Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur. Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
dans les armées. « Mon Général » – Dans la gendarmerie, l'armée de terre et l'armée de l'air, le mot « Mon » devant certains grades signifie Monsieur. Il n'est donc pas utilisé pour le personnel féminin.
- le "mon" s'applique à tout grade supérieur ou égal à adjudant, - il ne s'applique pas à "maréchal", puisqu'il ne s'agit pas d'un grade mais d'une distinction. On ne dit pas MON à un major, on l'appelle par son grade et on ne dit pas MON à un aspirant ou un sous lieutenant mais Mon lieutenant .
Expression qui tire son origine du monde militaire. Pour se faire bien voir de son supérieur, il était de bon ton d'avoir le même avis que lui. L'expression est utilisée sur un ton moqueur et s'emploie pour dire que les deux éléments dont on parle sont possibles et envisageables.
Une légende prétend qu'après la défaite de Trafalgar, Napoléon, qui tenait pour responsables les officiers de la « Royale », décida qu'on ne leur dirait plus « mon » devant leur appellation de grade, « mon » étant le diminutif de « monsieur » ; il les aurait ainsi punis en leur retirant cet honneur.
Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
a) par le titre « Monsieur », « Madame » ou « Mademoiselle », selon le cas, suivi de leur nom, lorsque des officiers et des militaires du rang de même grade s'adressent à eux, b) par le titre « Monsieur » ou « Madame, selon le cas, lorsque des militaires de grades inférieurs s'adressent à eux.
C'est le maréchal des logis-chef Cruchot qui a rendu cette expression ultra populaire dans la série tout aussi populaire des Gendarmes de Saint Tropez.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
au capitaine, Mes respects mon capitaine ; au commandant, Mes respects mon commandant ; au lieutenant-colonel, Mes respects mon colonel ; au colonel, Mes respects mon colonel.
Les formules telles que «lieutenante» ou «colonelle» sont rarement utilisées au sein de l'armée française, qui est pourtant l'une des plus féminisées d'Europe.
Le général d'armée et l'amiral sont les plus hauts grades de l'armée française.
France. Dans l'Armée française, on dit « Commandant » lorsqu'on s'adresse à une femme ayant le grade de commandant, tandis que l'on dit « mon Commandant » pour un homme du même grade.
Le grade de commandant existe aussi dans : la Police nationale (il se situe après le grade de capitaine, et c'est le dernier grade des officiers de police ; la catégorie supérieure est le corps des commissaires de police).
Il se dit aussi de Certains officiers qui, sans avoir de régiment, ont le grade de colonel. Colonel d'état-major. On lui donne quelquefois un féminin pour désigner la Femme d'un colonel. Madame la Colonelle.
INDULGENT, ENTE. adj. Qui pratique l'indulgence, qui pardonne aisément les fautes, les défauts. Un maître indulgent.
Le sens actuel de l'expression date du début du XVIIIe siècle. Elle fait référence à la chasse au loup, qui est une pratique dangereuse, et donc qui nécessite une certaine expérience. Ainsi, quand la jeune fille a des relations sexuelles, cela a une connotation dangereuse.
Le commanditaire paye un exécuteur pour effectuer sa commande. Synonymes : client, maître d'ouvrage (en architecture) ; mécénat, parrain, bailleur de fonds, soutien, sponsor (anglicisme).
Soldat est le premier grade militaire dans plusieurs armées du monde. Il s'agit en fait du premier échelon de la hiérarchie. Est également appelé recrue lors de la formation préliminaire ou de base.
Les élèves détenteurs d'un titre de Master 2 ou d'un diplôme équivalent de niveau bac +5, ayant moins de 25 ans peuvent intégrer l'ESM directement en 3e et dernière année (officiers sur titre). La formation se déroule en deux temps.
L'histoire du salut militaire remonte à l'Antiquité, lorsque deux guerriers se rencontraient, ils s'échangeaient un signe de la main droite (paume ouverte) pour indiquer qu'ils n'étaient pas armés. Ce signe de paix témoignait de leurs bonnes intentions l'un envers l'autre.
La syntaxe du langage militaire est aussi sommaire que rigoureuse : il faut s'exprimer par des phrases les plus courtes possibles, avec le minimum de fioritures : sujet + verbe + COD au maximum ; il est même conseillé d'omettre le verbe.
Il est d'usage pour un officier de présenter ses respects au supérieur hiérarchique. « Je vous présente mes respects Mon Colonel » ou « mes respects Mon Colonel» et de dire bonjour au subordonné.
Lorsqu'un officier est un homme, on s'adresse à lui en faisant précéder son grade de « mon », « mon colonel » par exemple ; en revanche on appelle un officier féminin directement par son grade.
capitaine : 2 100 €, commandant : 2 500 €, lieutenant-colonel : 3 000 €, général de brigade : 5 100 €.