Le décubitus latéral gauche (DLG) est recommandé aux femmes en fin de grossesse afin de libérer la compression aorto-cave et favoriser le bien-être fœtal.
Position d'un malade couché sur le dos et dont la tête est placée plus bas que les pieds. Cette position est fréquemment utilisée en chirurgie, notamment digestive et gynécologique, afin de dégager le pelvis des anses intestinales, et en radiologie.
TEG1 Le décubitus latéral est la position corporelle qui consiste à être allongé sur le côté en respectant l'alignement tête/cou/tronc.
Maintien du confort du patient et prévention des complications du décubitus dont les plus fréquentes sont l'escarre, la phlébite, l'enraidissement articulaire et l'encombrement pulmonaire (Syndrome restrictif ⇨ troubles de la ventilation)… L'homme n'est fait pour rester en permanence ni debout, ni assis, ni couché.
le décubitus ventral ou procubitus : la personne est à plat-ventre (position d'attente en cas de plaie ou de brûlure du dos) ; le décubitus dorsal : la personne est à plat-dos, par exemple décubitus antiorthostatique.
Le décubitus perturbe la mécanique ventilatoire par une diminution de l'ampliation thoracique et une altération de l'appareil mucocilliaire, entraînant une stase bronchique, pouvant se compliquer d'atélectasie et d'infections bronchopulmonaires.
2.3 La position demi-assise
Cette position est indiquée chez les victimes qui présentent une atteinte ventilatoire isolée (pouls bien frappé) car elle améliore la respiration: la masse des viscères abdominaux n'appuie plus sur le diaphragme dont les mouvements sont ainsi facilités.
Les zones les plus fréquemment touchées sont la zone sacro-fessière, les talons, l'arrière du crâne (occiput) et les omoplates.
Patients atteints de SDRA
La ventilation en décubitus ventral réduirait l'atteinte pulmonaire induite par le respirateur grâce à une distribution plus uniforme du volume courant, ce qui réduit le stress non physiologique exercé sur les poumons.
Les positions proclive et assise sont plus favorables à la mécanique respiratoire, permettant une meilleure cinétique diaphragmatique et une meilleure ventilation des bases.
Le coussin semi-fowler est dispositif médical de positionnement indiqué dans la prévention des escarres chez les patients et les personnes soumis à un alitement prolongé en décubitus dorsal, c'est-à-dire en position couchée sur le dos, du fait d'un traumatisme ou d'une pathologie.
Pour installer un patient dans une position confortable et appropriée, l'aide-soignante doit s'informer de la prescription médicale, de possibles contre-indications et de précautions particulières liées à la pathologie.
Le mot « client » se réfère à une transaction commerciale, ce qui est, certes, le cas entre un psychologue et un patient puisque celui-ci paye pour un traitement, mais il serait très réducteur d'utiliser ce terme car il néglige la raison pour laquelle cette personne demande ce service.
Le premier lever est le fait de lever pour la première fois une personne qui est restée alitée de façon prolongée (après un séjour en réanimation, ou suite à une pathologie qui a empêché le lever de la personne comme une hyperthermie par exemple), ou suite à une intervention chirurgicale (sans notion de temps).
Lors d'une interaction difficile avec un patient, évitez de le contredire, de parler en même temps que lui ou d'émettre des jugements. De façon factuelle et sur un ton neutre, consignez dans le dossier médical du patient toute déclaration ou tout comportement déplacé de sa part envers vous ou vos employés de bureau.
L'alitement conduit aussi à une perte de capacité aérobique, associée à des risques d'hypoventilation et de broncho-aspiration et dès lors, d'infections pulmonaires secondaires. Finalement l'alitement favorise l'incontinence urinaire et augmente le risque de développer des lésions cutanées, voire des escarres.
Décubitus ventral : c'est le nom de la position donnée aux patients atteints du Covid-19 et souffrant de graves difficultés respiratoires. Ils sont placés sur le ventre pour permettre au sang de mieux circuler dans les poumons pour mieux s'oxygéner.
Toute immobilisation expose à un risque de perte musculaire, de déconditionnement à l'effort, de phobie de la marche, d'infec- tion, d'ostéoporose, de constipation, d'incontinence, de throm- bose veineuse profonde et d'escarres.
Les zones les plus touchées par les escarres sont celles où l'os se trouve près de la peau, comme au niveau des hanches, du coccyx, des talons, des chevilles et des coudes, mais elles peuvent apparaître n'importe où. Les escarres prolongent le séjour à l'hôpital ou en maison de santé.
Les pansements de type tulle gras et hydrocolloïdes (sous forme de plaque ou de pâte) sont les plus utilisés, surtout en cas d'escarre peu exsudative. Pour une escarre exsudative, les pansements hydrocellulaires seront privilégiés.
Savoir poser des limites, c'est être capable de dire « non » à ce qu'il fait mais « oui » à ce qu'il est. « Recadrer », c'est peut-être instaurer un espace de parole et de prise de décision commune, qui engage chaque partenaire du soin.
Pour mettre à l'aise le patient dès son arrivée, le contact doit être chaleureux, sécurisant et respectueux. L'écoute, la disponibilité, la patience et le sourire doivent être de rigueur. Cette relation initiale participe à la création d'un climat de confiance.
Dormir en position semi-assise détend les muscles
Les personnes souffrant de douleurs musculaires dorsales trouvent parfois plus de confort en dormant en position semi-assise. Cette position soulage le bas du dos en limitant les tensions musculaires qui se font ressentir en position allongée.