Le mors releveur est un mors que l'on peut utiliser pour des chevaux sur les épaules et qui s'appuient sur la main. L'action de ce mors incitera votre cheval à passer ses postérieurs dessous (Sur son arrière main) et remonter son garrot. Cet effet permettra de le rééquilibrer et de le redresser.
– mors à demi- spatules
Il est surtout utilisé pour les chevaux qui basculent la tête afin de ne pas répondre à une action de main du cavalier.
Ce mors est souvent utilisé dans l'objectif de redresser des chevaux un peu trop sur les épaules, ou encore de rendre plus légers des chevaux qui collent à la main ou qui peuvent tirer. Certains chevaux peuvent réagir en lâchant la main avec ce type de mors.
Si le cheval a la langue mince et l'auge creuse, tous les mors lui conviennent: la langue trouve sa place. Lorsque ce n'est pas le cas, il faut augmenter l'espace où la langue peut se placer. Un mors de bride cintré (mors "L'hotte") convient le plus souvent.
Les mors droits
L'amortissement de la langue fait que les barres sont peu touchées. Ces mors sont toutefois peu précis parce que les deux côtés ne sont pas dissociés. Ils sont réputés plus doux mais tous les chevaux ne supportent pas la pression sur la langue.
L'utilisation du mors releveur :
Le mors releveur est un mors que l'on peut utiliser pour des chevaux sur les épaules et qui s'appuient sur la main. L'action de ce mors incitera votre cheval à passer ses postérieurs dessous (Sur son arrière main) et remonter son garrot.
Un mors de 115 mm convient aux poneys ou chevaux à tête fine de 1,20 à 1,50 mètres. Un mors de 125 mm convient aux grands poneys ou chevaux de 1,50 à 1,65 mètres. Un mors de 135 mm convient aux chevaux de 1,65 à 1,80 mètres. Un mors de 145 mm convient aux grands chevaux.
L'utilisation d'un mors Pelham :
Le mors Pelham est un mors encore plus dur que le Pessoa. C'est un mors puissant utilisé généralement avec une gourmette.
ce qu'il faut lui apprendre, c'est à pousser avec ses fesses, à s'arrondir, se détendre sur ta main et là, tu verras qu'il baissera la tête. surtout, il faut le laisser venir sur ta main et non pas chercher à le placer. l'impulsion le fera naturellement descendre et prendre son mors.
Filet Verdun
Sa forme permet de stabiliser le mors dans la bouche du cheval et de créer un léger effet de levier transférant une petite partie de la pression à la nuque. Recommandé pour les chevaux : jeunes, sensibles, ayant tendance à aller de l'avant et en tant que mors de base.
Les mors simples
Les embouchures simples sont celles qui sont les plus répandues et les plus douces pour la bouche du cheval. Leur effet sur la bouche varie selon la qualité de la main du cavalier ce qui rend cette embouchure modulable à souhait.
Le headshaking est une pathologie du cheval dont la cause exacte est encore inconnue, même si on a démontré l'implication d'une hypersensibilité du nerf trijumeau. Cette affection se caractérise par des mouvements de tête intempestifs ainsi que d'autres signes tels que les frottements de nez et les éternuements.
Un billot en caoutchouc ou bien un filet simple ou à olives, en caoutchouc. Ce sont les mors les plus doux et, sauf erreur, les plus couramment utilisés pour les débourrages.
C'est un cheval qui a peut-être un peu de mal à se soumettre, et qui, du coup, essaie de se débarrasser de toute demande en montant la tête. Essayez de lui mettre une martingale pour éviter qu'il y ait un point de rencontre à un moment donné et qu'il se dise qu'il vaut mieux arrêter.
Quand il lève la tête en vous apercevant, il vous témoigne de son contentement à l'idée que vous arriviez. Les comportements de balancement de tête ne sont donc pas systématiquement des stéréotypies ou des signes de douleur.
Les douleurs buccales liées au port du mors résultent de la compression, de la lacération ou de l'étirement des tissus, d'inflammations et d'entraves à la circulation sanguine. Le frottement ou choc répété du mors est susceptible de créer des contusions, coupures, déchirures et ulcères dans la bouche du cheval.
Le cheval baisse la tête pour s'étirer
En effet, le fait de baisser ainsi la tête lui permet de relâcher son encolure et d'étirer les muscles de son dos. Vous pouvez d'ailleurs voir son dos s'arrondir. Dans cette position, non seulement il se sent bien, mais en plus cela lui permet de mieux s'équilibrer sur ses pattes.
N'hésitez pas à faire de profondes respirations et à bouger vos épaules pour les relâcher. Vous verrez, votre cheval va se détendre lui aussi si vous êtes plus décontracté(e).
Prenez un peu de contact sur la rêne intérieure, sans tirer, et attendez que votre cheval cède en jouant dans vos doigts. Dès qu'il y a un mouvement vers le bas, relâcher sans perdre le contact et accompagnez le mouvement avec vos mains. Bien sûr, n'oubliez pas de récompenser.
Les rondelles évitent le pincement du mors sur la commissure des lèvres. Elles permettent aussi de réduire la largeur d'un mors trop grand.
Le double-brisure est à priori plus confortable que le mors simple brisure car il agit plutôt sur la langue que sur le palais. Il permet généralement d'obtenir plus de décontraction dans la bouche du cheval.
Si un cheval ouvre fréquemment la bouche, montre sa langue, ses dents, mastique nerveusement son mors la bouche ouverte ou grince des dents, cela constitue un signe évident d'inconfort.
C'est un ensemble de choses et de signes. Il faut voir s'il se fige dans sa mâchoire, s'il met les oreilles en arrière en même temps alors oui ça peut être un signe de mal-être. Et sinon un cheval qui mâche son mors quel que soit la raison, stress ou jeu, n'a en principe pas mal aux dents.
Il faut défaire l'anneau en bas, ensuite passer la ficelle dans le releveur et remettre l'anneau!
Le mors pelham est aussi préconisé pour son effet abaisseur, car il incite les chevaux à céder dans leur nuque. Il facilite donc la mise en main et la conduite du cheval. La contrainte exercée sur la bouche sera fonction de la longueur des branches, du serrage de la gourmette et comme toujours… de la main du cavalier.