Pour le corps humain, le sucre c'est comme l'essence dans une voiture, c'est l'énergie qui nous permet de vivre et fait marcher notre cerveau. Il est donc nécessaire de continuer à manger des aliments contenant du sucre quand on est diabétique.
Cela implique que le glucose dans le sang ne peut pas être synthétisé par les cellules - en raison d'un manque d'insuline ou d'une résistance à l'insuline. Le corps ne peut donc pas métaboliser la nourriture que l'on mange en énergie. Ce manque d'énergie entraîne alors une augmentation de la faim.
On pense souvent à tort que le sucre provoque le diabète. Ce n'est pas le cas. La véritable cause est plutôt liée à l'insuline, ou plutôt à son absence. On parle de deux formes de diabète : le diabète de type 1 ou de type 2.
L'hypoglycémie du diabétique
Le cerveau ne reçoit alors plus suffisamment de sucre pour fonctionner et des symptômes tels que fatigue, sueurs, fringale, tremblements, malaise, convulsions… apparaissent. Avec l'expérience, le patient diabétique reconnaît ces prémices annonciateurs d'une crise d'hypoglycémie.
Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1). Les changements rapides de niveau de glucose pendant la nuit peuvent provoquer des réveils nocturnes, facteurs d'insomnie.
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
Si le glucose dans le sang demeure trop souvent élevé avec le temps, cela a un impact dommageable sur plusieurs organes du corps, principalement : les reins (néphropathie) les yeux (rétinopathie) le système neurologique (neuropathie)
Si l'insuline est en quantité insuffisante ou si elle est inefficace, le sucre s'accumule dans le sang et la glycémie augmente de façon excessive : c'est l'hyperglycémie. En l'absence de traitement, cette hyperglycémie se maintient à un niveau trop élevé : c'est l'hyperglycémie chronique qui définit le diabète.
L'hyperglycémie se définit par une glycémie (taux de sucre dans le sang) au-delà des valeurs cibles pour la majorité des personnes diabétiques, soit : au-dessus de 7 mmol/L, à jeun ou avant un repas. au-dessus de 10 mmol/L, deux heures après le début d'un repas.
Une fatigue permanente
Le sucre ne peut plus assurer son rôle de source d'énergie chez le diabétique, il en résulte un état de fatigue intense même au repos. Cela résulte des hypoglycémies qui sont fréquentes. D'où l'importance de contrôler son taux de glycémie régulièrement lorsqu'on est diabétique.
Une pizza affecte le taux de sucre dans le sang d'un patient diabétique de type 1 pendant plus de huit heures, nécessitant un apport lent et régulier d'insuline pour maintenir un taux de sucre optimal , montre une étude américaine. L'équipe du Dr Robert A.
Le pain grillé et les biscottes sont à exclure de votre alimentation car leur index glycémique est très fort.
Ça arrive à tout le monde. Mais quand ce comportement se répète régulièrement et qu'on se sent impuissante devant la nourriture, on parle alors d'hyperphagie boulimique. Il s'agit d'un trouble alimentaire.
La libération du glucose par le foie : sans apport nutritionnel pendant au moins 8h, le foie libère du glucose dans le sang, ce qui provoque une hyperglycémie. Cela explique que chez certaines personnes, une hyperglycémie est observée le matin à jeun, même si aucun repas n'a été pris entretemps.
« Le fait d'avoir un tour de taille élevé n'est pas une maladie en soi mais il est associé à d'autres anomalies, comme un excès de triglycérides, un faible taux de bon cholestérol, une tension artérielle et une glycémie qui commencent à augmenter.
L'étude a mis en évidence trois principaux problèmes émotionnels causés par la vie avec le diabète : la dysphorie, l'anxiété et l'irritabilité. La dysphorie se manifeste par des sentiments d'insatisfaction, d'apathie, de perte d'intérêt, de malaise et de tristesse.
Si le taux de sucre dans le sang se normalise, les personnes atteintes souffrent souvent d'une « déchirure » et ne peuvent se souvenir de leur comportement agressif, voire violent.
Les personnes diabétiques ont un risque de complications au niveau des pieds. Elles peuvent être dues à une mauvaise circulation du sang dans les artères des membres inférieurs. Elles sont aussi favorisées par une diminution de la sensibilité au niveau des pieds.
Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Le diabète de type 1, généralement appelé simplement diabète, était déjà identifié comme une affection associée à une « urine sucrée »: une glycémie élevée (hyperglycémie) conduit à la libération de sucre en excès dans l'urine, d'où provient l'expression « urine sucrée ».
le diabète et l'obésité! Contrairement à ce que veulent nous faire croire les marques qui produisent des boissons allégées, elles sont loin d'être meilleures pour la santé. Elles favoriseraient même certaines maladies, voire l'obésité…
Les complications à long terme du diabète de type 1
Lorsqu'elle persiste plusieurs années, une concentration élevée de sucre dans le sang provoque des complications particulières. Ce type de complications est essentiellement observé chez les adultes après plusieurs années de diabète.
Les personnes diabétiques ont un risque plus élevé d'artériopathie des membres inférieurs. Cette complication est due à la présence de plaques d'athérome, dépôt principalement formé de cholestérol, dans les artères, gênant la circulation du sang.