des postures de travail inadaptées (de longues heures penchés sur son ordinateur par exemple), un excès de stress accompagné de fatigue, dans certains cas, qui fait contracter les muscles des épaules, des problèmes de vision (lunette inadaptées, problème de convergence des yeux) de l'arthrose cervicale.
Les hormones peuvent aussi être à l'origine des céphalées et des migraines, notamment en période de menstruations (migraine cataméniale) ou pendant la grossesse. Enfin, les personnes faisant de l'arthrose peuvent avoir ce qu'on appelle des céphalées cervicales, derrière la tête.
Les douleurs à la nuque sont dites chroniques lorsqu'elles durent plus de trois mois. Lorsqu'elles s'accompagnent de symptômes autres que ceux mentionnés (exemple : nausées, vomissements, sensibilité à la lumière, fièvre, frissons, troubles nerveux, paralysie, etc.), il fortement recommandé de consulter un médecin.
En cas de céphalée inhabituelle (par son intensité, sa localisation ou son début brutal) et si les traitements en cas de crise n'ont aucun effet, mieux vaut aller aux Urgences. Il pourrait s'agir d'un anévrisme, d'une thrombose ou d'une phlébite cérébrale.
La Vésicule biliaire, qui fait partie des Entrailles, entretient une étroite relation Yin Yang avec son Organe correspondant, le Foie (voir Cinq Éléments). C'est ce qui explique que le ressentiment provoque les maux de tête.
Les maux de tête (ou céphalées) constituent le symptôme le plus fréquent, quel que soit le type de tumeur cérébrale. Ils se manifestent souvent le matin, parfois accompagnés de nausées et/ou de vomissements. Ils sont dus à la masse de la tumeur qui comprime la région où elle est localisée.
Un mal de tête : la douleur est légère à modérée en étau, des deux côtés de la tête, sans nausées. Il s'agit le plus souvent d'une céphalée de tension, provoquée par le stress et/ou à la fatigue. Une rupture d'anévrisme : la douleur, de survenue brutale, est d'emblée très intense.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Il se peut aussi que vous soyez malade : le mal de tête peut être le symptôme d'une sinusite, d'une grippe, etc… S'il se manifeste toujours du même côté, il peut être également le symptôme d'une pathologie dentaire. Dans ces cas il faudra consulter afin de recevoir le traitement adapté.
Parfois, l'application de froid sur la région antérieure du cou, en regard des carotides, est plus efficace pour soulager la migraine. En général, la plupart des personnes souffrant de migraines préfèrent le froid. Les personnes souffrant de maux de tête de type céphalée de tension peuvent préférer le chaud.
Un cancer de la tête et du cou, aussi appelé cancer des voies aérodigestives supérieures ou cancer ORL, est un cancer qui touche toute la sphère ORL, allant de la base du crâne à la base du cou. Les cancers ORL peuvent concerner : la cavité buccale (la bouche, la langue, les lèvres, la mâchoire...)
Lorsqu'un mal de tête est déclenché par un trouble de la vision, la douleur est localisée autour des yeux ou au niveau du front. Ce type de douleur doit vous encourager à aller consulter un ophtalmologue. Fréquemment, ce trouble de la vision à l'origine de maux de tête n'est autre que de l'hypermétropie.
Le paracétamol
C'est le médicament le plus utilisé à ce palier car le mieux toléré, y compris chez l'enfant et la femme enceinte. Il existe soit seul (Doliprane®, Dafalgan®, Efferalgan®...), soit en association, par exemple avec de la caféine (Claradol® caféine).
Pour soulager une céphalée de tension, commencez par prendre un traitement antalgique, c'est-à-dire qui calme la douleur. Ils sont vendus sans ordonnance. Vous pouvez utiliser du paracétamol, ou éventuellement de l'aspirine ou de l'ibuprofène (sauf contre-indication).
des anxiolytiques (benzodiazépines et buspirone) : ces médicaments ont une action rapide contre le stress et l'anxiété. Ils sont en général prescrits sur de courtes durées et à de faibles doses, par exemple avant que les antidépresseurs ne fassent effet.
Nuque douloureuse : les causes possibles
un excès de stress accompagné de fatigue, dans certains cas, qui fait contracter les muscles des épaules, des problèmes de vision (lunette inadaptées, problème de convergence des yeux) de l'arthrose cervicale.
- des examens d'imagerie : radios, échographies, scanners, Imagerie par Résonance Magnétique (IRM), scintigraphie. Ces tests et examens peuvent aider au diagnostic. Ils aideront surtout à localiser la tumeur, à évaluer son étendue et à savoir si elle est opérable ou non par un chirurgien.
La douleur est le plus souvent située d'un seul côté de la tête, droit ou gauche. La douleur peut prendre toutes les intensités, de modérée à sévère. La migraine est associée à des nausées, vomissements ou gêne à la lumière et au bruit.
L'âge. Bien que les tumeurs cérébrales peuvent survenir à tout âge, les risques augmentent en vieillissant. La majorité des tumeurs sont diagnostiquées chez des personnes de plus de 45 ans. Toutefois, certains types de tumeurs toutefois, comme les médulloblastomes, surviennent presque exclusivement chez les enfants.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer (NCI, 2012). Seule une association avec l'augmentation du risque de maladies cardiovasculaires a été mise en évidence (Kivimäki, 2012).
Seule l'IRM puis la biopsie de tissus lésés permettent de diagnostiquer la malignité de la tumeur cérébrale. Et, notamment, de poser le diagnostic d'un glioblastome, qui est à la fois le plus fréquent des cancers du cerveau (même s'il reste rare) et aussi le plus agressif.