Ainsi, il arrive parfois que les gens consomment à l'excès pour fuir leur tristesse, parce qu'ils se sentent seuls, parce qu'ils vivent diverses frustrations. D'autres vont se mettre à faire des achats parce que leurs relations avec autrui ne sont pas satisfaisantes ou parce qu'ils n'ont aucune estime pour eux-mêmes.
la consommation actuelle des pays dits riches et développés, qui mènerait, à terme, à un épuisement de nombreuses ressources naturelles mondiales (énergie, biomasse, diversité génétique, matières premières, mais aussi eau potable et nappes phréatiques par exemple).
Nous consommons des aliments parce qu'ils fournissent l'énergie qui permet à notre corps de demeurer en vie. En plus de donner de l'énergie, les aliments apportent également tous les éléments nutritifs nécessaires au bon fonctionnement de notre corps.
D'abord, consommer peut rendre heureux parce que cela nous procure un bien-être personnel. Nous pouvons nous sentir mieux dans notre peau, par exemple quand on a fait l'acquisition d'un parfum que l'on apprécie et qu'on le porte.
L'attente, la vie sans lui est alors insupportable et seul l'achat peut mettre fin à cette immense frustration. En effet, l'achat est une délectation sans nom, un sentiment presque orgasmique, un plaisir intense. Le plaisir vient également du fait que l'achat d'un objet s'accompagne de multiples promesses.
Comme une réponse à ce nœud gordien, le minimalisme, mode de vie qui consiste à se satisfaire de l'essentiel, est revendiqué par de plus en plus de consommateurs. Et les deux mois de confinement imposés par l'épidémie du coronavirus au printemps dernier semblent avoir accéléré cette tendance.
"Des recherches ont montré que les individus qui accordent le plus de valeur à la consommation et à la possession sont, presque toujours, moins heureux. Leur niveau d'estime de soi est plus bas, la qualité de leurs relations aussi, et ils présentent un risque plus élevé de dépression et d'anxiété", souligne-t-elle.
Les travaux des psychologues vont dans le même sens[3] : les individus les plus « accros » à la consommation ne sont pas les plus heureux. Au contraire… ils affichent davantage de symptômes d'anxiété, sont soumis à un risque plus grand de dépression, consomment davantage d'alcool et de tranquillisants…
L'anxiété, les problèmes relationnels, les traumatismes du passé et le mal-être ressenti sont souvent à l'origine de ces usages. Appartenir à un groupe : le souci de reconnaissance ou d'appartenance à un groupe est très important chez les ados. L'acceptation passe par la prise du produit "faire comme tout le monde".
Chez les jeunes de 13 à 16 ans, les motifs sociaux, tels qu'être ensemble, s'amuser, la pression du groupe, ainsi que les soucis quotidiens figurent parmi les principales raisons. "Ils citent le plus souvent des motifs sociaux; en général, ils boivent de l'alcool quand ils font la fête avec leurs copines et copains.
Roulez en dessous de la limite autorisée
À partir de 80km/h, adoptez le 10 km/h en-dessous de la limite autorisée. Au-dessus de 80km/h la consommation croît de manière exponentielle. D'après les estimations de la Sécurité Routière, rouler à 80 au lieu de 90km/h vous permet d'économiser 120€ de carburant par an.
Car après tout, vivre c'est aussi consommer. Mais j'ai travaillé dur pour échapper à la surconsommation et au matérialisme. C'est quoi la surconsommation ? C'est lorsque l'on commence à acheter des choses inutiles, dont on n'a pas vraiment besoin au quotidien.
Consommation excessive, intense ou extrême.
On peut vouloir arrêter de consommer parce que cela coûte trop cher, pour répondre à la demande de ses parents, de la justice, à cause de son travail, d'un·e ami·e, etc. Arrêter de consommer n'est pas toujours facile. C'est parfois un travail de longue haleine qui implique d'importants changements dans sa vie.
Le mieux est d'éviter la publicité autant que possible, en coupant le son des annonces télévisées, par exemple. Reporter l'achat. « Acheter maintenant pour profiter du spécial. » C'est l'argument de vente par excellence. Cependant, il est toujours mieux d'attendre pour réfléchir à son achat.
Quelles limites à la consommation de masse voire l'hyper consommation ? La société de consommation est aveugle, il n'y a pas de croissance et de développement économique infinis possibles sur une planète dont les ressources sont limitées.
La consommation d'une voiture se mesure en litre pour 100 kilomètres (L/100 km). Elle détermine l'autonomie du véhicule mais aussi son impact environnemental. En France, la consommation moyenne des voitures, essence et Diesel confondus, est de plus de 6 L/100 km.
N°1 : le four.
C'est l'appareil qui consomme le plus d'électricité dans un logement, plus de 1.000 kWh par an en moyenne. Mais il est possible de réduire la facture en optant pour un four à chaleur tournante ou, encore mieux, pour un four combiné (four + micro-onde).
1. Sèche-linge. Avec une consommation annuelle moyenne de 370 kWh par ménage, le sèche-linge se place en tête de ce classement…
L'oniomanie ou trouble lié à l'achat compulsif, ou familièrement fièvre acheteuse, est la manie compulsive des achats, généralement peu ou pas nécessaires à l'individu. Cette manie a été découverte en Allemagne à la fin du XIX e siècle par Emil Kraepelin.
On devient accro du shopping quand une fragilité survient en nous, qu'elle soit passagère ou non, consciente ou inconsciente. Cela peut être une mauvaise estime de soi, un coup de blues, un manque affectif, une dépression cachée, etc. L'achat est en réalité là pour panser l'âme.