Parler vite c'est souvent un mécanisme lié au stress, c'est aussi une mauvaise habitude que l'on prend lorsque l'on vit à un rythme effréné ou lorsque l'on n'aime pas parler en public (manque de confiance en soi, peur d'être « coupé »…).
Plusieurs raisons à cela: parler vite rend votre discours, plus rythmé, stimulant, et donne l'impression que vous êtes «passionné» par le sujet. Mais surtout, énoncer vos arguments rapidement donnera très peu de temps à votre auditoire pour réellement comprendre et analyser ce que vous dites.
Définition de la logorrhée
Une personne logorrhéique ressent un besoin intarissable de parler. Son flux de paroles est précipité, diffus et continu. Ce flot de parole continu est souvent associée à une tachyphémie, c'est-à-dire à une accélération progressive du débit d'élocution et du rythme du cours de la pensée.
Une personne volubile, du latin volubilis, « qui tourne », s'exprime avec facilité et rapidité, ce qui est plutôt une qualité. Exception faite pour Littré qui considère qu'on est volubile quand on parle trop et trop vite (ex. : un enfant volubile).
"La vitesse de la parole est le seul facteur qui apparait lié à l'intelligence, confirme Sébastien Bohler. Un débit important indique une personnalité qui n'hésite pas, compétente et dotée d'un cerveau qui va vite."
Il s'agit tout simplement de prendre des respirations très profondes : vous faites entrer le maximum d'air dans vos poumons et vous le relâchez très, très lentement. Pendant que vous le faites, concentrez vous sur ce que vous ressentez : l'air qui entre dans votre corps, le trajet qu'il fait, comment il ressort.
Selon la psychologue Mélanie Fouré, ce genre de comportement s'explique : "Si l'on exclut les problèmes ORL, le fait de parler plus fort que les autres dénote paradoxalement un besoin de sur-compenser un sentiment d'insécurité, et bien souvent la peur de ne pas avoir la capacité d'attirer l'attention de son ...
– loquace :une personne loquace (même origine que "éloquent") parle volontiers et abondamment mais ses propos sont souvent de peu d'importance ; – prolixe : un discours prolixe est trop long, chargé de détails inutiles.
La New Yorkaise Fran Capo a battu le record du monde de la rapidité de la parole. Elle est devenue la femme qui parle le plus vite. L'humoriste a prononcé 603,32 mots en seulement 54,2 secondes !
Les conversations des ados semblent être régies par un principe d'urgence, être le plus rapide est une règle élémentaire de l'interactivité et de la compétition : les jeunes parlent considérablement plus vite que les adultes et leurs énoncés sont généralement plus courts.
La précrastination est souvent le réflexe de personnes consciencieuses, perfectionnistes mais aussi anxieuses. On pourrait se dire que c'est un bon réflexe car nos tâches sont faites immédiatement, mais cela pose plusieurs problèmes : Perte d'efficacité : Pour être efficace, on doit s'organiser.
En principe, il vous suffit de prendre la parole sans attendre qu'on vous l'offre, mais je vous suggère de faire aussi un petit geste, pour capter le regard du verbomoteur. Levez la main légèrement pour signaler « stop ». Faites-le avec respect. Si la personne ne vous remarque pas, levez la main un peu plus haut.
Testez votre audition.
Parler trop fort peut être un signe de perte d'audition. Les autres signes de perte auditive neurosensorielle comprennent la difficulté à entendre lorsqu'il y a beaucoup de bruits de fond et l'incapacité à comprendre clairement ce que les autres disent.
Les causes. Être taciturne vient généralement de l'humeur et du caractère de la personne. En effet, certains événements plus ou moins traumatisants ont pu affecter son caractère et sa perception de la vie. Il s'est renfermé sur lui-même et n'arrive plus à exprimer ce qu'il ressent.
Érès): "En psychiatrie, le soliloque, c'est-à-dire le discours qu'une personne seule se tient à elle-même, est l'un des premiers signes diagnostiques isolés de la schizophrénie ou de certaines formes de psychose.
La grande majorité des personnes qui parlent peu sont des introvertis. Des livres comme « Le leader introverti : tirez profit de votre talent silencieux » de Jennifer B.
Autre point, le « parler tout seul » peut faire surface en cas de stress accru, de doute ou de fragilité. Le monologue intervient alors comme un moyen de sortir de soi des paroles et appréhensions qui tournent en boucle. Ainsi, le manque de confiance se traduit chez certains par ces discussions avec soi-même.
La dysarthrie est une incapacité à articuler les mots de façon normale. L'élocution peut être saccadée, hachée, chuchotante, irrégulière, imprécise ou monotone, mais les personnes peuvent comprendre le langage et l'utiliser correctement.
Le fait de parler lentement vise plusieurs objectifs, comme augmenter le charisme et l'autorité, ou pour laisser l'auditoire absorber des informations complexes plus facilement. Mais parfois ralentir n'est simplement pas nécessaire, et peut même réduire l'efficacité d'une prise de parole.
L'explication est simple : les personnes intelligentes sont tout simplement moins stimulées à l'idée d'avoir des relations sociales et sont donc très à l'aise dans la solitude.
La cause, ce sont les polluants, toutes ces substances présentes autour de nous, chez nous, ou dans notre assiette. On savait qu'elles altéraient notre foie ou nos poumons, elles endommagent aussi notre cerveau.