Attention ! Evitez de piquer le pouce et l'index : c'est ce que l'on appelle « la pince ». En effet, la réalisation des glycémies capillaires à répétition peuvent entraîner une perte de sensibilité au bout des doigts et rendre plus difficile le fait d'attraper des objets.
Contrairement à l'idée reçue (ne pas utiliser le pouce et l'index) tous les doigts peuvent être utilisés pour effectuer un prélèvement capillaire. Selon les Référentiels de bonnes pratiques actualisés publiés par la SFD Paramédical sur la surveillance de la glycémie, il convient d'utiliser tous les doigts.
Il faudra piquer sur le côté du doigt (bord latéral de la dernière phalange) et non au bout du doigt. En effet, le bout du doigt est une zone riche en terminaisons nerveuses, ce qui le rend plus sensible et plus douloureux aux piqûres répétitives.
Le test dextro consiste à prélever une goutte de sang, habituellement au bout d'un doigt, et à la transférer sur une bandelette introduite dans le lecteur qui affiche la glycémie. Quelques recommandations sur le déroulement du prélèvement : Le prélèvement de sang doit être effectué sur une peau propre et sèche.
Le stress augmente le risque d'hyperglycémie
Ces hormones ont notamment pour effet d'augmenter la glycémie afin de procurer l'énergie nécessaire pour pouvoir faire face au stress. Et cette hausse de glycémie, lorsqu'on est diabétique, peut perdurer si l'insuline est insuffisante.
L'organisme produit une poussée d'hormones qui commence environ 2 h à 3 h avant l'heure habituelle du réveil, ce qui fait augmenter la glycémie à jeun (avant les repas). Sans l'action de l'insuline nécessaire pour réguler cette augmentation, la glycémie à jeun est élevée tôt le matin (ou à l'aube).
Une équipe de médecins explique qu'« une bonne hydratation semble réduire la glycémie en diminuant la résistance à l'insuline tout en réduisant le besoin d'une personne de prendre plus de boissons ou de nourriture pendant la journée.
À quelle fréquence dois-je contrôler ma glycémie ? Avant toute vérification, il est nécessaire de connaître vos objectifs glycémiques : à jeun et 2 heures après les repas (post-prandial). Votre médecin déterminera avec vous ces objectifs ainsi que la fréquence de mesure. Il n'existe pas de règle universelle.
Pour connaître son taux de glucose post prandial, il est recommandé de mesurer sa glycémie une à deux heures après le début du repas. Cette durée correspond à ce que l'on appelle le « pic glycémique ». Les personnes sans insuline ou sous insuline lente peuvent contrôler leur glycémie après un repas, à titre indicatif.
une glycémie normale à jeun se situe entre 70 et 110 mg/dl. entre 100 mg/dl et 125 mg/dl à jeun, on parle d'intolérance glucidique ou de "prédiabète" si la glycémie égale ou dépasse les 126 mg/dl à jeun ou 200 mg/dl à n'importe quel moment, on pose un diagnostic de diabète.
Attention ! Evitez de piquer le pouce et l'index : c'est ce que l'on appelle « la pince ». En effet, la réalisation des glycémies capillaires à répétition peuvent entraîner une perte de sensibilité au bout des doigts et rendre plus difficile le fait d'attraper des objets.
En effet, l'urine des diabétiques a un goût plus sucré en raison de l'excrétion plus élevée du sucre dans l'urine. Il y a des centaines d'années, les médecins goûtaient l'urine de leurs patients pour diagnostiquer le diabète.
Un jeûne de 8 heures est recommandé dans le cas d'un dosage de glycémie, d'hyperglycémie provoquée, du glucagon et le dosage d'insuline. Idéalement, la veille au soir de la prise de sang, vous pouvez prendre un repas léger pour le souper et vous abstenir de grignoter avant de vous coucher.
Le taux normal de glycémie à jeun se situe entre 0,70 grammes et 1 gramme de glucose par litre de sang. En-dessous de 0,70g/L, il s'agit d'hypoglycémie. Au-dessus d'1g/L, on parle plutôt d'hyperglycémie. Le diabète se caractérise pas un taux de glycémie supérieur à 1,26g/L.
Par de légères pressions des doigts, massez la zone où sera injectée la substance médicamenteuse afin de « détendre » les tissus... astuce très efficace pour éliminer la douleur ! Sachez que lorsque l'on masse la zone de l'injection, cela peut déclencher des contractions musculaires involontaires.
La glycémie normale se situe entre 0,70 et 1,10 g par litre de sang à jeun. Pour la glycémie postprandiale, c'est-à-dire 2h après un repas, le taux de sucre doit être inférieur à 1,40 g par litre. Lorsque la glycémie est basse, celle-ci est inférieure à 0,70 g par litre. On parle d'hypoglycémie.
L'ail : cette plante a un effet bénéfique sur la glycémie mais elle permet également d'éviter les complications liées au diabète. Il peut se consommer cru, écrasé ou finement tranché ; L'ortie : cette plante a un effet diurétique et permet de réduire le taux de glycémie dans le sang.
Chez un sujet sain, la glycémie s'élève en quelques minutes dès le début de la prise alimentaire mais ne dépasse pas 1,40 g/L au maximum à 30 minutes, pour revenir autour de 1g/L en moins de deux heures.
La glycémie normale 2 h après le début d'un repas doit être inférieure à 1,40 g/L (7,8 mmol/L) et ce chiffre s'élève de 0,10 g/L par décennie après l'âge de 50 ans.
Voyons ensemble pourquoi… En France, la moyenne d'âge des patients diabétiques est de 65 ans1 et la fréquence du diabète augmente avec l'avancée en âge2. Le nombre de sujets âgés de plus de 60 ans s'accroît et atteindra vraisemblablement 21 millions d'ici 20303.
La phase pendant laquelle la glycémie est au-dessus des valeurs considérées comme normales (> 1,10 g/l ou 6,0 mmol/l) mais au-deçà du seuil défini pour le diabète de type 2 (1,26 g/l ou 7,0 mmol/l) est décrite comme une phase de troubles de la glycorégulation ou état de prédiabète.
C'est le cas de la charcuterie, des viandes panées, des fromages ou encore du pain blanc.
L'activité physique pour faire baisser la glycémie
Vingt minutes d'activité physique régulière suffisent, dans un premier temps. A condition toutefois de transpirer et de faire travailler le système cardiovasculaire. Vous pourrez ensuite progressivement augmenter la durée selon vos capacités physiques.
Certaines études rapportent que la caféine peut entraîner des fluctuations plus ou moins importantes de la glycémie, surtout chez les personnes qui vivent avec le diabète de type 2. Certaines personnes rapportent, en effet, avoir observé une augmentation de leur glycémie suite à la consommation de caféine.