Le fait de parler en dormant (somniloquie) est également réparti entre garçons et filles et est principalement familial. Les vocalisations verbales surviennent au cours du sommeil lent et du sommeil paradoxal. Ce dernier correspond au moment où l'activité onirique est la plus intense et la plus débridée.
Parler la nuit n'a en fait aucune conséquence sur votre sommeil. “La qualité du sommeil n'est pas détériorée par le fait de parler en dormant. La somniloquie ne réveille pas la personne, le somnambulisme en revanche, oui. Ainsi, on peut parler toute la nuit sans être fatigué le matin”.
La somniloquie est un trouble universel appartenant au groupe des parasomnies (qui intervient pendant une des phases de sommeil). Elle se manifeste par le fait de parler en dormant, de façon périodique ou chronique.
En général, ils surviennent pendant les 3 à 4 premières heures de la nuit et plusieurs facteurs peuvent contribuer à les provoquer : manque de sommeil, fatigue extrême, abus d'alcool, stress ou fièvre, entre autres.
Il faut savoir qu'il est normal que l'on puisse entendre en dormant, puisque le cerveau reste actif pendant la nuit. Selon les phases du sommeil, certaines parties demeurent plus actives que d'autres, mais, en général, l'oreille continue de capter les sons environnants.
Comme dit précédemment, la somniloquie se caractérise par le fait de prononcer des mots durant son sommeil. Mais, contrairement à d'autres maladies du sommeil paradoxal, elle n'est pas une gêne pour le dormeur qui n'a pas conscience de s'exprimer. En revanche, elle peut l'être pour le conjoint ou la famille du malade.
Il est souvent lié à des difficultés respiratoires ou à un mouvement incontrôlé des jambes. La consommation excessive d'alcool, le manque de sommeil, le stress ou les troubles psychiques peuvent entraîner ce type de manifestation.
La cause la plus fréquente du rire pendant le sommeil est le fait d'avoir fait un rêve étrange. Les partenaires de sommeil décriront souvent un gloussement ou un ricanement, ce qui tend à réveiller le rêveur. Une fois réveillé, il peut dire que le rêve était étrange ou bizarre plutôt que drôle.
Autre point, le "parler tout seul" peut faire surface en cas de stress accru, de doute ou de fragilité. Le monologue intervient alors comme un moyen de sortir de soi des paroles et appréhensions qui tournent en boucle. Ainsi, le manque de confiance se traduit chez certains par ces discussions avec soi-même.
Le somnambulisme, qu'est-ce que c'est ? Le somnambulisme se caractérise par un état d'éveil inconscient, durant le sommeil. Le somnambule peut simplement rester éveiller dans son lit, voire se lever, manger et faire des activités pouvant être plus ou moins dangereuses, pour lui et pour autrui.
Selon les experts, le fait de fermer les paupières permet d'hydrater l'oeil et de protéger sa surface. A l'inverse, lorsqu'on dort les yeux ouverts, les yeux s'assèchent et sont susceptibles de s'infecter car ils reçoivent plus de poussières. C'est donc tout simplement un mécanisme de protection de notre corps.
Insomnie psychophysiologique
On parle aussi d'insomnie chronique. L'idée est que la personne souffre tellement de ne pas dormir qu'elle finit par avoir peur de se coucher et de ne pas réussir à s'endormir : c'est une insomnie qui se nourri elle-même !
"Quand on se réveille et qu'on ne peut plus bouger, notre cerveau est en fait réveillé, mais les voies qui vont du cerveau jusqu'à la moelle, et qui commandent les muscles de tout le corps, entraînent une inhibition de la contraction motrice, donc une paralysie.
Il se manifeste par une déambulation nocturne, désorientée et inconsciente. En pratique, le sujet déambule le plus souvent dans sa chambre. Son comportement est relativement organisé, mais ralenti sur le plan moteur. Parfois, le somnambule ne marche pas, mais reste dans son lit et répète certains mouvements.
Non, le somnambulisme n'est, en soi, pas dangereux. Par contre, comme la conscience est altérée à ce moment-là, la marche et toute autre action motrice éventuelle sont totalement incontrôlées, ce qui peut parfois conduire à des situations dangereuses. On estime que 17 % des enfants et 4 % des adultes sont somnambules.
Il peut parler, s'asseoir sur le lit et même conduire une voiture. Toutefois, la posture d'un somnambule est bien différente de ce qu'on peut s'imaginer.
Vous vous réveillez entre 5h et 7h du matin
Sa fonction première est d'absorber de l'eau et des éléments nutritifs. Un réveil, durant cette tranche horaire, peut indiquer un problème digestif, causé par une alimentation trop riche ou au contraire trop pauvre.
L'hypersomnie idiopathique
Elle est caractérisée par une somnolence diurne excessive constante entrecoupée de siestes peu reposantes et accompagnée d'un sommeil nocturne de durée normale ou accrue mais non reposant.
Définition de la catathrénie
Cela signifie que l'on fait des bruits qui s'apparentent à des grognements ou des gémissements pendant qu'on dort. Ce phénomène se présente quand le dormeur inspire et encore plus, particulièrement lorsqu'il expire. Généralement, la crise provient d'une étroitesse des voies respiratoires.
Un décalage entre les muscles et le cerveau
"Quand on s'endort, il y a une perte progressive du tonus musculaire. Seulement, si ce relâchement est trop rapide par rapport au cerveau, ce dernier le perçoit comme une chute et tente de reprendre le contrôle en contractant les muscles", explique la scientifique.
La banane, les dattes et la mangue
Certains fruits ont une teneur élevée en tryptophane. C'est le cas de la banane, des dattes et de la mangue. Plutôt doués pour remettre les pendules du sommeil à l'heure, ces fruits gagnent à être consommés avant le coucher.
Une méta-analyse réalisée en 2017 a d'ailleurs révélé qu'une personne en manque de sommeil consomme 400 calories de plus qu'une personne ayant dormi suffisamment [4]. À ce rythme, ce surplus calorique se traduirait par une prise de poids estimée à près de 18 kilos (40 livres) par année.
Des chercheurs du Karolina Institute à Stockholm en Suède ont établi que dormir moins de 5 heures par nuit, chaque nuit, augmenterait le risque de mortalité de 62 % par rapport à ceux qui dorment 7 heures par nuit.