"Les effets de l'alcool associés au soleil et à la chaleur favorisent l'inconfort digestif, les insomnies et les maux de tête", insiste notre expert. Le vin rouge et les alcools sont à éviter car ils peuvent provoquer des bouffées de chaleur. "Le vin rouge, de par sa charge tannique, apporte de la chaleur au corps."
Globalement, les spiritueux ne sont pas très sensibles aux variations de températures. Mais il est quand même plus prudent d'éviter d'exposer vos bouteilles à des chaleurs trop fortes.
Sous l'effet de la chaleur, les effets déjà néfastes de l'alcool sont décuplés. «L'alcool est un vasodilatateur, ce qui signifie qu'il élargit et dilate les vaisseaux sanguins, explique Julia Blank, médecin au Providence Saint John's Health Center de Santa Monica, en Californie.
- Enfin, la bière, c'est sucré, et le sucre empêche le stockage de l'eau dans le corps. Bref, en buvant de la bière quand il fait chaud vous augmentez les risques de coups de chaud et de déshydratation. Sans surprise, la boisson qui hydrate et désaltère le mieux, c'est tout simplement l'eau.
Un vin rouge à boire frais.
"En période de canicule, il est recommandé de boire des eaux minéralisées pour compenser les pertes de minéraux par la transpiration et la déshydratation liée aux fortes chaleurs, notamment les eaux contenant des sels de bicarbonate, du chlorure de sodium, du potassium et du magnésium", confirme l'ANSES.
Il se pourrait que l'alcool cause chez vous une hypoglycémie, c'est à dire une baisse du taux de sucre dans le sang. Les symptômes sont les sueurs, les tremblements, des palpitations, de la faim, etc. Pour éviter cela, modérez votre consommation d'alcool et ne buvez surtout pas en étant à jeun (estomac vide).
Si l'on boit un verre assez lentement pour qu'il dure une heure, il est peu probable que l'on s'enivre. Mais dès que l'on boit davantage, ou la même quantité mais plus rapidement, le foie est débordé. L'excès d'alcool se retrouve dans le sang et imprègne chaque organe du corps, y compris le cerveau.
La transpiration excessive, les suées nocturnes sont en effet des symptômes du sevrage alcoolique. Vous les avez ressenties au début de votre arrêt, quand vous avez drastiquement réduit, et vous les ressentez à nouveau, alors que vous êtes totalement abstinente depuis six jours.
La chaleur accélère le processus de vieillissement du vin. Malheureusement, jamais dans le bon sens, puisque celui-ci souffrira grandement, et risque une oxydation prématurée. Sur une longue période, le bouchon risque de s'assécher, la coulure survient…et tout peut se précipiter…
Sous l'effet de la chaleur, le bouchon se dessèche, le vin coule et s'oxyde. Autre ennemi : la lumière. L'exposition au soleil a tendance à dégrader les tannins du vin et à accélérer sa maturation.
C'est le seul antiseptique qui ne périme pas à la condition que le flacon soit correctement fermé ! Bactéricide, fongicide et virucide sur les virus enveloppés.
Si en hiver certains aiment boire un verre d'alcool pour se réchauffer, en été cette sensation de chaleur, couplée avec les rayons du soleil, peut s'avérer dangereuse. Mais ce n'est pas tout : l'alcool est également diurétique, c'est-à-dire qu'il pousse le corps à libérer de l'eau par l'urine.
L'alcool vous fait éliminer une grande quantité d'eau dû à l'alcool et c'est donc les cellules ; et notamment celles du cerveau (neurones et cellules gliales) qui souffrent et sont déshydratés !
Résultant d'une exposition prolongée à la chaleur, il provoque une surchauffe du corps, qui se traduit par une fièvre élevée, une rougeur du visage, des maux de tête, une forte sensation de soif voire des vomissements et des troubles de la conscience.
Une déficience génétique
Il s'agit en fait d'une mutation génétique qui touche jusqu'à 1/3 de certaines populations asiatiques, chez qui le gène permettant de métaboliser l'alcool est déficient. « Au départ, on a tous un gène qui permet de se débarrasser de l'alcool, qu'on appelle déshydrogénase (ADH).
Oui. Pour une même quantité d'alcool consommée, le taux d'alcool dans le sang sera généralement plus élevé chez une femme que chez un homme.
Etre «ivre d'amour» est une métaphore courante dans notre culture qui assimile souvent l'attirance sexuelle ou sentimentale à une perte momentanée de raison… L'alcool induit un état second à quoi on a souvent comparé le désir. Il rend fou.
Il est scientifiquement prouvé qu'arrêter l'alcool permet de perdre du poids. En une seule semaine vous pouvez éliminer de 0.5 kg à 2 kgs. Au bout de quatre semaines, la perte de graisse est plus marquée et on commence à percevoir un vrai changement.
Il est donc important de bien boire, à savoir entre 1,5L et 2L d'eau par jour, pour que le foie puisse faire son travail correctement et éliminer les déchets. C'est pour cette raison qu'il est particulièrement important de boire beaucoup d'eau lorsque l'on consomme de l'alcool.
Les symptômes de sevrage «sans complications»
Il peut aller de légers tremblements à une trémulation forte. Les symptômes sont analogues à ceux d'une gueule de bois, mais beaucoup plus prononcés. Autres symptômes : sueurs profuses, pouls accéléré, parfois hyperventilation et hypertension.
Une boisson très froide va aussi provoquer la constriction des vaisseaux sanguins autour de l'estomac, ce qui peut ralentir la digestion et entraîner des crampes d'estomac, particulièrement lorsque cette eau est consommée pendant qu'on mange.
La solution : boire tiède
L'idéal, quand il fait chaud, serait donc non pas de boire chaud mais de boire des boissons tièdes, entre 12 et 14 °C, qui permettent à la fois de se désaltérer et d'hydrater efficacement notre corps.
Les besoins en hydratation varient selon l'âge, le sexe, la température et les activités effectuées. En moyenne, les femmes doivent boire 2,7 litres de liquide par jour et les hommes, 3,7 litres. « Ça inclut l'eau que l'on mange dans les aliments et que l'on boit dans les liquides.