Il y a le manque de socialisation, un événement traumatisant véçu par l'animal en présence d'un humain et la génétique. « La période de socialisation est très importante dans le développement du chiot. Malheureusement, je pense que plusieurs chiens peureux ont manqué de socialisation.
Certains chiens sont nerveux, peureux ou timide en présence d'hommes en raison d'une mauvaise socialisation ou d'une expérience passée négative. Heureusement, vous pouvez aider votre chien à gérer sa peur en faisant preuve de patience et d'une éducation cohérente et adaptée.
Dès que votre chien fait un effort social, récompensez-le. S'il s'asseoit près d'étrangers, félicitez-le avec un mot ou un son (un clicker ou un simple « oui ») puis délivrez-lui une friandise. Faites-le dès qu'il approche quelqu'un dont il avait peur avant, et cela l'incitera à recommencer.
La protection : votre chien peut chercher aussi à vous protéger. Le passant qui s'approche représente une menace pour son maître et il fait donc tout pour l'éloigner. La défense : quand un chien aboie sur les gens alors qu'il est sur votre terrain, c'est tout simplement parce qu'il cherche à défendre son territoire.
Il faut procéder par désensibilisation d'abord. C'est à dire exposer très progressivement le chien au stimulus qui lui fait peur, d'abord à une intensité qui n'entraîne aucune réaction, puis augmenter le niveau en évitant de provoquer des réactions de peur.
En comportement, il importe de différencier peur et crainte, deux mots du registre de l'éthologie qui s'emploient selon que le milieu où est ressentie l'émotion est ouvert ou fermé. La peur conduira le chien vers la fuite, l'affrontement ou la sidération. La crainte est liée à une adaptation de l'individu.
Au contraire, lorsque votre chien a peur, il faut vous montrer calme, confiant, serein et faire comme si tout allait bien. Votre animal constatera ainsi que vous n'avez pas peur et donc qu'il n'a pas besoin d'avoir peur lui-même. Essayez de détourner son attention par le jeu ou en lui donnant une friandise.
Cette étude très sérieuse a été publiée dans la revue Neuroscience and Biobehavioural Reviews démontrent que lorsqu'un individu à de mauvaises intentions, l'équilibre chimique du cerveau se trouve modifiée et que cette modification peut facilement être ressentie par le chien.
Laissez votre chien toucher les museaux des autres toutous et si possible détaché de sa laisse. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, pour socialiser son chien adulte avec les autres, mieux vaut ne pas empêcher son compagnon à 4 pattes d'aller rencontrer ses congénères.
La réponse est simple : à cause des sports canins. Plus précisément, à cause des sports de mordant qui étaient, à la base, prévus pour les chiens de l'armée. Résultat, il était plus cohérent, plus simple, d'éduquer le chien directement du côté gauche. Avec le temps, cette pratique est restée.
Voici quelques signes d'anxiété chez le chien : Comportements défensifs: immobilité, évitement, retrait, fuite, agression. Vocalisations, recherche de contact continuel avec une personne donnée. Halètements, salivation, tremblements, posture basse, oreilles tirées vers l'arrière, bâillements, léchage des babines.
Cette réaction, indépendante de sa volonté, est la conséquence d'une anxiété, voire de la peur. Généralement, il se met à bâiller dans ce cas, signe d'une réaction nerveuse. Une rigidité musculaire : les membres du chien stressé sont tendus, notamment la queue, les pattes et la tête.
Ne le forcez jamais, laissez venir petit à petit son envie de « dépasser ses limites », en recourant systématiquement à l'encouragement et à la récompense. Si votre chien a peur des autres chiens, essayez de repérer dans votre entourage le chien le plus doux, et organisez des rencontres.
L'hyperactivité, la peur, l'anxiété, la dépression sont autant de maux qui altèrent les capacités d'obéissance d'un chien. Tant qu'il souffrira de ce trouble, il répondra difficilement aux ordres de son maître, non parce qu'il ne le veut pas mais parce qu'il ne le peut pas.
Parlez doucement et lentement sur un ton calme et posé. Le bénéfice des caresses en sera décuplé. Il en va de même quand l'animal est hospitalisé, il est important pour sa santé physique et mentale de venir le voir, de lui parler et éventuellement de le toucher pour le détendre.
Comme le Golden Retriever, le Labrador fait partie des chiens les plus affectueux et les plus doux. Enjoué, joueur et curieux, il est idéal pour la vie en famille et il se révèle très fidèle, patient et protecteur envers ses proches, adultes comme enfants.
Fort heureusement, il n'est jamais trop tard pour bien faire. Il est en effet parfaitement possible de socialiser son chien adulte. Cela demande la connaissance de quelques bases élémentaires et, aussi, beaucoup de patience.
Les chiens surveillent constamment les interactions sociales, et ils se méfient de la manière dont les autres personnes traitent leurs maîtres. Ils sont donc plus susceptibles de montrer de la méfiance et d'aboyer s'ils sentent qu'une personne n'est pas aimable ou risque de se montrer hostile.
Un gène très spécial
L'une des découvertes les plus récentes est que l'hormone responsable de la confiance et de l'empathie chez les humains, l'ocytocine, entre également en jeu dans les relations entre chien et maître.
Voyons ensemble quelques unes des causes qui poussent votre toutou à ne pas vous écouter lorsque vous l'appelez : Votre chien n'est peut être pas suffisamment promené ou pas suffisamment lâché. Si la laisse est sans cesse tendue, cela engendrera une frustration chez votre chien.
Essayez d'avoir une veilleuse peu forte pour éviter d'illuminer toute la pièce. La noirceur de la nuit est nécessaire pour l'organisme de l'animal.
Mais attention, un chien qui a peur peut instinctivement se mettre en mode « fuite » et donc se faire tout petit. Si votre chien agit comme si vous n'existiez pas alors que vous l'appelez, c'est peut-être parce qu'il a peur de vous.
COMMENT SE MANIFESTE LA SOCIOPATHIE ? Les manifestations sont nombreuses : on constate généralement des agressions, limitées au début à des menaces, de la malpropreté, des aboiements en l'absence des maîtres et des destructions localisées aux issues du domicile.