Formules de conclusion En conclusion / En somme, on peut constater ... Pour conclure, je dirais que ... / Finalement, ... Je touche maintenant à la fin de mon exposé… Pour terminer, on peut dire que ...
La conclusion doit toujours débuter par une phrase d'introduction. Cette première phase fait figure « d'accroche » et doit attirer l'attention du lecteur : elle doit donc être forte et intéressante.
Certains mots servent à bien marquer cet enchaînement et à indiquer qu'il s'agit bien d'une conclusion : Au bout du compte, mais, c'est, enfin, telle est… Compte tenu de leur clarté, de leur pertinence et de leur cohésion, à la correction du Ministère, cette conclusion et l'introduction réunies ont reçu la cote A.
La conclusion doit comporter trois étapes et remplir les fonctions suivantes : – récapituler : il faut, en quelques phrases, résumer la démonstration, en rappelant les différents axes du développement ; – donner son avis, en prenant clairement position par rapport à la question posée dans le sujet.
Ce sont les tournures comme : « en conclusion » « pour résumer » « finalement »
L'ouverture, la partie finale de la conclusion, doit laisser le lecteur sur une réflexion, une projection dans le futur, une information nouvelle (nouvel aspect ou nouveau sous-aspect), une citation célèbre, etc. Plusieurs possibilités s'offrent au scripteur à ce stade de l'écriture.
L'ouverture figure souvent sur la partie finale de la conclusion. Elle doit transmettre un message clair pour tous les auditeurs cibles. C'est là que poser des questions pas encore répondues ou résolues est de mises pour donner une réflexion.
Pour commencer
Pour éveiller la curiosité des participants: Je voudrais vous demander de m'écouter / de regarder ici. Je vous demande quelques instants d'attention. Je vais vous parler de quelque chose qui va vous intéresser. Bon, je crois que je vais commencer.
La conclusion est à la fois un résumé des grandes lignes et des phases essentielles de la recherche et un bilan des principaux points traités (une synthèse des résultats obtenus). L'auteur y propose des solutions et peut ouvrir des perspectives nouvelles qui permettraient la poursuite de la recherche.
Rédiger une ouverture
– Choisir un élargissement du cadre chronologique ou du cadre géographique, en évoquant par exemple les conséquences du phénomène étudié. – Ne donnez pas votre avis personnel et ne terminez pas par une question. Il ne faut pas non plus essayer d'intégrer une idée qu'on aurait oubliée.
"Il n'y a pas de bonheur plus grand que d'être aimé par ses semblables,et de sentir que votre présence est une joie pour eux." “J'ai décidé d'être heureux parce que c'est bon pour la santé.” "Le vrai bonheur ne dépend d'aucun être, d'aucun objet extérieur. Il ne dépend que de vous."
Une bonne accroche doit introduire non seulement le sujet, mais aussi le problème soulevé par ce sujet. Elle peut suggérer une première réponse au sujet : soit sous forme d'un exemple pouvant être réfuté immédiatement en émettant un doute, soit en utilisant une citation pertinente liée au sujet.
S'appuyer, pour son accroche, sur un élément d'actualité va vous permettre de mettre le sujet en contexte. Cela va même pouvoir vous aider à mettre en place votre raisonnement. Mettre le sujet en contexte va permettre au correcteur de voir que vous avez bien compris le sujet et ses enjeux dans le monde actuel.
Une phrase simple contient une proposition, qui est indépendante. Le navire heurte un iceberg. Une phrase complexe contient en général une proposition principale et une ou des propositions subordonnées, rattachées à la principale par des mots subordonnants.
Exemples : -Nous nous proposons, pour commencer, de traiter de, puis de développer..., enfin d'analyser... -L'examen du texte portera d'abord sur..., puis sur..., enfin sur... -La structure du texte étant particulièrement rigoureuse, nous suivrons l'ordre du texte en montrant d'abord comment/pourquoi..., puis... .
Encore appelée « amorce » ou « phrase d'ouverture », cette étape n'est pas obligatoire mais fortement conseillée. Son objectif : capter l'attention du lecteur, lui donner envie d'en lire davantage. Cette accroche doit être courte, pas plus de deux phrases.
La conclusion partielle doit débuter par un marqueur de relation. *Il est important de faire des liens entre les idées en utilisant des marqueurs de relation : Car- parce que- puis- ainsi- en comparaison- par exemple- donc- mais- en effet- cependant- par contre- par conséquent- aussi- de plus…
Comme pour l'accroche en introduction, ton élargissement doit absolument éviter les généralités trop éloignées de ton sujet. Par exemple, la question « Mais alors, quel est le but de la littérature ? » est bien trop large : c'est une ouverture qui décrédibiliserait ta copie.
La conclusion
Elle contient généralement les points suivants. On rappelle le but du laboratoire et on y répond à l'aide des résultats importants. On confirme si le but a été atteint. On rappelle l'hypothèse du laboratoire et on explique si l'hypothèse est confirmée ou non à l'aide des résultats importants.
La conclusion d'un commentaire composé est votre dernière occasion de faire impression sur le lecteur. Elle doit synthétiser les principaux points d'analyse que vous avez développés tout au long de votre commentaire et répondre de manière concise à la problématique posée dans l'introduction.
Rien n'est jamais fini, il suffit d'un peu de bonheur pour que tout recommence. Les gagnants trouvent des moyens, les perdants des excuses. Rien n'est impossible, seules les limites de nos esprits définissent certaines choses comme inconcevables. Attachons-nous à reconnaître le caractère si précieux de chaque journée.
Voici quelques exemples de phrases d'accroche pour capter l'attention des clients : – « Vous cherchez à augmenter vos ventes tout en réduisant vos coûts ? » – « Imaginez si vous pouviez doubler votre productivité en une semaine sans changer vos habitudes. » – « Vous méritez le meilleur service client, sans avoir à ...
Pour être efficace, une introduction se déroule en 4 étapes : l'approche, l'explication du sujet, la formulation de la problématique, et enfin l'annonce du plan. L'accroche peut se faire notamment par le biais d'une citation ou d'un fait d'actualité.