La préparation du bois par l'humidification permet de mettre beaucoup moins de vernis. La quantité de 50-60 g/m² d'eau est donc couramment appliquée avec un chiffon.
Couvrez le bois avec du papier absorbant humide.
Humidifiez plusieurs essuietouts et placez-les sur la surface concave (incurvée vers l'intérieur) du bois. Le papier absorbant est idéal pour cette méthode, mais vous pouvez également utiliser une serviette fine humidifiée dans de l'eau chaude ou du papier standard.
Lorsque l'air intérieur est très sec, le bois libère de l'humidité; s'il est trop humide, le bois absorbe l'humidité. Le bois rétrécit et gonfle lorsqu'il libère et absorbe l'humidité au-dessous du point de saturation des fibres.
Le taux d'humidité à respecter lors de la mise en oeuvre est spécifié dans les DTU 31.1 et 31.2. Pour la construction de maisons et bâtiments ossatures bois et en charpente, l'humidité doit être inférieure à 18% en moyenne et ce taux ne doit pas dépasser les 22% ponctuellement.
Dans le cas du bois, ce qui s'équilibre est l'humidité. Un tronc conservé à l'air libre va perdre de l'eau jusqu'à ce qu'il y ait un équilibre hygroscopique entre le bois et l'environnement.
Du bois partout
Des essences comme le châtaigner, le chêne rouvre ou l'acacia (tous trois classe 4) peuvent aisément satisfaire aux exigences d'une cuisine ou d'une salle de bains puisqu'ils admettent le contact avec une source d'humidité.
Ces essences extrêmement denses viennent d'Afrique, d'Amérique du Sud ou d'Asie. Elles sont naturellement imputrescibles, et elles offrent une résistance exceptionnelle aux intempéries. Si les bois comme l'ipé ou le padouk offrent d'excellentes performances, le teck demeure le plus recherché.
Test d'impact – en frappant deux bûches l'une contre l'autre. Ce test permet d'évaluer plus ou moins si son bois est assez sec ou non, en frappant deux bûches l'une contre l'autre. Si le bois est dur et a un bruit qui résonne alors il est sec ; dans le cas contraire, si le bois est mouillé, il est très peu sonore.
Cette capacité du bois à absorberou à libérer une certaine quantité d'eau selon la température et l'humidité relative de l'air est appelée hygroscopicité et constitue une caractéristique majeure de ce matériau. Ce phénomène engendre des changements de dimensions appelés retrait et gonflement.
– L'évaporation de l'eau –
Plus le bois est humide, plus il faut d'énergie thermique pour faire évaporer l'eau. C'est pourquoi le bois de chauffage humide siffle, grésille et brûle difficilement, alors que le bois bien séché prend feu et brûle facilement.
Les causes de l'imprégnation humide des bois dans la construction sont multiples mais liées à un défaut de ventilation (l'aération permet au bois de sécher naturellement) et/ou à une stagnation d'eau, des infiltrations pluviales et des remontées capillaires.
Le bois est un matériau hygroscopique, c'est-à-dire qu'il absorbe et dégage naturellement de l'eau. S'il y a un fort taux d'humidité, le bois va gonfler puis se rétracter en séchant. Des fendillements vont donc apparaitre, et vont ainsi favoriser l'apparition de champignons et de moisissures.
Sécher le bois est importante dans la mesure où le séchage contribue à l'obtention de bûches à haut pouvoir calorifique. Il consiste à baisser le taux d'humidité des bois via des méthodes naturelles ou artificielles.
Avec le chauffage, l'air chaud assèche les particules d'eau présentes dans les pièces de la maison. Il est donc très important de réguler le taux d'humidité afin de permettre à votre enfant de respirer correctement dans son sommeil.
Bois gonflé : ce léger défaut peut disparaître aisément. Quant à la méthode à utiliser, tout dépend de l'origine de la cloque. Fer à repasser, papier bristol, serre-joint, ciseau à bois, papier de verre, cire ou vernis. Avec un fer à repasser réglé sur une chaleur moyenne.
Le bois est hygroscopique c'est-à dire qu'il gagne ou perd de l'humidité en fonction des conditions du milieu environnant; en gagnant ou perdant de l'humidité, le bois se dilate ou se contracte, ce qu'on appelle aussi le « travail du bois », qui intéresse les métiers du bois d'œuvre.
La recette est très simple, dans un vaporisateur, mélangez la moitié d'eau et la moitié de vinaigre blanc. Aspergez bien le bois moisi de cette solution et laissez agir plusieurs heures, puis essuyez avec un chiffon sec.
Gonflement du bois
En présence d'eau le bois peut s'allonger de la même façon que le papier. Le gonflement du bois, conséquent à l'absorption d'eau, est bien visible avec une planche découpée au cœur de l'arbre.
Taux d'humidité et longueur des bûches
Pour une bonne efficacité lors de sa combustion, le taux d'humidité du combustible doit être inférieur à 20 %. Un bois coupé au printemps pourra être brûlé un an et demi voire seulement deux ans plus tard.
Nous vous conseillons d'éviter les bois tels que le châtaignier et le platane. Ils ont tendance à éclater et peuvent donc être dangereux.
Un bois trop humide
Au-delà, une partie de l'énergie thermique sera utilisée pour évaporer l'eau que contient le bois, sans produire de chaleur. Un bois complètement humide ne « brûlera » donc pas réellement. Il se consumera et se transformera en une sorte de charbon, sans vous fournir beaucoup de chaleur.
Certaines essences d'arbres sont bien connues pour éjecter des escarbilles : les résineux, par exemple avec les pommes de pin, mais aussi des feuillus comme le châtaigner.
Le frêne blanc
Un bois d'une dureté de 1320 lbf de résistance selon Janka. Malheureusement menacé par l'agrile du frêne, cette essence peut devenir rare avec le temps et moins utilisée pour les revêtements de plancher. Le plancher de frêne blanc a un motif de grain prononcé et similaire au chêne.
Maintenez la température de la boîte à environ 100°C et attendez une heure pour 2 cm d'épaisseur de bois. Sortez les planches de la boîte, courbez-les immédiatement et maintenez-les à l'aide d'une sangle de serrage. Le temps de séchage s'étale sur une semaine environ.