Il existe de nombreuses études prouvant que les personnes qui se connaissent bien ont un plus grand sentiment de complétude, ont des relations plus solides avec les autres, sont plus confiantes et créatives. Elles ont moins tendance à mentir, tromper et voler et sont plus performantes.
Le fait de connaître notre manière de fonctionner, de penser et de réagir permettra de mieux appréhender les situations et les réactions de l'autre. Nous prendrons conscience qu'autrui n'a pas nécessairement les mêmes réactions que nous, et qu'il peut avoir une personnalité différente de la nôtre.
Se connaître soi-même, c'est bien davantage se reconnaître dans ses propres choix, dans la manière de les assumer en étant capable, par exemple, de tenir ses promesses. La connaissance de soi met alors à jour notre identité-ipsé, c'est-à-dire notre dignité morale qui nous élève au-delà de ce que la nature fait de nous.
La connaissance de soi est le savoir qu'une personne acquiert sur elle-même, en termes psychologiques ou spirituels, au cours de sa vie à l'occasion de ses expériences.
La connaissance désigne un rapport de la pensée à la réalité extérieure et engage la notion de vérité comme adéquation de l'esprit et de la chose. Par extension, le terme connaissance désigne le contenu de la pensée qui correspond à la nature de la chose visée, et s'oppose à erreur ou illusion.
La méditation est essentielle pour la connaissance de soi car elle permet d'en savoir plus sur le fonctionnement de vos pensées. Trop souvent, nous manquons de connaissance de soi parce que nous pensons trop.
1. Pouvoir identifier quelqu'un, quelque chose, les reconnaître ou avoir appris leur nom, ce qu'ils sont, qui ils sont : Je connais le garçon qui est là-bas.
Le "Myers Briggs type indicator" (ou MBTI ) est le test psychologique le plus utilisé au monde. Il vous permet de vous situer parmi 16 types de personnalité, et peut aider à s'orienter ou à améliorer ses relations aux autres.
Pour se connaître soi-même et se construire, il nous faut donc avant tout prendre conscience de notre existence, et la comprendre. Trouver à travers les autres qui nous sommes, en interagissent avec eux, pour savoir qui l'on est vraiment.
Se connaître soi-même n'est pas un devoir parmi les autres, c'est en fait le premier des devoirs. C'est cela qu'a montré Socrate, et sa révolution socratique.
Vouloir se connaître c'est donner un sens à sa vie. Dès lors « se connaître » se présente davantage comme un idéal que comme une réalité. Le sujet ne se laissant pas objectiver, la connaissance de soi ne peut être du même ordre qu'une connaissance scientifique, expliquant un objet extérieur, ou distinct du scientifique ...
- Se connaître soi-même suppose d'entrer profondément en soi. Autrement dit de dépasser la superficialité du moi social, mondain (cf Heidegger sur la dictature du « on »), mais aussi de dépasser les limites du moi conscient (cf Freud ou Nietzsche par rapport à l'inconscient).
En effet, de la connaissance de soi découle la confiance en soi, la motivation ou bien encore la persévérance. Pour gagner en efficacité, le collaborateur doit avoir conscience de ses forces, ses faiblesses ainsi que de ses propres limites..
Il a identifié la conscience de soi comme étant constituée d'une conscience émotionnelle, d'une auto-évaluation précise et de la confiance en soi. En d'autres termes, il s'agit de connaître vos émotions, vos forces et vos faiblesses personnelles et d'avoir un sens aigu de votre propre valeur.
Il est très difficile de se connaître soi-même, d'une part parce qu'une partie de nous-mêmes est inaccessible (cf. Freud, "le moi n'est pas maître de sa propre maison"). D'autre part, parce qu'un sujet ne peut devenir objet pour lui-même. En ce sens, la connaissance d'autrui est plus aisée.
Une étude de la Nothwestern University classe les personnalités selon quatre grands types : "réservé", "égocentrique", "moyen" et "modèle".
Faire connaissance en ligne, c'est instaurer un dialogue. Laissez l'autre répondre à vos questions sans le submerger d'informations ou de demandes. Montrez vous curieux et intéressé par rapport à ce qu'il ou elle aime. La personne derrière l'écran doit se sentir à l'aise et avoir envie de se livrer à vous.
-Connaître est suivi d'un groupe nominal et n'est jamais suivi d'un verbe. - Il n'est jamais suivi d'une proposition subordonnée introduite par : que/ qui/ où/ quand/ pourquoi/ comment/ si... Savoir est utilisé pour des faits, des choses connues de façon approfondie, des capacités, des informations reçues.
Se connaître c'est donc un peu se construire : il y a une réflexion sur soi, et non un simple constat. C'est un travail, créatif, puisque je m'y construis. En effet en réfléchissant à qui je suis, je crée celui que je suis, car je cesse de subir mon être pour le choisir : je deviens conscient de moi même.
La connaissance de soi se heurte aussi à un autre obstacle, celui de l'objectivité. Pour qu'une connaissance soit sérieuse, il faut qu'elle soit objective. Il doit exister une distance entre le sujet qui veut connaitre et l'objet de sa connaissance.
On retient généralement trois types de connaissances : les connaissances déclaratives, les connaissances procédurales et les connaissances conditionnelles.