Le seul petit désagrément, d'après l'ORL contacté, c'est que si elle est très chargée en germes ou en protéines inflammatoires, elle peut être irritante et générer des maux de gorge. Plutôt que de renifler sans cesse ou d'avaler sa morve, mieux vaut se moucher.
Les muqueuses peuvent produire la substance grâce à l'eau et des éléments présents dans le sang. Le mucus contient notamment beaucoup d'oligoéléments, dont de l'iode. C'est ce qui lui donne un goût très salé.
Le mucus ne peut plus s'écouler par le nez, il coule alors dans l'arrière-gorge. Il va être plus épais. Les glaires vont alors avoir tendance à obstruer la gorge.
En cas de rhume pourtant, le reniflement n'est pas du tout la bonne méthode. « Quand on a des sécrétions dans le nez, le fait de renifler fait remonter le mucus dans vos sinus et les congestionne à nouveau. Il faut donc les évacuer, c'est l'idéal. Pour cela rien de tel que de se moucher ».
Description. L'hémoptysie désigne le fait de cracher du sang ou du mucus teinté de sang en toussant. C'est un signe grave, qui révèle l'existence d'une maladie sévère des voies respiratoires et requière de consulter un médecin au plus vite. Autrement dit, c'est une urgence !
En cas de rhume, de maladies virales de l'hiver ou encore d'allergie, la production de mucus s'emballe et on se transforme en usine à morve. « Dans la muqueuse nasale, il y a donc des glandes, qui forment des petits sacs chargés de sécrétions, dont la production est régulée par le système nerveux, précise l'ORL.
La congestion des sinus, l'écoulement nasal et la pression avec douleur faciale ou maux de tête peuvent indiquer un rhume. Mais si l'écoulement nasal est jaune ou décoloré, cela indique probablement une infection des sinus. Les sinusites chroniques peuvent affecter votre qualité de vie et vous fatiguer.
Il est donc conseillé de cracher ce mucus, ces glaires pour en éliminer un maximum. Pendant des années, vous avez avalé des saletés qui se sont accumulées dans votre organisme.
Et conseil le plus important, il ne faut pas se moucher trop fort car cela peut favoriser la dispersion des microbes dans les oreilles et les sinus et provoquer ainsi des otites ou des risques de rhinopharyngite. L'air chargé de bactéries pourrait également provoquer des maux de tête et autres inflammations.
Il faut veiller à ne pas se moucher trop fort, et de préférence une narine après l'autre. En effet, lorsqu'on se mouche fort, la pression dans le nez est beaucoup plus importante que lorsqu'on éternue ou que l'on tousse. Cela peut entraîner une propagation de l'inflammation dans les sinus.
Gorge qui gratte, toux… Il peut s'agir d'une bronchite. La bronchite aiguë est une inflammation de la muqueuse des bronches, causée la plupart du temps par des virus.
La couleur du mucus raconte une histoire
Il change de couleur quand on est malade. Il devient jaune-vert, indiquant la présence de globules blancs combattant l'infection. Le mucus rosé, rouge ou même brunâtre indique plutôt la présence de sang.
Si l'écoulement est épais, jaune ou vert, cela signale qu'il contient beaucoup de globules blancs - mais pas forcément une infection aigûe, donc, pas forcément des antibiotiques à prendre. S'il est transparent, c'est seulement du mucus (similaire à de la salive...)
La cacosmie est une atteinte olfactive caractérisée par la présence d'une odeur désagréable dans le nez dont le patient n'arrive pas à se débarrasser. Le diagnostic de la cacosmie est clinique et confirmé par divers examens complémentaires.
Parmi les symptômes pouvant survenir par la suite, il y a les maux de tête, le nez bouché, les yeux larmoyants, une toux quinteuse, des frissons, des muscles endoloris et des malaises généraux (se sentir malade), qui durent de deux à sept jours. Dans certains cas, ils peuvent durer deux semaines.
Il empêche les saletés d'entrer dans tes poumons. Comment ? Grâce aux poils des narines (appelés vibrisses), où s'accrochent les poussières et les microbes. Ils se collent à la morve [liquide visqueux qui sort du nez] et forment un tas : le mucus nasal [nom savant pour crotte de nez].
Dans le cas d'une dacryocystite chronique, l'obstruction du canal lacrymo-nasal entraîne la sécrétion de mucus dans le sac lacrymal. Le mucus (substance visqueuse) peut donc sortir de l'œil de la même manière qu'une larme, ou lors d'une pression.
A vos mouchoirs.
En cas de rhume pourtant, le reniflement n'est pas du tout la bonne méthode. "Quand on a des sécrétions dans le nez, le fait de renifler fait remonter le mucus dans vos sinus et les congestionne à nouveau. Il faut donc les évacuer, c'est l'idéal. Pour cela rien de tel que de se moucher".
Si des allergies sont responsables de l'écoulement dans l'arrière-nez, on peut utiliser des antihistaminiques disponibles en vente libre (par ex. la loratadine, la desloratadine, la cétirizine et la fexofénadine) pour enrayer les symptômes.
Inspirez profondément par le nez. Toussez deux fois, la bouche légèrement entrouverte. La première fois, pour faire décoller les sécrétions ; la seconde fois, pour faire monter les sécrétions dans votre gorge. Crachez les sécrétions dans un mouchoir.
Les causes possibles de saignement sont :
Souvent rupture banale d'un petit vaisseau. Rarement infection locale. Traumatisme à type de fracture des os de la face, ou lié à une chirurgie du nez ou des fosses nasales. Tumeurs des fosses nasales et des sinus, qu'elles soient bénignes ou malignes.
En général, un rhume prend fin après 10 ou 15 jours, on constate une réduction de l'écoulement nasal et des maux de tête, ainsi que les autres symptômes, mais il faut rester vigilant car même s'ils sont rares, des risques de complications existent avec un rhume.
bleu : infection au bacille pyocyanique ; rougeâtre : évoque une hémorragie (présence de sang qui pourrait couler).