Allégorie de la Justice et du droit, elle est généralement représentée avec une épée ou un glaive à la main, symbole du châtiment, une balance dans l'autre, pour l'équilibre qu'elle maintient, et les yeux bandés en signe d'impartialité.
La déesse Thémis est fréquemment représentée avec la balance, le glaive et le bandeau, différents symboles de la Justice.
Le bandeau qui couvre les yeux de Justice est un symbole d'impartialité. Il indique que la justice est (ou devrait être) rendue objectivement, sans crainte ni faveur, indépendamment de l'identité, de la puissance ou de la faiblesse des accusés : la justice comme l'impartialité est aveugle.
Le glaive, symbole d'une justice qui tranche
Le glaive est une incarnation à la fois de la force, de l'aspect répressif de la Justice et du pouvoir immédiat des décisions de justice. Il trouve son origine dans la mythologie grecque en tant qu'attribut de Némésis, la déesse de la vengeance.
La Justice et le principe de séparation des pouvoirs. L'indépendance de la Justice. Glaive et balance, les 2 pouvoirs de la justice. Le principe de gratuité de la justice.
Il s'agit de nos jours d'une tradition principalement anglo-saxonne, et plus particulièrement nord-américaine. Les présidents d'assemblées, de commissions ou de réunions, ainsi que les juges du siège dirigent les débats avec un marteau, appelé gavel en anglais.
Création de la notion de justice par le droit
La civilisation romaine est la première à avoir constitué des théories juridiques qui nous soient parvenues. Le droit romain, peut donc être considéré comme le premier système juridique.
Jusqu'au XVIIe siècle, ces robes amples étaient portées au quotidien et à longueur de journée par les magistrats comme symbole du prestige de leur profession. Aujourd'hui elles permettent notamment de marquer la distance entre l'individualité des magistrats et la fonction qu'ils occupent.
Drapeau blanc, croix rouge, casques bleu ciel, colombe, rameau d'olivier, drapeau olympique ou aux couleurs de l'arc-en-ciel… les symboles de la paix ne manquent pas pour rendre visible le retour à la paix ou symboliser les luttes pour la paix.
QUE SIGNIFIE CE SYMBOLE ? Le glaive et l'épée de Justice sont avant tout des symboles de puissance qui se démarquent de la balance, symbole d'équité non-violent. Sans force pour appliquer les décisions, la balance est inutile, ces deux armes symbolisent cette fonction.
Plus que tout autre animal, le Lion est admiré par l'homme. Ainsi, depuis des temps immémoriaux, il est considéré comme un symbole de Justice et de bravoure. Comme symbole de Justice, en l'associant à l'image du pouvoir, il devient garant de sa légitimité, que ce pouvoir soit temporel ou spirituel.
Le pouvoir judiciaire étant au-dessus des hommes, il était représenté dans les forces de la nature: bois, couronnes fleuries, cornes d'abondance etc. Au temps des rois, ces derniers étaient les intermédiaires entre les hommes et Dieu et les symboles traditionnels cohabitaient avec la fleur de lys.
« Thémis et ses attributs : Déesse grecque, fille d'Ouranos et de Gaïa (respectivement le ciel et la terre), Thémis représente la Justice immanente et l'ordre établi. En grec, Thémis signifie d'ailleurs "loi divine". Épouse et conseillère de Zeus, elle reste à la droite de son trône.
« Azur qui représente le ciel, signifie justice, humilité, fidélité, chasteté, joie, loyauté, bonne réputation, amour et félicité éternelle.
En effet, comme beaucoup d'uniformes, les perruques sont un emblème de l'anonymat, une façon de se distancier de toute implication personnelle et un moyen de valoriser visuellement l'autorité de la loi. La persistance de cette tradition est donc symbolique.
Une épitoge est une bande de tissu distinctive portée par-dessus la toge (d'où son nom) des magistrats, directeurs de greffe et avocats, ainsi que des universitaires.
La robe noire de l'avocat, appelée toge, dérive du costume noir clérical (soutane) de l' Ancien Régime. Les lettrés, dont faisaient partie les gens de justice, étaient essentiellement des clercs. À l'origine, la robe comptait trente-trois boutons, en référence à l'âge du Christ au moment de sa mort.
Son royaume ne respire pas la joie. Le séjour des morts est pire que la mort elle-même, si l'on en croit le philosophe Sénèque. Comme le dieu ne trouve pas de femme qui veuille bien de lui, il est obligé de ruser, et d'enlever de force Proserpine.
Dans la mythologie romaine, Cupidon (du latin cupido signifiant « désir », « passion ») est le fils adultérin de Vénus et de Mars. Dieu de l'amour, il est assimilé à Éros.
Hédoné ou Édoné (en grec ancien Ἡδονή / Hêdonế) est une divinité de la mythologie grecque, fille de Psyché (déesse de l'âme) et d'Éros (dieu de l'amour, forme grecque de Cupidon). Elle est la déesse du plaisir, de la volupté et de la sensualité, sa forme romaine est Voluptas.
La justice de Dieu n'est pas une justice exercée, ni la loi en vertu de laquelle le pécheur est puni, mais une justice reçue, une justice passive, par laquelle Dieu nous acquitte du péché, grâce à laquelle il nous rend juste, une justice que nous laissons agir en nous par la foi.
la justice civile règle les conflits entre particuliers (exemples : divorce, bail d'habitation, consommation, etc.) ; la justice pénale règle les conflits qui impliquent une infraction à la loi pénale ; la justice administrative règle les conflits entre administrations, et entre un particulier et une administration.
La justesse de la justice se mesure à la manière dont celle-ci est rendue. Au-delà des principes, la justice est une affaire de personnes, d'individus, compris et entendus dans leur subjectivité. Juste, équitable, impartiale, compétente, sereine. Naturellement, la justice doit être tout cela.