En réaction à tout type d'émotion (tristesse, peur, colère…), l'organisme secrète des hormones permettant au corps de s'adapter et de réagir à une situation ou à un traumatisme : la vigilance et la sensibilité sont donc accrues. Mais cette réaction entraîne également du stress, que le cerveau va chercher à évacuer.
L'hypersensibilité peut être aussi en soi une cause à des pleurs très réguliers : plus enclins à exprimer leurs émotions, les hypersensibles communiquent avec les autres de cette manière, et ce n'est pas pour autant une faiblesse.
La production de ces hormones par les glandes surrénales induit une demande accrue d'adénosine triphosphate (ATP), la molécule énergétique utilisée par les organes. Les réserves d'ATP diminuent donc comme après un effort physique. Le taux de cortisol baissant aussi, l'organisme ressent une faiblesse.
Plusieurs causes peuvent être à l'origine des larmes : déprime, dépression, baby-blues… Si l'écriture ne vous suffit pas pour exprimer vos sentiments, une consultation chez un spécialiste peut vous aider.
Lorsque pleurer devient fréquent, engendre une souffrance morale, ou des difficultés relationnelles, il est essentiel de consulter un professionnel afin de rechercher une maladie mentale. Les pleurs peuvent montrer la souffrance émotionnelle, et alerter sur un mal-être plus profond.
Les plus récentes études suggèrent que pleurer aide à guérir et améliore l'humeur des gens dans 88,8 % des cas. Conclusion: c'est si efficace que les chercheurs pensent qu'il faut trouver un moyen d'inciter à pleurer ceux qui trouvent difficile de se laisser aller.
Définition de pleureur
nom vieilli (Personne) qui pleure facilement. Enfant pleureur. Par extension Air, ton pleureur. ➙ pleurard, ➙ pleurnicheur.
Lorsqu'on pleure, les vaisseaux sanguins autour des yeux se dilatent ce qui contribue au gonflement. En produisant beaucoup de larmes, vous augmentez cette dilatation pour augmenter le flux sanguin autour des yeux. Car, comme toute glande de votre corps, la glande lacrymale est en lien direct avec le flux sanguin.
La tristesse est une émotion humaine naturelle. Elle est le plus souvent un état passager, bénin et sans risque. Mais si ce sentiment s'installe durablement ou s'aggrave, il est important de se confier et/ou de consulter un professionnel de santé.
Il peut s'agir d'une déprime ou bien d'une dépression. La première est un mal-être passager ; la seconde est une maladie qui nécessite une prise en charge médicale et psychothérapeutique.
On peut également se détendre les sourcils, car lorsque l'on est triste, ceux-ci ont tendance à se resserrer. Se pincer la peau entre le pouce et l'index stoppe également immédiatement les larmes. Si vous voulez cacher votre tristesse face à quelqu'un, pensez à pincer votre main dans votre dos, c'est plus discret.
Par ailleurs, pleurer permet de brûler des calories. Les scientifiques pensent que l'on élimine une quantité similaire à celle que l'on dépense lorsque l'on rit, à savoir 1,3 calorie par minute. Ainsi, en pleurant une trentaine de minutes, ce sont environ 30 calories qui sont éliminées.
La fréquence des pleurs n'est pas seulement affectée par le sexe ou la personnalité, mais également par d'autres facteurs tels que l'âge, la personnalité, les traumatismes passés, la culture, le fait d'être dans une relation amoureuse, la socialisation et certains événements physiques tels que le manque de sommeil, la ...
Les larmes, qui ont emmené avec elles les poussières de l'œil, peuvent alors être évacuées par la gorge, mais surtout par le nez où elles sont mélangées au mucus nasal, et finissent par s'écouler par les narines. Les mouchoirs sont donc indispensables !
Ces maux de têtes qui peuvent se produire après une séance de pleurs ne sont pas aussi faciles à expliquer. Bylsma estime que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec la déshydratation, en raison de l'eau que l'on perd avec les larmes.
Aller courir, faire de la boxe ou une séance de fitness aide à gérer ses émotions et à se sentir mieux dans son corps et dans sa tête. L'activité physique n'a que des bienfaits. Recommandée à tous, le sport est également bénéfique pour stabiliser l'humeur, lutter contre les états dépressifs et la baisse de moral.
Pleurer n'est en rien une honte. C'est un peu « le pansement de l'âme ». En pleurant, votre corps libère des substances qui jouent le rôle de calmants naturels. Ainsi, votre douleur s'apaise petit à petit.
Selon William H. Frey de l'Université du Minnesota, les larmes versées sous le coup d'une émotion intense contiennent des hormones liées au stress, comme le cortisol et l'adrénaline, que le corps évacue par les pleurs.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Les symptômes physiques de la dépression
Ainsi, les symptômes physiques sont nombreux : Troubles du sommeil : le sommeil est souvent mauvais, moins profond, et peu réparateur avec des réveils précoces.
La prise de poids
L'obésité est due au stockage excessif de graisse dans le corps. Généralement, elle résulte d'un déséquilibre entre : une activité physique insuffisante, une alimentation trop riche en calories.
Bien qu'il soit communément admis que pleurer des larmes émotionnelles peut allonger vos cils, il n'existe aucune preuve scientifique à l'appui.