Placé devant un adjectif numéral (« trois », « vingt », « quarante-deux », etc.), « quelque » est adverbe et signifie « environ », « à peu près ». Étant adverbe, il est invariable. Il a vécu quelque trente ans dans cette maison. Quelque dix décennies séparent ces deux hommes politiques.
Lorsque l'épithète et le nom forment une sorte de nom composé, on maintient "des". Ce sont des (jeunes gens) pleins d'espoir. Les adverbes de quantité comme beaucoup, peu, près, trop, plus, moins, un peu.. sont suivis de de ou d'.
-Conclusion : 'leur' = pronom personnel placé avant un verbe ne prend pas de 's' . 'leur ' = Adjectif possessif placé avant un nom au singulier ne prend pas de 's' . 'leurs' = Adjectif possessif placé avant un nom au pluriel prend un 's' .
Voici une petite explication toute simple. -> On utilise tout, quand ce qui suit est au singulier. -> On utilise tous, quand le nom qui suit est au pluriel. tout = adjectif féminin : toute, pluriel : tous, toutes.
Femme vient du latin femina, qui progressivement s'est prononcé "fème", puis "fame", mais là encore les lexicographes ont tenu à maintenir le lien avec l'origine latine, donc le premier "e"… même s'il se prononce A. C'est toute la différence entre la graphie du français et celle de l'espagnol, par exemple.
On écrit « tout le monde », tout au singulier, avec un t final puisqu'il précède un article défini et un nom au singulier le monde.
Les noms en -au, eu et -eau prennent un -x. Les noms en -al font leur pluriel en -aux. Les noms en -ail font leur pluriel en -ails mais il y a déjà beaucoup d'exceptions. Les noms en -ou font leur pluriel en -ous sauf bijoux, choux, genoux, cailloux, joujoux, hiboux et poux.
On écrit "qu'elle(s)" quand on peut remplacer par "qu'il(s)" : Il faut qu'elle rentre tôt. / Il faut qu'il rentre tôt. Dans tous les autres, cas on écrit quel(s) au masculin ou quelle(s) au féminin : Quelle bonne idée ! / Quelles bonnes idées !
Exemple : vous pensez (2e p du pluriel > 2e p du singulier =) tu penses. 1. Nous allons à la piscine.
Il s'accorde en genre (masculin ou féminin) et en nombre (singulier ou pluriel), selon le sens de la phrase. « Quelque » ne prend pas de « s » lorsqu'il s'agit d'un « petit nombre » ou lorsqu'il a le sens de « quelconque » ou de « certain ».
Le mot MILLE, en tant qu'adjectif numéral (c'est-à-dire quand il désigne le nombre 1000) est INVARIABLE. De ce fait, il ne prend JAMAIS de S.
On utilise la marque 's pour exprimer une relation de possession entre deux choses. Elle s'utilise majoritairement lorsque le possesseur est un être animé (personne, groupe de personnes, animaux) ou un pays.
Au singulier : quelqu'un, quelqu'une avec une apostrophe marquant l'élision du e. - Au pluriel : quelques-uns, quelques-unes, avec un trait d'union.
En somme, tout se résume à ce petit truc tout simple : quand on peut remplacer quelques par plusieurs, alors il prend un S, comme plusieurs. Autrement, pas de S. Voilà, cher Maxime, en quelques minutes (avec un S à quelque et à minute), vous avez appris quelque chose (sans S à quelque ni à chose).
On écrit toujours « quelque temps » : « quelque temps » est une locution adverbiale qui s'écrit toujours au singulier. En effet, comme le rappelle notre article sur « quelque / quelques », lorsque « quelque » a valeur d'adverbe, on ne l'accorde pas.
Quelle(s) est un adjectif interrogatif ou exclamatif, au féminin QUEL ADJECTIF. Quelles sont les nouvelles ? Quelle belle barbe ! Qu'elle(s), c'est que + elle(s).
Quelle(s), forme féminine dequel, peut être adjectif interrogatif ou exclamatif. Je l'accorde en genre et en nombre avec le nom qui le suit. - Quelle heure est-il ? - Quelles histoires !
Les aromates comme le baume, la mhyrre, le storax, l'encens, l'absynthe, le genièvre, etc. Les noms des vertus et des vices comme la chasteté, la pudeur, la gloire, la charité, la paresse, l'ivresse, la haine, la bonté, le courage, la douceur, l'inclémence, l'injustice, l'innocence, l'indiscrétion, etc.
Avec un trait d'union. - Plur. : des coffres-forts.
Les participes passés des verbes suivants ne s'accordent donc jamais : se téléphoner, se parler, se mentir, se plaire (complaire/déplaire), se sourire, se rire, se nuire, se succéder, se suffire, se ressembler, s'en vouloir.
En orthographe traditionnelle (non réformée), employé comme adjectif, vidéo est invariable : des bandes vidéo ; employé comme nom, il prend la marque du pluriel : des vidéos (= des films, des émissions tournés en vidéo).
Les adverbes très et trop n'ont pas le même sens. L'adverbe très exprime une intensité absolue tandis que l'adverbe trop exprime une quantité excessive.
Règle : si l'orthographe traditionnelle stipule que « après-midi » est invariable (« des après-midi » sans -s), la réforme de l'orthographe de 1990 permet désormais d'écrire « des après-midis » avec un -s.