Pourtant, l'échec n'est vraiment pas la raison N. 1 pour laquelle les gens échouent. Les vraies raisons sont la peur et l'inaction. La peur de l'échec, d'avoir l'air stupide, de la perte, du regard des autres.
Écoutez-le en silence et laissez-le exprimer les émotions nées de cet échec X Source de recherche . Demandez-lui ce qu'il ressent et laissez-le parler aussi longtemps qu'il en a besoin. Vous pourrez dire quelque chose comme « dis-moi ce que tu ressens. Je t'écouterai aussi longtemps que tu en as besoin ».
La meilleure solution contre la peur de l'échec est sûrement la détermination, l'entêtement et l'envie de continuer. L'échec n'est qu'une étape dans la réussite d'un projet. L'important est d'apprendre de ses échecs et non de les laisser nous arrêter et d'abandonner. Avant de réussir, il faut échouer, c'est normal.
Une personne souffrant d'atychiphobie envisage si intensément la possibilité d'un échec qu'elle refuse de prendre le risque. Elle peut, subconsciemment, diminuer ses capacités et se convaincre qu'il est inutile de continuer.
Pourquoi je ne réussis pas ? Tout d'abord et c'est selon moi très important à comprendre, la réussite dépend de deux facteurs : l'action et l'état d'esprit. Si l'un des deux vous manque vous allez avoir du mal à réussir ce que vous souhaitez.
Charles Pépin : « C'est dans l'échec que l'on apprend à mieux se connaître »
Un grave échec passé, une image de soi biaisée et dégradée ou encore un traumatisme, peuvent être à l'origine de la peur de l'échec. Cette dernière entraîne alors de nouveaux troubles. La plupart du temps, la crainte est l'expression de nombreuses névroses qui s'imbriquent de manière complexe.
La peur de l'échec peut se caractériser par : une faible estime de soi et l'idée que l'on n'y arrivera pas ; un perfectionnisme de la réussite et de la façon d'y accéder ; un auto-sabotage pour éviter de tenter à nouveau sa chance ; un confort à ne pas s'impliquer dans de nouveaux projets à risque.
Il ne s'agit pas non plus, précise-t-elle, de lui dire que ce n'est pas grave "même si, en soit, rater son bac n'est pas si grave que ça". Mieux vaut insister sur la notion de seconde chance, que ce soit au rattrapage ou l'année d'après. Car après tout, rien n'est perdu.
Les symptômes physiques se résument surtout à des tensions musculaires, des problèmes digestifs et intestinaux, des troubles du sommeil (insomnies), des manques d'appétit, des migraines, des vertiges et de la fatigue.
C'est normal d'être stressé avant un examen, car même si on sait qu'il portera sur une matière précise, on ne connait pas la formulation exacte des questions : on n'a donc pas le contrôle sur la situation. C'est comme cela que notre corps fonctionne! Un peu de stress est même nécessaire pour t'amener à étudier.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
L'échec est parfois lié à la passivité : c'est un échec à court terme, qui fait était d'un manque de persévérance. Ce manque peut s'exprimer de différentes manières : L'abandon anticipé L'incapacité à relever des défis de long terme.
Charles Pépin : «Qui n'a jamais connu l'échec a raté sa vie !»
Transformer l'échec en réussite : la marche à suivre
Nier l'échec, c'est le considérer non pas comme une étape, mais comme une finalité indésirable. Constater l'échec, l'accepter, l'analyser pour en rechercher les causes : telles sont les phases qui vous permettront de repenser votre projet de façon plus intelligente.
Si pour toi, "rater sa vie", c'est avoir fait un choix trop rapide à un certain moment, sache qu'il y aura d'autres choix et d'autres possibilités de se remettre sur les rails ou au moins améliorer le quotidien. Et on peut faire le point sur ce qui a été fait de positif, et ce qu'il reste à faire.
"Pour ne pas être déçu(e) et avoir l'impression de rater sa vie, le mieux c'est de se fixer des objectifs à court ou moyen terme et surtout d'être créatif dans la façon de la façon de les atteindre".
Il vous faudra : Faire la paix avec vous-même, ne pas vous en vouloir pour les actes manqués, ne pas vous sentir « nul » de n'avoir pas toujours pris les bonnes décisions, etc. Arrêter de vous sentir comme une victime (de la vie, des évènements, des autres) et vous prendre en main.