Dans quel cas le médicament POLYGYNAX est-il prescrit ? Ce médicament contient deux antibiotiques, la polymyxine B et la néomycine, de la famille des aminosides, et un antifongique, la nystatine. Il est utilisé dans le traitement local des infections vaginales.
Posologie Polygynax
La dose recommandée est de 1 capsule vaginale chaque soir au moment du coucher, pendant 12 jours.
Il répond à plusieurs indications : anti-infectieux (antibactériens, antiparasitaires ou antimycosiques), antiseptique à usage gynécologique, hydratant, hormonal ou contraceptif.
Le traitement se résume à un ovule antimycosique à libération prolongée, à renouveler quelques jours plus tard (Gyno-Pevaryl®, Lomexin®, Monazol®...) pour éviter les récidives. Il existe aussi un traitement minute par voie orale (Triflucan®, Beagyne®) sur prescription, car réservé à certains cas plus ennuyeux.
Les pertes blanches peuvent varier d'aspect. Elles peuvent être plus abondantes, colorées ou plus ou moins épaisses. ► Pertes jaunes : si elles deviennent jaunâtres, notamment associées à des brûlures ou démangeaisons : c'est le signe d'une infection.
Leur rôle principal est de nettoyer et de lubrifier le vagin en éliminant les cellules mortes et les débris microbiens. Les pertes blanches pendant l'ovulation permettent d'aider les spermatozoïdes à remonter jusque dans l'utérus et féconder l'ovule.
Ce médicament contient deux antibiotiques, la polymyxine B et la néomycine, de la famille des aminosides, et un antifongique, la nystatine. Il est utilisé dans le traitement local des infections vaginales.
La protection est efficace entre 2 et 4 heures. Un nouvel ovule doit être introduit avant tout nouveau rapport. Il faut absolument proscrire toute toilette vaginale avant le rapport sexuel et de 6 à 8 heures après, pour conserver une protection maximale.
Lorsqu'on met des ovules, il est conseillé d'éviter les relations sexuelles pour garantir l'efficacité du produit.
Une vaginose bactérienne se développe lorsque la flore vaginale habituelle est déséquilibrée et remplacée par des bactéries pathogènes. Les pertes vaginales sont alors plus abondantes et malodorantes, cette odeur s'accentue après les rapports sexuels.
La principale cause de la mycose vaginale : un milieu vaginal déséquilibré Dans un environnement stable et équilibré, les lactobacilles cohabitent avec Candida albicans, hôte naturel opportuniste du milieu vaginal.
Parmi eux, nous pouvons citer : ÉCONAZOLE BIOGARAN ovule. LOMEXIN capsule. MONAZOL ovule.
Quand mettre l'ovule ? « Ces ovules doivent être mis le soir, juste avant de se coucher, parce qu'ils peuvent provoquer des sécrétions.
Lorsque vous avez totalement guéri votre mycose, la sensation de brûlures et les démangeaisons disparaissent. Si votre mycose se trouve sur la peau, celle-ci commence généralement rapidement à retrouver son aspect normal, et si c'est une mycose vaginale, les pertes blanchâtres disparaissent également.
On ne parle pas de transmission car la mycose n'est pas réellement une IST. La candidose peut être effectivement réactivée lors de rapports non protégés, mais il ne s'agit pas de transmission à proprement parler.
La mycose vaginale n'est pas incompatible avec les rapports sexuels. Ces derniers peuvent néanmoins être douloureux et augmenter l'irritation. Très rarement, la mycose peut se transmettre à l'homme. Le partenaire présente alors généralement une balanite (inflammation du gland qui dure quelques jours) après le rapport.
Compte tenu de la présence dans cette spécialité d'un aminoside, la néomycine, à l'origine d'un risque ototoxique, et de l'éventualité d'un passage systémique, l'utilisation de ce médicament chez la femme enceinte est déconseillée.
dormir sans sous-vêtement pour laisser l'air circuler autour de la vulve ; éviter de porter des pantalons trop serrés et des collants de nylon ; éviter de garder un maillot de bain mouillé ; avoir des relations sexuelles protégées, pour prévenir le risque de trichomonase et d'autres infections transmises sexuellement.
Les pertes blanches sont des sécrétions naturelles produites par le vagin et l'utérus. Elles sont composées de glaire cervicale, substance visqueuse expulsée par le col de l'utérus. Les pertes blanches sont de couleur blanche ou jaune claire, ont un aspect transparent ou un peu laiteux, et sont généralement inodores.
La vaginose bactérienne est traitée par un antibiotique (tel que le métronidazole ou la clindamycine). Le métronidazole par voie orale pendant 7 jours constitue le traitement de choix pour les femmes qui ne sont pas enceintes.
L'hydrorrhée vaginale est un écoulement par le vagin d'un liquide incolore ou peu coloré. Cela peut être une sécrétion vaginale augmentée comme au cours de la plupart des grossesses ; mais de survenue récente, elle doit faire évoquer une rupture a minima de la poche des eaux.
Etre vigilante sur la toilette particulièrement pendant les règles. Laver la vulve (jamais l'intérieur du vagin !) avec un savon gynécologique adapté à la toilette quotidienne ou avec le savon habituel s'il n'entraîne ni irritation ni sécheresse. Changer régulièrement vos protections pour éviter la macération.
La mycose vaginale : infection définie par des démangeaisons, rougeurs et pertes blanches épaisses. La chlamydia : infection sexuellement transmissible qui est le plus souvent asymptomatique. L'herpès génital : infection sexuellement transmissible définie par l'apparition de démangeaisons et brûlures.