La répétition connecte chaque morceau de musique au suivant : c'est ce qui fait que quand on entend quelques notes, on imagine déjà ce qui suit. Le cerveau est inconsciemment en train de chanter, et c'est à ce moment-là qu'on peut se mettre à fredonner sans s'en rendre compte.
Elle procure une sensation de plaisir en agissant sur le système de récompense, grâce aux neurones dopaminergiques qui libèrent de la dopamine dans le cerveau. Preuve que la musique adoucit les mœurs, une étude a montré que le fait d'écouter de la musique en voiture a un effet positif sur l'humeur des conducteurs.
L'oreille interne est fragile. Un volume sonore excessif peut faire des dégâts et abîmer les cellules ciliées, voire les détruire. Les risques d'endommager son système auditif sont accrus en cas d'exposition constante ou récurrente, et si le son est monté régulièrement. Le seuil de danger est estimé à 85 décibels.
« Le cortex auditif qui s'active lorsqu'on écoute une chanson se réactive lorsqu'on imagine simplement l'entendre à nouveau ». « Pour une musique agréable, le cerveau chante et danse, même si le corps ne bouge pas. Ce sont les neurones miroirs qui s'activent », développe Pierre Lemarquis.
La durée prolongée d'écoute fatigue l'oreille en épuisant les réserves énergétiques des cellules. Il faut les reposer dans le silence, éviter les «after» prolongeant la fête sonore. Plus violent est le traumatisme sonore, véritable fracture des cils de la cochlée…
La musique provoque des effets sur le cerveau, en particulier une réaction chimique qui libère des substances associées au plaisir et à la récompense, telles que la dopamine, les endomorphines. Elle a aussi un effet bénéfique sur le système cardiovasculaire.
Elle favorise la neurogenèse. Il s'agit du processus par lequel notre cerveau développe davantage de neurones, améliorant ainsi nos capacités cognitives. Elle libère de la dopamine qui améliore l'humeur générale. Elle peut améliorer la capacité d'attention.
Le langage de la musique est universel et on l'acquiert de façon tout aussi spontanée que l'on apprend à parler. Même un auditeur non musicien est un expert de la perception musicale. La musique – comme le langage – sont des traits humains universels. Toutes les cultures produisent de la musique et y sont sensibles.
La musique n'a pas fini de nous faire vibrer, mais elle agit sur nous tous d'une manière différente, jouant sur notre perception des vibrations, notre amplification des fréquences, et notre sens du rythme.
Un tel effet est qualifié d'amorçage affectif et suggère que la musique modifie l'état affectif du sujet, ce qui le conduit à projeter l'émotion musicale ressentie sur le stimulus neutre. Dans ce type d'études, l'émotion musicale influe sur le comportement du sujet sans qu'il n'ait à exprimer ce qu'il a ressenti.
Garder le cerveau en santé
Des études montrent que la pratique musicale peut aller élargir certaines parties du cerveau responsables de l'activité motrice et perceptuelle. Ces effets sont particulièrement visibles si une personne commence à pratiquer la musique avant l'âge de 7 ans.
Des chercheurs australiens en psychologie de la musique suggèrent qu'écouter de la musique pourrait être la réponse à une meilleure nuit de sommeil. Écouter de la musique au coucher peut non seulement aider les gens à s'endormir plus rapidement, mais aussi améliorer la qualité du sommeil.
Prendre conscience de vos habitudes est très important pour les surmonter X Source de recherche . Pendant une journée, faites le suivi de vos habitudes d'écoute. Notez à quelle heure vous commencez à écouter de la musique et quand vous arrêtez (par exemple, commencement à 7 h 45 et fin à 10 h 30).
Et là aussi, ce serait une question de structure cérébrale. Pour les scientifiques, ces résultats apportent la preuve que les INMI sont un phénomène qui mobilise « les circuits cérébraux impliqués dans la perception, les émotions, la mémoire et les pensées spontanées ».
Des études ont prouvé que la musique est capable de stimuler l'humeur et de diminuer les risques de dépression. Elle améliore également la circulation sanguine, réduit le taux d'hormones liées au stress et soulage la douleur. Écouter de la musique avant une opération peut même améliorer les résultats post-opératoires.
Plusieurs études l'ont montré : la musique diminue le cortisol, l'hormone du stress. Et l'effet est encore plus bénéfique si le tempo est lent et régulier. Le processus a même été testé en phase pré-anesthésique d'une opération chirurgicale pour diminuer l'anxiété des personnes qui allaient être opérées.
La musique adoucit les mœurs
Il leur a ensuite demandé de compléter des mots représentés par leur première syllabe : par exemple « bag- » qui peut donner « bag-age » ou « bag-arre », selon que l'on se trouve dans des dispositions d'esprit agressives ou pacifiques.
L'idéal étant bien sûr de les chanter ou de les écouter dans une musique dédiée à la Fréquence! Fréquence 528 Hz. Un autre moyen pour bénéficier de ces fréquences de guérison est d'écouter les fréquences. Je vous conseille d'écouter ces fréquences jouées par des instruments naturels, avec des sons naturels.
En écoutant une musique triste, l'idée est d'évacuer ses émotions négatives, pour éviter d'avoir à les vivre en vraie. Les sentiments de tristesse suscités par la musique auraient un effet libérateur de ses propres émotions.
« Pourquoi la musique ? poursuit l'ethnomusicologue, parce que l'homme est un être social, et que la musique est essentiellement une activité sociale, elle met en jeu un corps personnel et le corps social.
Chanter n'est pas seulement se servir de sa voix et de son corps, mais aussi interpréter, faire partager au public les émotions contenues dans le texte chanté : c'est en cela qu'en fonction des genres musicaux sollicités, le chant rejoint fréquemment l'art de la scène.
La musique vise souvent à créer de la sensibilisation, le pouvoir de s'amuser et ou bien de faire danser. La meilleure façon pour exprimer les sentiments, la colère, l'amour, la joie et d'autres sortes de sentiments est tout simplement à travers la musique. Maître GIMS, l'artiste toujours dans les hauteurs!
A noter également que si la musique peut booster votre bonne humeur, elle peut également pour les personnes à forte sensibilité et à tendance mélancolique provoquer l'inverse, surtout quand celle écoutée est plutôt triste ou qu'elle peut vous mettre également dans d'autres états négatifs.
Les musiciens consultent le plus souvent pour le syndrome de surmenage des tissus : des os, des tendons, des ligaments, des muscles, ce qui cause des douleurs. Et ce n'est pas parce qu'on a mal qu'on a forcément une tendinite », rassure la praticienne.
L'amusie est une maladie soit génétique soit congénitale culturelle ou provoquée par une lésion cérébrale qui touche 4% de la population mondiale. Paradoxalement, on parle de surdité musicale, alors même que l'appareil auditif du patient peut fonctionner parfaitement : la cause du trouble est uniquement cérébrale.