absolument tout ce qui concerne sa vie sur les réseaux sociaux, en fait, peut être une indication d'un manque de contentement et d'objectifs par rapport à sa propre vie, car ceux qui sont vraiment heureux n'ont pas le temps de s'exposer autant, car ils sont occupé, et profitent du moment présent.
« Le fait que les internautes rendent publique l'attention qu'on leur porte est un moyen supplémentaire pour exister dans le regard de l'autre » précise Michael Stora. Le manque d'estime de soi est quelque chose qui peut tous nous concerner, particulièrement un moment difficile de notre vie.
On dit souvent qu'il est préférable de se montrer pour que nos prospects ou nos clients puissent mettre un visage sur un nom. C'est sans doute encore plus vrai dans notre monde digital qui nous permet de travailler à distance avec des personnes que nous ne rencontrerons parfois jamais « en vrai ».
Instagram permet aux utilisateurs de partager leurs expériences, bons plans et moments de vie en postant des photos et de courtes vidéos. Ils peuvent choisir de diffuser leurs contenus à une communauté restreinte (compte privé) ou à l'ensemble des utilisateurs (compte public).
Avoir une vie privée vous permet de vous libérer de la pression du monde extérieur et d'être véritablement vous-même. Chacun d'entre nous a besoin d'avoir une vie privée, pour se retrouver, se protéger des autres et se développer.
Les risques éventuels de l'utilisation de réseaux sociaux sont les suivants : exposition à du contenu non désiré comme des messages haineux et de la violence ; cyber-harcèlement ; perte de vie privée en raison d'une perte de contrôle sur des informations personnelles.
Trois dimensions principales : le secret, la quiétude et l'autonomie. La notion de vie privée trouve ses origines dans la distinction classique introduite par Aristote [1966] entre la sphère publique (l'activité politique, la cité) et la sphère privée (la vie familiale et l'activité domestique).
De petits indices, de jolis moments ou de belles découvertes… Instagram est aussi une source d'inspiration inépuisable, il suffit de mettre le # et des millions de photos du monde entier vous sont dévoilées. Déco, mode, puériculture, voyages, rire, curiosité …vous y trouverez forcement votre bonheur !
Via Facebook. Instagram est donc plus efficace pour tout ce qui cible les influenceurs et vise à exposer une marque gratuitement. Les utilisateurs d'Instagram se connectent plus souvent pour rechercher activement une recommandation produit, contrairement à Facebook où ils les ignorent activement…
Cela nous permet d'apprendre à identifier ce qui est le mieux reçu et admiré par notre réseau “d'amis”. Montrer et démontrer sur les réseaux sociaux est également une manière de rivaliser avec les autres sur le “marché social”.
Ces messages éphémères sont aujourd'hui des incontournables sur ces plateformes, et les entreprises ont largement adopté ce procédé pour leurs activités. On pourrait croire que les stories sont essentiellement destinées aux utilisateurs individuels, et pourtant, elles représentent un excellent moyen de communication.
L'excès de demande d'attention et de reconnaissance, la frustration extrême voire l'impossibilité d'entendre la moindre critique, sont les grands signes des fragiles narcissiques. La critique engendre de leur part emportement, colère, rejet. Car elle les désorganise totalement. C'est le risque de chaos.
Bien sûr les réseaux sociaux changent la vie de beaucoup de personnes, ils permettent de se sentir moins seuls, de communiquer et de voir les photos de sa famille et de ses amis que l'on ne voit pas beaucoup à cause de la distance. Ce qui est bien dans ces réseaux c'est qu'il n y a pas de frontière.
Car forcément, nous en venons presque tous à comparer nos vies, jusqu'à nous dévaloriser, parfois injustement. Si nos messages sont ignorés, nous nous sentons tristes, seuls. Si les photos et statuts de nos amis sont (ou semblent) heureux mais que nous le sommes moins qu'eux, nous déprimons encore plus.
Les dangers d'Instagram
Comme principal inconvénient de ce réseau, et comme c'est le cas pour les autres réseaux sociaux, Instagram a la faculté d'amplifier les effets provenant d'une publication ou d'un commentaire. Et plus encore, cette ampleur est redoublée lorsque ce sont des photos qui sont à l'appui.
Tapez simplement sur Taguer des personnes sous le champ de légende de la dernière page d'édition avant de partager votre photo. Ensuite, appuyez sur la personne ou l'objet dans l'image que vous souhaitez taguer et entrez son nom ou son nom d'utilisateur Instagram.
Si vous ne suivez pas le compte, Instagram ordonnera la liste des likes comme suit : Taille du compte (combien d'abonnés) Heure à laquelle le post a été aimé Le compte est vérifié (coche bleue)
Instagram classe vos abonnements dans plusieurs catégories, dont : Les abonnements les plus souvent vus sur le fil d'actualité Les abonnements avec lesquels vous avez le moins interagi.
Pour cela, Instagram observe les anciennes publications avec lesquelles il a interagi, donc les likes, les commentaires ou les enregistrements. Instagram classe ensuite ces publications en fonction de la probabilité que l'utilisateur interagisse avec la publication (likes, enregistrements et partages).
Le droit au respect de la vie privée a été affirmé en 1948 par la Déclaration universelle des droits de l'homme des Nations unies. En France, l'article 9 du code civil consacre cette protection en droit français : "Toute personne a droit au respect de sa vie privée".
Le respect de la vie privée est une des libertés fondamentales de tout individu vivant dans un pays de libertés. Il est la garantie d'un exercice paisible de sa propre vie et du contrôle qu'il devrait toujours conserver de la diffusion ou non d'éléments de son intimité.
La vie privée comporte plusieurs « volets » : la protection du domicile (seule la police peut y pénétrer de force, dans certains cas très encadrés par la loi et la justice, et le domicile du majeur en tutelle est préservé), la protection de l'image, de l'intimité (santé, sexualité, opinions politiques, religieuses, ...
En effet, d'après l'étude, 40% des filles utilisant régulièrement les réseaux sociaux présentaient des signes de mal-être, de dépression, des troubles du sommeil ainsi qu'une mauvaise image corporelle, soit 35% de plus que les garçons. Les jeunes filles seraient aussi plus victimes de cyber-harcèlement que les garçons.