Dans l'espace, il n'y a pas d'air. Les échanges de chaleur se font uniquement par échange de rayonnement, et pas par rayonnement et convection et conduction comme sur Terre.
Bref, dans l'Univers il peut faire froid, très froid… Mais pas jusqu'au zéro absolu! Le zéro absolu (dit 0 K ou 0 Kelvin) vaut -273,15 °C. C'est la température la plus basse «permise» (en fait on ne peut que s'en approcher) par la physique, car en théorie cela signifie que les atomes ne bougent plus.
Le Soleil n'émet pas de chaleur car il est dans le vide de l'Univers dont la température avoisine les –270°C. Pourtant il semble chauffer la Terre et ses habitants à une température qui permet l'existence de vie. En fait, le Soleil fabrique de la chaleur et de la lumière. La chaleur reste prisonnière du Soleil.
La température du rayonnement cosmique mesurée est de 5,08 Kelvin (+/-0,10 Kelvin). C'est très froid, mais tout de même plus chaud que la température que les scientifiques mesurent dans l'Univers d'aujourd'hui, 2,73 Kelvin.
Quelle est la température la plus basse à la surface de la Terre ? -98°C d'après des mesures satellites récentes. Cette température extrême a été enregistrée sur la calotte glaciaire du milieu de l'Antarctique au cours d'un long hiver polaire.
Les scientifiques ont fait chuter un gaz quantique d'une tour pour dépasser le zéro absolu. Des physiciens allemands sont parvenus à produire la température la plus froide jamais enregistrée. Le zéro absolu, difficile à dépasser, est stabilisé à -273,15°C (soit 0 Kelvin).
L'Éthiopie, record des pays les plus chauds
Certainement l'un des pays les plus chauds de la planète, l'Éthiopie voit la température varier entre 45 °C et 60 °C sur le site de Dallol. De quoi être largement en tête de notre classement.
Le record officiel de chaleur a été enregistré le 10 juillet 1913 à Furnace Creek, dans la fameuse Vallée de la Mort en Californie. La température de l'air a alors été mesurée à 56,7 °C. L'endroit détient même le record de la plus forte température au sol, avec 93,9 °C mesurés le 15 juillet 1972.
Récemment, des chercheurs du MIT ont réussi à créer des «molécules ultrafroides» dont la température a atteint 500*10-9 degrés Kelvins, soit «juste un cheveux au-dessus du zéro absolu, et plus d'un million de fois plus froid que l'espace interstellaire».
L'échelle de Kelvin impliquait logiquement une température minimale naturelle, où les particules cessent complètement de bouger. C'est le « zéro absolu » ou le zéro kelvin. Il a été calculé que cette température correspond à -273,15°C.
Le système russe de traitement de l'eau issue de la condensation (SRV-K) récupère la vapeur d'eau contenue dans l'air à bord de la SSI (humidité provenant de la transpiration), mais ne recycle pas l'urine comme. L'ECLSS récupère environ 90 % de l'eau utilisée par les astronautes et la transforme en eau potable.
La Lune ne possède pas d'atmosphère, c'est-à-dire que rien ne retient ou ne protège de la chaleur du Soleil. Cette caractéristique est responsable d'une très grande amplitude thermique. Ainsi, la température de surface de la Lune atteint 150°C le jour, en plein soleil, à -150°C la nuit environ.
Éloignée de toute source de chaleur stellaire, la seule température baignant l'espace est celle du fond diffus cosmologique, soit -270.45 °C. Cette température étant bien inférieure au point de congélation de l'eau, cette dernière devrait donc logiquement directement geler dans un tel environnement.
En effet, à 11 000 mètres d'altitude la température extérieure est d'environ -60°C alors que dans le train d'atterrissage, elle varie entre -18 et -12°C d'après une étude américaine publiée en 2002.
L'espace n'est pas noir, la lumière du Soleil s'y propage. Mais tu le vois noir car les photons qui le parcourent ne parviennent pas à ton oeil. Tout ce que tu vois sont les objets qui renvoient vers toi la lumière par réverbération.
Alors que l'Univers actuel baigne dans un rayonnement cosmique d'une température de 2,7 Kelvin (-270,45 °C), cette température était de l'ordre de 20 K (-253,1 °C) moins d'un milliard d'années après le Big Bang.
Tout le monde sait que l'eau gèle à 0 °C et bout à 100 °C… pas si sûr !
Où le record du monde de chaleur a-t-il été mesuré ? Le record du monde a été mesuré le 10 juillet 1913… dans la Vallée de la mort, déjà l'un des endroits les plus hostiles de la planète. Une station météo avait enregistré ce qui reste officiellement la température la plus importante jamais mesurée sur Terre : 56,7 °C.
Lorsque ces photons se déplacent dans un espace en expansion, ils perdent de l'énergie et leur température décroît. Ainsi, l'Univers se refroidit en gonflant, de la même façon qu'un gaz comprimé se refroidit quand il est libéré et se détend.
La température de la surface du Soleil est d'environ 5 500 °C . La région la plus externe de l'atmosphère solaire est la couronne, bien plus chaude que le noyau. Les scientifiques ne comprennent toujours pas pourquoi la couronne peut atteindre la température inouïe de 20 millions de degrés Celsius.
#1 La ville de Koweït au Koweït
C'est notamment le cas avec la ville du Koweït considérée comme la ville la plus chaude du monde pour beaucoup de personnes. Les températures avoisinent très régulièrement les 50 degrés Celsius sans jamais vraiment retomber et pouvant aller jusqu'à 52,1 degrés en plein mois de juillet.
1. L'Italie. L'Italie regorge de coins magnifiques, des Cinque Terra aux Pouilles en passant par la côte amalfitaine, ce pays aux mille couleurs et aux mets les plus exquis mérite tout à fait la première place du classement.
Helsinki, Finlande – 17 jours de neige par mois
Avec en moyenne plus de 17 jours de neige par mois, la capitale finlandaise remporte la première place. La plus grande ville du pays a beaucoup à offrir pendant les mois enneigés d'hiver.
Avec 16,5 °C de température moyenne, Toulon est la ville la plus chaude de France métropolitaine, suivie de Calvi et Bastia, toutes deux situées en Haute-Corse. Cela fait certes un peu cliché, mais mieux vaut aller dans le Sud pour trouver de la chaleur toute l'année.