Pourquoi ? : en raison essentiellement de l'effet de l'altitude sur la fixation d'oxygène, et de la réaction de l'organisme que l'on appelle « polyglobulie ».
Les flatulences augmentent avec l'altitude. Ce phénomène est causé par la baisse de la pression atmosphérique : elle diminue avec l'altitude, alors que la pression interne reste la même, ce qui provoque une dilatation des gaz intestinaux.
L'origine de ce problème est simple : l'effort d'endurance entraîne une mobilisation prioritaire de la circulation sanguine pour les structures qui travaillent. Cela entraîne de fait le phénomène inverse pour le reste du corps : une perturbation réflexe de l'irrigation vasculaire.
De même, on a regardé le papier qui recouvre un yaourt à la station : il est plat ; mais, en altitude, il est bombé car la pression de l'air est plus faible et celle dans le yaourt est toujours la même donc l'air du yaourt pousse sur le papier qui se gonfle.
Quand les bactéries se développent, elles peuvent produire du gaz, qui provoque le gonflement de l'emballage. C'est l'explication la plus probable concernant le gonflement de l'emballage.
Le muscle, plus lourd que le gras
Le gras prend plus de place que le muscle. Mais, pour une même quantité, le muscle est plus lourd”. L'activité physique et sportive pourrait même ainsi parfois engendrer une prise de poids.
Stade inflammatoire
La peau est rouge et gonflée, mais la douleur est sourde et continue, et ne réveille pas la nuit. Le traitement repose sur les bains d'antiseptiques locaux plusieurs fois par jour.
La montagne, unique pour le bien-être physique
Plus nous grimpons en altitude, moins l'oxygène est présent dans l'air. Notre organisme compense alors en augmentant notre taux d'hématocrite (nos globules rouges dans le sang). C'est ce mécanisme que recréent artificiellement les sportifs lors d'un dopage à l'EPO.
La montagne stimule la production de globules rouges dans notre corps. « Elle stimule la production de globules rouges dans notre corps et améliore ainsi le transport de l'oxygène par le sang vers nos tissus, nos muscles et même notre cerveau, explique alors Grégoire Millet.
La haute altitude permet à des personnes obèses de perdre du poids, et de maintenir cette perte de poids quelques semaines, selon les résultats d'une étude allemande mise en ligne jeudi sur le site de la revue spécialisée Obesity.
À mesure que l'on grimpe, les maux empirent ou s'accentuent. L'hypoxie, c'est-à-dire la diminution du taux d'oxygène dans le sang, entraîne différents symptômes : nausées, vomissements, maux de tête (céphalées), saignement de nez, fatigue soudaine et parfois même évanouissement et coma.
Vivre ou séjourner à moyenne altitude s'avère bénéfique, tout particulièrement en cas d'obésité ou d'hypertension, ainsi que pour les personnes âgées. Mais des études suggèrent également un lien entre vie en altitude et propension aux troubles anxiodépressifs.
Du fait de la raréfaction de l'oxygène, que notre organisme compense en produisant davantage de globules rouges, la montagne est un dopant naturel. Contrairement aux idées reçues, on ne dort pas mieux à la montagne.
Le mal aigu des montagnes est un ensemble de symptômes, variables en intensité selon les individus. Les céphalées en font toujours partie. Peuvent s'y ajouter les désordres déjà cités : gastro-intestinaux (une perte d'appétit, des diarrhées, etc.), vertiges, perte d'énergie soudaine et/ou sommeil perturbé en altitude.
Pour les personnes particulièrement sensibles à l'altitude, une prophylaxie médicamenteuse peut être prescrite par le médecin. Dans ce cas, on utilise principalement deux médicaments : l'acétazolamide (Diamox), un médicament qui stimule la respiration et diminue la fréquence du mal aigu de montagne de 50% environ.
Parfois, même avec une activité physique régulière et une bonne hygiène alimentaire, la perte de poids est difficile ou inexistante. Dans ce cas, notre spécialiste conseille de consulter un professionnel de santé car la stagnation du poids malgré les efforts peut être due à un souci au niveau de la thyroïde.
Après une séance d'entraînement intense, comme l'entraînement en résistance, l'excès de sang est pompé dans les cellules musculaires que vous venez de perturber. Cela apporte de l'oxygène et des nutriments pour éliminer les toxines et l'acide lactique et crée un gonflement temporaire qui dure environ deux heures.
L'exercice physique engendre naturellement un flux sanguin plus fort dans les muscles intestinaux, ce qui contribue à stimuler la contraction naturelle des muscles dans vos intestins et à diminuer le temps de transit des aliments.
En effet, la partie vide des paquets de chips n'est pas simplement constituée d'air ; il s'agit à 78% de nitrogène. Ce gaz isolant a été ajouté dans les sacs de chips depuis 1994 et sert à garder les chips fraîches et croustillantes.