Le régime végétarien est en effet très bénéfique pour la santé : en outre d'être très bon pour la ligne (en règle générale les végétariens ou végétaliens sont plus sveltes que les omnivores), ce régime serait bon pour le coeur ainsi que pour lutter contre le diabète et le cancer.
Le régime végétarien mise sur une alimentation équilibrée et diversifiée, riche en fibres et en minéraux. Il en résulte des repas plus légers et une digestion facilitée. Exit le coup de pompe d'après repas. Manger végétarien permet de garder davantage d'énergie, et d'être au top de sa forme.
Une alimentation végétarienne, riche en fibres et en antioxydants (présents en abondance dans les fruits et légumes) permet donc de prévenir les risques de maladies cardio-vasculaires et de cancers.
Arrêter toute consommation de viande et de produits animaux (adopter un régime végétalien) ne fragilise par seulement les os : cela favorise aussi le risque de fracture, selon une étude parue lundi 23 novembre sur le site BMC Medicine et dont Courrier international se fait l'écho.
Que vous soyez végétarien, végétalien, végan ou en passe de le devenir, La Meilleure façon de manger végétal (MFMV) est la référence à posséder, une véritable bible pratique, écrite par un scientifique et une diététicienne-nutritionniste.
Si ses bienfaits sur l'espérance de vie et la tension artérielle sont établis, plusieurs études ont également montré que "le végé" permettrait de perdre du poids, sans même avoir besoin de réduire ses apports énergétiques quotidiens (c'est-à-dire le nombre de calories ingérées).
Il est pauvre en graisses saturées et en sel, mais riche en fibres et en potassium. Les végans, comme les végétariens, semblent souffrir moins fréquemment de maladies cardiovasculaires, de diabète de type 2, de cancers et d'obésité, mais le rôle de l'alimentation dans ces bénéfices est difficile à distinguer.
Mais, ce n'est pas leur seule vertu. L'apport important en fibres régule aussi le métabolisme du glucose. Elles auraient tendance à agir sur l'absorption des graisses. Enfin, autre avantage minceur des régimes les végétariens : ils font la part belle à beaucoup d'aliments à faible index glycémique.
Régime végétarien : remplacer la viande par des protéines végétales. 40 grammes de protéines par jour pour une personne de 50 kg suffisent. Pour garder un apport en protéines et en fer suffisant, cap sur les légumineuses (lentilles, haricots rouges, pois chiches, fèves, pois cassés).
D'après les conclusions, les végétariens semblent être en meilleure santé que les personnes consommant de la viande, et ce indépendamment de l'âge, du poids, du tabagisme et de leur niveau de consommation d'alcool. Ces résultats ont été présentés au Congrès européen sur l'obésité (ECO).
Les véganes tuent des plantes et des bactéries pour vivre, certes, mais n'ayant pas recours aux intermédiaires que sont les filières animales, leurs nutriments sont principalement issus des producteurs primaires, c'est-à-dire des organismes qui captent et stockent l'énergie solaire par photosynthèse.
Le risque de carence protéique est donc faible, surtout en variant les plats. De plus, le régime végétarien participe à une meilleure santé : une diminution des risques d'obésité, de maladies cardiovasculaires, de cancer et de diabète de type 2. En revanche, le taux de fer des végétariens est souvent trop bas.
Le mauvais moment. Que vous soyez végan, végétarien ou omnivore, l'heure à laquelle vous consommez votre repas a un impact important sur la prise ou la perte de poids. Manger le plat le plus important de la journée au moment le moins actif, le soir, peut favoriser les kilos en trop.
Dans l'hexagone, le rapport à l'alimentation est particulier, prenant une dimension sociale. Le repas à heure fixe n'est pas mort, loin de là. Les Français semblent même réprouver le grignotage. Le « repas gastronomique des Français » est inscrit au patrimoine immatériel de l'humanité.
Le pesco-végétarien élimine la viande rouge et la volaille de son alimentation, mais il mange du poisson et des produits de la mer. C'est une alimentation plutôt courante. Plusieurs personnes l'adoptent parce qu'il s'agit d'un régime un peu plus permissif que le végétarisme.
Le vegan ne veut contribuer en rien à l'exploitation des animaux. Il ne mange ni poisson, ni viande, ni produit laitier et aucun de leurs dérivés. A travers ses revendications le végan ne souhaite pas améliorer l'élevage mais le détruire (il ne faut pas tuer ni exploiter l'animal).
Les véganes ne consomment aucun produit d'origine animale et militent contre toute forme d'exploitation des animaux. Cependant, le mode de vie végane, qui rejette notamment l'élevage paysan, n'implique pas automatiquement des considérations écolos.
Végétalisme et véganisme, même combat ? Oui et non. Dans les deux cas, l'alimentation ne contient plus aucun produit issu de l'exploitation animale. En clair : viandes, poissons, coquillages, crustacés, œufs, produits laitiers et miel – frais ou transformés – sont totalement exclus.
Echangez ces viandes que vous aimez moins par quelque chose que vous appréciez comme des légumes supplémentaires, des légumineuses (seitan, tofu, etc.) ou des oeufs. L'objectif est de vous habituer à consommer des aliments qui vous plaisent et que vous pourriez à terme manger tous les jours.
Le régime végétarien consiste à exclure de son alimentation toutes les chaires animales, c'est-à-dire la viande et la charcuterie ainsi que le poisson et les fruits de mer. Les aliments issus de la production animale, tels que les produits laitiers, les œufs et le miel sont autorisés.
Privilégiant essentiellement les végétaux et les céréales, ce mode alimentaire exclut les produits animaux exceptés leurs dérivés (oeuf, lait, crème, beurre...). Les végétariens revendiquent une hygiène de vie basée sur une éthique rigoureuse qui respecte la vie animale.
Contrairement à un végétalien, le végétarien peut consommer des œufs et du lait. Ces aliments possèdent des protéines animales et permettent de compléter les protéines végétales. Ainsi, en mangeant des œufs, des laitages, des céréales et des légumineuses, le corps à tout ce qui lui faut pour construire du muscle.
Céréales (AAE limitant : la lysine) + légumineuses (AAE limitant : AA soufrés, mais riche en lysine) Oléagineux + céréales (absence de 2 AAE soufrés) Céréales et/ou légumineuses + algues (présence des 8 AAE) Légumes riches en lysine (petits pois, choux, champignons, haricots verts...)