Un bébé qui ne fait pas ses nuits, en dessous de 3 mois, est quelque chose de tout à fait normal. Eh oui ! Quand ils naissent, les bébés conservent le même rythme qu'ils avaient dans le ventre de leur maman. Ils n'ont pas la notion du jour ou de la nuit.
Il est possible qu'il soit actuellement dans une période dite de “régression”. Derrière ce mot, se cache un comportement tout naturel dû à des périodes de changements ou de stress. Votre bébé grandit, il apprend à gérer son horloge biologique et découvre le stress et l'angoisse de s'endormir seul.
Trouble du sommeil de bébé/enfant, qui consulter ? Lorsque notre enfant rencontre des troubles du sommeil (problème d'endormissement, terreurs nocturnes, réveils fréquents, etc.), la première personne vers qui se tourner sera le pédiatre ou le médecin de famille.
Quand faut-il intervenir ? Dans les premiers mois de la vie, les pleurs d'un enfant doivent être soulagés le plus rapidement possible, car ils témoignent généralement d'un état d'insécurité émotionnelle. À cet âge-là, les enfants n'utilisent pas les pleurs comme un moyen de pression sur leurs parents.
Un endormissement autonome
Cela peut se faire tout doucement dès les premières semaines en couchant bébé dans son lit quand il est somnolent. Puis en le couchant parfaitement éveillé (vers deux ou trois mois bébé devrait en être capable) et en le laissant s'endormir seul.
Entre 6 et 12 mois, tous les bébés font leurs nuits.
De vraies et longues nuits, entre 8 et 12 heures. Environ 15 % des enfants ne dorment pas des nuits complètes après 6 mois.
Si vous pouvez déposer votre bébé dans son lit quand il est réveillé, partir de la chambre et que bébé s'endort sans aide de votre part ni tétine, alors lorsqu'il se réveille la nuit, il y a plus de chance que ce soit la faim, ou bien l'habitude.
Vers l'âge de 6 mois, quand votre bébé commence à manger des aliments, offrez-lui de l'eau en petites quantités à la fois.
Effectivement, le syndrome de KiSS est un blocage de la jonction crânio-cervicale, c'est à dire de la première articulation entre la base du crâne et la première vertèbre cervicale. Cette dysfonction articulaire a pour conséquence, une adaptation posturale de l'ensemble du corps.
Si maintenant l'enfant est inquiet, il peut se réveiller complètement et rester éveillé pendant tout un cycle soit une à deux heures. Il peut également crier et pleurer pour appeler ses parents. Dans tous les cas, il faut le rassurer.
1/ Il a faim
Vous savez, les pics de croissance ou simplement une fringale… A quoi bon le laisser hurler sous prétexte que ce n'est pas l'heure ? Une tétée ou un petit biberon de rab, jusque quelques centilitres pour l'apaiser, cela vaut vraiment le coup d'essayer !
Le hoquet se déclenche lorsque le diaphragme de votre enfant se contracte par petits coups secs ou qu'il a des spasmes à cause d'une irritation. Le diaphragme est un muscle en forme de dôme qui se détend et se contracte en rythme pour aider votre bébé à respirer.
De 6 à 12 mois : bébé fait (presque) ses nuits
Vers l'âge de 8 ou 9 mois, il peut dormir de 6 à 12 heures par nuit sans se réveiller pour réclamer à manger.
A partir de quel âge un enfant peut être capricieux ? On situe cet âge critique aux environs des 18 mois. Avant cet âge, un bébé pleure uniquement par besoin ; il peut avoir faim, froid ou avoir besoin d'être rassuré ou changé, par exemple. On ne parle de caprices qu'aux alentours des 2 ans.
Une fois atteint le poids approprié, généralement entre 5 et 6 kg, il est possible d'enchaîner les cycles de sommeil pendant 10 à 12 heures de suite. En règle générale, on peut s'attendre à ce que bébé ait besoin d'être nourri la nuit jusqu'à ce qu'il ait entre 12 et 16 semaines.
Des problèmes de sommeil – par exemple un bébé qui se réveille dès qu'on le pose et en pleurant – peuvent cacher un problème de digestion : cela peut être le signe qu'il souffre de reflux. Aussi, pensez à bien lui faire faire le rot, surtout si vous lui donnez un biberon.
Il est normal que bébé bouge en dormant, et il n'est généralement pas nécessaire d'intervenir. Par moments, il peut bouger beaucoup, faire des mimiques, pleurnicher, grogner. C'est ce qu'on appelle le « sommeil agité » et c'est une phase tout à fait normale du sommeil.
Il arrive même que certains bébés rient pendant leur sommeil. Tout comme le sourire aux anges du nouveau-né, ce rire intervient au cours des phases de sommeil paradoxal (ou sommeil agité), qui sont très importantes chez le petit enfant. Elles permettent une activité neuronale intense malgré un relâchement musculaire.
« Parce qu'on peut l'utiliser chez les plus jeunes, avant 4 mois », explique Evelyne Martello, qui rappelle que la méthode du 5-10-15 convient à des enfants à partir de 4 à 6 mois, et jusqu'à 18 mois environ.
Laisser pleurer un nouveau-né, des conséquences graves
D'après une étude du département de psychologie de l'université de Notre-Dame aux États-Unis, laisser un bébé pleurer sans chercher à le consoler aurait des conséquences négatives pour sa santé et pourrait entraîner des problèmes d'anxiété à l'âge adulte.
Si bébé porte ses mains à sa bouche, cherche le sein ou le biberon, il a probablement faim. Vous reconnaîtrez ces pleurs, qui sont souvent rythmiques et peuvent sembler intenses. Plus un bébé est jeune, plus il y a de chances pour qu'il ait faim, puisque son estomac est encore tout petit.
Utiliser du bruit blanc pendant les siestes. Cela peut aider bébé à enchaîner un autre cycle de sommeil et faire une sieste plus longue ! Essayer de rendormir votre bébé à la fin d'un cycle en le berçant, en lui redonnant sa tétine, en le câlinant, en lui susurrant des mots doux.