de douleurs et troubles précédant les règles, de douleurs et maladies bénignes du sein, de saignements (saignements dus à un fibrome...), dans le traitement de la ménopause (en complément d'un traitement estrogénique).
par voie vaginale dans le traitement de troubles de la fertilité et pour prévenir les fausses couches et les avortements spontanés à répétition.
L´UTROGESTAN, un médicament couramment utilisé par les femmes enceintes pour limiter le risque de contractions, ne doit plus être prescrit après le premier trimestre de la grossesse.
En fonction du traitement, les capsules d'Utrogestan sont administrées par voie orale ou vaginale. – Chez les femmes ayant un utérus intact dans le cadre du traitement hormonal des troubles de la ménopause (naturelle ou à la suite de l'ablation des ovaires), en complément d'un traitement avec un oestrogène.
La prise de progestérone par voie orale est utilisée en fin de grossesse en vue d'éviter une naissance prématurée, malgré l'absence d'efficacité démontrée. La progestérone est une cause connue de cholestase intrahépatique, qui survient au 3e trimestre de la grossesse.
Par voie orale uniquement, les effets suivants ont été observés: · risque de somnolence ou de sensations vertigineuses fugaces apparaissant 1 à 3 heures après la prise du médicament, · modifications des règles, interruption des règles, saignements entre les règles. Ces effets témoignent le plus souvent d'un surdosage.
De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
Le diabète, le côlon irritable, une carence en vitamines, un manque de nutriments, la pollution et d'autres troubles hormonaux peuvent freiner la production du corps jaune si important dans les ovaires. Il peut alors en résulter une impossibilité à concevoir ou une fausse couche.
Outre le fait qu'elle prépare l'endomètre à accueillir l'ovule fécondé, la progestérone est l'une des hormones les plus importantes pendant la grossesse, car elle favorise l'élasticité des tissus corporels afin qu'ils s'adaptent à l'augmentation de volume du bébé.
Différents traitements semblables à la progestérone (connus sous le nom de progestatifs) ont été utilisés pour traiter les femmes souffrant de saignements en début de grossesse. Ils sont également utilisés pour prévenir les fausses couches chez les femmes ayant des antécédents de fausses couches.
supplémentation de la phase lutéale au cours de cycles spontanés ou induits, en cas d'hypofertilité ou de stérilité primaire ou secondaire notamment par dysovulation, en cas de menace d'avortement ou de prévention d'avortement à répétition par insuffisance lutéale, jusqu'à la 12ème semaine de grossesse.
Progestérone durant la grossesse
Elle prévient le début du travail en inhibant les contractions utérines (quiescence myométriale), en s'opposant aux effets de l'ocytocine et des prostaglandines et elle a une action sur le col utérin.
En dehors de la grossesse, la progestérone a d'autres actions : elle a un effet sédatif sur le système nerveux central et est responsable du décalage thermique après l'ovulation. Elle s'oppose à l'effet des œstrogènes sur les glandes mammaires et la muqueuse utérine, régulant ainsi leur action.
Sous l'effet de la progestérone, le cerveau cesse progressivement de sécréter la FSH et la LH : les ovaires diminuent leur production d'estrogènes, puis de progestérone, jusqu'au prochain cycle. La diminution des taux sanguins de l'ensemble de ces hormones est responsable du déclenchement des règles.
THS : quand l'arrêter ? Au bout de deux ans, il est souvent conseillé de suspendre le traitement hormonal substitutif une fois par an pour voir s'il est toujours nécessaire ou si l'on ne peut pas diminuer les doses.
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
Votre foie et vos reins sont en fait surchargés par les différentes hormones sécrétées durant ce premier trimestre (progestérone, œstrogène, gonadotrophine chorionique humaine…). Ils ne peuvent remplir leur rôle de détoxification des toxines du corps, ce qui entraine plus de fatigue.
Faciliter le sommeil
Ce n'est pas un secret que la progestérone aide les femmes à s'endormir plus vite, à avoir un sommeil profond moins perturbé, et à dormir plus longtemps.
Les saignements peuvent généralement être contrôlés par l'administration d'œstrogènes plus un progestatif (une hormone féminine de synthèse) ou de la progestérone (similaire à l'hormone fabriquée par le corps) ou parfois par l'une de ces hormones seule.
Certains aliments contiennent de la progestérone. C'est le cas : des œufs, le jaune en particulier, des produits laitiers à base de lait de vache et de la volaille. ► La progestérone est une hormone sécrétée principalement chez la femme, dans les ovaires.
Fertilité, grossesse et allaitement
Ce médicament peut être prescrit par voie vaginale pendant le premier trimestre de la grossesse. Il ne doit pas être utilisé à partir du 4e mois de grossesse. Des atteintes du foie ont été très rarement observées en cas d'utilisation pendant le 2e et le 3e trimestre de la grossesse.
En théorie, la réponse à ces questions est la même : non. Un traitement substitutif équilibré et calibré pour vos besoins physiologiques hormonaux précis n'entraînera pas de prise de poids définitive. Il pourra en effet induire deux à trois kilos en plus qui disparaitront aussi vite qu'ils sont apparus.
La progestérone, sécrétée essentiellement après l'ovulation, augmente l'appétit – et l'anxiété –, une autre caractéristique du SPM. « Les femmes sont plus critiques à l'égard de leur corps durant la phase lutéale [post-ovulatoire] du cycle, entre l'ovulation et les règles, dit Mme Klump.
Pour améliorer la qualité de l'endomètre et favoriser la nidation de l'embryon, un traitement peut être proposé durant la phase lutéale (seconde partie du cycle, après l'ovulation), à base de progestérone ou de dérivés : dihydrogestérone (par voie orale) ou progestérone micronisée (voie orale ou vaginale).