Un procédé courant du racisme consiste à réduire l'ensemble des autres peuples à un seul individu par un prénom courant. C'est ainsi que Fritz est apparu en 1914, le diminutif de Friedriech résumait tous les Allemands.
Tout le monde sait comment les Français surnommaient les Allemands pendant la Première Guerre mondiale : les Boches. Mais ils en avaient autant pour nous. Outre-Rhin, le terme péjoratif équivalent était « Calmüser », qu'on serait bien en peine de traduire, le mot semblant être un dérivé de patois régionaux.
Les Auvergnats ou Bougnats étaient perçus péjorativement. "Bougnat", pour dénigrer quelqu'un, aurait donné Bougnoule. On dit que les Allemands (occupants en 40/45) en France auraient aussi utilisé "Bougnoule" pour les Français.
Chleuh est un terme argotique notamment employé en France, autour de la Seconde Guerre mondiale, détournement du nom d'un peuple berbère du Maroc, les Chleuhs, pour désigner de manière péjorative les Allemands dont l'efficacité sur le champ de bataille était semblable à celle des Berbères qui composaient l'essentiel de ...
un terme français argotique (au pluriel Les Fritz) plutôt péjoratif qui servait à désigner les Allemands durant la Première et la Seconde Guerre mondiale, venant probablement du fait qu'il s'agissait d'un prénom allemand assez courant.
La Famille Fritz (japonais : フリッツ家, Hepburn : Furittsu-ke?) est la famille royale d'Eldia, ainsi que de Paradis. Ses membres sont des descendants directs d'Ymir Fritz et ont été propriétaires du Titan Originel pendant 19 siècles (de -1003 à 845).
Mein Engel : mon ange ; Mein Herz : mon cœur, mon amour ; Meine Maus : ma souris ; Mein Liebling : mon amour.
Le dérivé fridolin apparaît en 1917, mais il aurait été présent dès 1880 selon Chautard. Une variante frigolin aurait été plus fréquente entre les deux guerres selon Esnault. La construction de ce nom est complexe. Le nom frigolin peut se référer au froid, au frigo, et donc au caractère présumé des Allemands.
fridolin
Familier, péjoratif, vieilli. Allemand, en particulier soldat allemand. (Surnom utilisé surtout pendant la Seconde Guerre mondiale.)
Terme utilisé par les Français pour désigner les Allemands pendant la période conflictuelle entre les deux pays qui a débuté en 1870 et s'est terminée en 1945. Les Belges et les Québécois ont repris par la suite ce terme.
La mentalité allemande est en effet très centrée autour de la rentabilité : tandis qu'en France, c'est plus le pouvoir qui attire, les travailleurs allemands cherchent avant tout des postes bien rémunérés qu'ils ne peuvent obtenir qu'en étant particulièrement assidus et consciencieux.
- Les Allemands considèrent le Français comme arrogant mais ils nous prêtent une image de bon vivant. - Les Allemands estiment aussi que les Français ont un esprit de challengers, qu'ils sont souples et créatifs dans le cadre du travail mais qu'ils sont mal organisés et peu fiables.
C'est vrai que les Allemands ont une sympathie pour les Français ; ils aiment le style de vie à la française ; ils aiment leur rapport à la vie. Alors bien sûr dans le boulot ils prennent des précautions parce qu'ils ne sont pas totalement rassurés, mais ils aiment vraiment les Français.
Le 26 août 1944, acclamé par les Parisiens, le général de Gaulle descend les Champs-Élysées avec, derrière lui, ses fidèles de la première heure. Des combattants appartenant à la Résistance française luttent dans les rues de Paris, en 1944, pour libérer la ville après quatre années d'occupation allemande.
A tous égards, le rapport des forces était bien pire qu'en 1914. La première cause de la défaite, c'est que l'Allemagne a préparé la guerre la première parce qu'elle l'a voulue. La création d'une armée blindée a commencé clandestinement dès 1932, avant même l'élection d'Adolf Hitler comme chancelier.
L'objectif de cette Résistance est de libérer la France de l'occupation allemande avec l'aide des Alliés (principalement le Royaume-Uni et les États-Unis), ou tout au moins de harceler les troupes du Reich.
La Bundeswehr (traduit en français par « Force de Défense fédérale » mais littéralement « Défense fédérale ») est l'armée nationale de la République fédérale d'Allemagne depuis 1955. Les forces armées de la République fédérale sont contrôlées en temps de paix par le ministère de la Défense (Verteidigungsministerium).
Nom commun. (Péjoratif) Personne de nationalité allemande. (Par extension) (Lorraine) Mosellan ou Alsacien ; personne parlant un dialecte germanique. (Cinéma) Personne un peu simple d'esprit, idiot, fada.
Les noms des Allemands - étymologie : Deutsch, teuton, tudesque, allemand, alémanique… LEXILOGOS. L'Allemagne et les Allemands sont un pays et un peuple qui ne sont pas appelés de la même façon dans les différentes langues.
Le nom des Teutons est issu du proto-germanique *þeudanōz (« ceux de la tribu »), nom passé d'abord en celtique puis latinisé en Teutoni. Il repose sur l'indo-européen *teutonōs « ceux de la tribu », dérivé du radical *teutā- « tribu ».
L'opération Barbarossa est la plus grande invasion de l'histoire militaire en termes d'effectifs engagés et de pertes : près de quatre millions de soldats de l'Axe pénètrent en Union soviétique. En plus des troupes, l'opération Barbarossa a mobilisé 600 000 véhicules et 600 000 chevaux.
Les Français disent l'Allemagne. Pourquoi ? C'était le pays des Alamans, un peuple germanique qui vivait entre le Rhin et le Danube. Le mot " Alaman " signifierait " tous les hommes" (en allemand : alle = tous & Mann = homme), donc un regroupement de plusieurs tribus.
Mon ou ma chéri.e, mon amour, mon ange, mon cœur, mon ou ma Valentin.e... Toujours selon le sondage TNS Sofres pour Le Pèlerin, ce sont les surnoms classiques qui reviennent le plus souvent. D'après une étude réalisée en 2016 par le site de rencontres eDarling, le surnom le plus utilisé par les Français est "mon cœur".
Il ne faut hésiter à jouer subtilement votre carte française. Généralement, en tant qu'étranger, vous avez l'avantage d'être différent/e et intriguant/e. Quand vous abordez la personne qui vous intéresse, n'hésitez pas à commencer par quelque chose du style “Je ne parle pas très bien l'allemand, seulement un peu”.
Il existe parfois des phrases de drague un peu étrange… En voici une : Ich möchte dich nicht dumm anmachen, aber ich hätte nichts dagegen, wenn du es tust. (Je ne veux pas te frapper, mais ça ne me dérangerait pas si tu le faisais.)