La beauté renvoie au sujet qui l'éprouve Elle n'est belle que pour celui qui la trouve belle. Celui qui dit « c'est beau », a, au fond, le sentiment que le plaisir qu'il éprouve est nécessaire et universel.
Le beau est communément défini comme la caractéristique d'une chose qui au travers d'une expérience sensorielle (perception) ou intellectuelle procure une sensation de plaisir ou un sentiment de satisfaction ; en ce sens, la beauté provient par exemple de manifestations telles que la forme, l'aspect visuel, le ...
Il procure avant tout du plaisir, provoqué par l'« empathie esthétique ». Quand nous contemplons une œuvre, la production de l'hormone du stress, le cortisol, diminue. Puis le cerveau sécrète de la dopamine, l'hormone de la joie de vivre et des endorphines, qui procurent une impression de bien-être.
Kant estime que « le beau est ce qui plaît universellement sans concept ». C'est pour lui une impression produite par le libre jeu de l'imagination et de l'entendement. Aujourd'hui, le beau, concurrencé par le laid ou le banal, est de plus en plus relativisé.
Le beau n'existe comme sentiment qu'à l'occasion d'une expérience esthétique, c'est-à-dire d'une esthétisation intentionnelle du monde. L'analyse de l'intentionnalité esthétique sera donc le premier moment de notre recherche.
Aujourd'hui, d'autres valeurs priment. Serge : Pour être beau, il faut se sentir bien dans sa peau, avoir la santé et le moral. Mikaëla : Être toujours présentable et coquette est une question de respect de soi et des autres. Cela fait partie des choses importantes au quotidien.
Le plus beau sentiment qu'on puisse éprouver, c'est le sens du mystère. C'est la source de tout art véritable, de toute vraie science. Celui qui n'a pas connu cette émotion, qui ne possède pas le don d'émerveillement ni de ravissement, autant vaudrait qu'il fut mort : ses yeux sont fermés.
En ce sens, être bien éduqué, c'est être capable de reconnaître le beau — c'est-à-dire être capable de le discerner, aussi bien avec son intelligence qu'avec sa sensibilité —, y être sensible et y prendre plaisir[60].
Car le beau, veut dire Platon, n'est pas quelque chose d'immanent mais de transcendant, quelque chose de divin, une Idée que certes la belle femme et la belle marmite peuvent exprimer mais auxquelles on ne saurait la réduire.
Le beau est un concept esthétique et parfois moral. Il est le résultat d'un jugement subjectif en adéquation avec un idéal défini. Il fait naître ce que les philosophes appellent le sentiment esthétique (sentiment de plaisir, de satisfaction lié à la contemplation de cet idéal).
La beauté réunifie le corps et l'esprit…
Grâce à lui, nous réapprenons à nous fier à nos sensations. Dans le plaisir esthétique, le corps et l'esprit se réunifient : pris entièrement par l'émotion qui nous traverse, nous oublions le paraître qu'exige de nous la vie en société. Nous sommes, tout simplement.
Vous aurez un sentiment de paix et de calme et de savoir. Quand quelqu'un vous aime vraiment, son comportement et sa façon d'être avec vous ne susciteront pas en vous des sentiments d'insécurité / de peur / d'anxiété / d'inquiétude (tant que vous êtes vous-même en bonne santé émotionnelle.
Un visage féminin est glabre, fin, sans contours anguleux. Il dégage une expression de douceur avec un regard lumineux et ouvert, et des sourcils en bonne position. Le sourire est enveloppant, avec des lèvres charnues et sensuelles, bien pulpées. Tout duvet, fréquent à la ménopause, nuit à cette féminité.
Dans le registre familier, l'antonyme de "beau" peut être "moche", "sale" ou encore "atroce". Il est ainsi possible de dire que "laid" et "beau" sont des antonymes au même titre que "petit" et "grand".
Extraits – La beauté est l'idée qui brille le plus vivement dans la confusion du sensible. Irrésistiblement attirés par elle, nous nous élevons vers le monde des essences.
adjectif et nom. Qui fait éprouver une émotion esthétique ; qui plaît à l'œil. ➙ joli, magnifique, ravissant, splendide, superbe; s'oppose à laid. Un beau paysage.
beau est l'être-là et l'objectivité du concept, de même que le champ thématique et opérationnel de la Raison (logique), au-delà des limites de l'expérience, de l'enten- dement et du vouloir mesurés par les distances finies (si l'interrogation vise l'horizon de l'esprit subjectif).
Au total, la morale platonicienne se présente comme un entre des exigences réalistes et une aspiration vers un monde idéal, aspiration d'un poète, autant que d'un philosophe, vers un absolu transcendant, sur lequel il serait possible de s'appuyer et duquel tous nos actes tireraient leur valeur.
a) Adj. et subst. (Individu) qui est atteint de narcissisme. Le narcissiste qui veut se désirer, se maquille et se déguise, puis se plante devant une glace en cet équipage, et parvient à dresser à demi un faible désir qui s'adresse à son apparence trompeuse d'altérité (Sartre,Baudelaire,1947, p.
La société définit souvent la beauté par des attributs précis : par exemple, la symétrie ou le caractère bien proportionné d'un visage. La beauté peut également émaner d'une attitude; assurée et confiante dans certaines sphères, ou encore humble et modeste dans d'autres.
Le sentiment le plus fort, le plus puissant, peut en l'espace d'un instant combler le vide de toute une éternité ; ce sentiment s'appelle amour. Il est en chacun de nous.
Il s'agit de la complicité, cette relation unique et spéciale qui est plus forte que l'amour.
"L'amour se construit sur une gratification à retardement, alors que le désir est satisfait par un plaisir immédiat. Le désir est un sprint; l'amour, un marathon.