Certains enfants, en opposition au maître, refusent de lui faire plaisir, ne travaillent donc pas. D'autres trouvent trop difficiles les consignes passées et s'enferment dans du refus.
La plupart du temps, les élèves qui éprouvent des difficultés en classe luttent parce qu'ils n'ont pas confiance en eux. Soyez encourageant et dites toujours aux élèves que vous savez qu'ils peuvent le faire. Vos encouragements constants peuvent être tout ce dont ils ont besoin pour persévérer.
Il peut s'agir d'un ensemble de facteurs qui s'accumulent, comme un manque de confiance en soi, un déménagement récent ou une mauvaise entente avec un élève. Voici les causes les plus courantes. L'enfant vit difficilement le fait d'être séparé de ses parents.
Il se peut même qu'un élève qui ne semble pas motivé éprouve en fait des difficultés à apprendre et ait besoin d'une attention particulière. Bien que la motivation scolaire puisse être une tâche difficile à accomplir pour l'enseignant, les récompenses en valent largement la peine.
Définissez des limites raisonnables
L'établissement de limites concrètes aide les jeunes à savoir comment faire face à la frustration. Cela leur apprend également à reconnaître jusqu'où ils peuvent aller. Les limites doivent être claires, ne pas exiger plus ou moins.
Des résonances transgénérationnelles. Une fois le caractère stéréotypant de l'affirmation déconstruite, il reste en effet que certains jeunes n'expriment aucun souhait d'entrer dans la vie professionnelle, se désintéressent de leur avenir quand ils ne rejettent pas le monde du travail dans son ensemble.
Posez vos limites et soyez clair : demandez-lui sans détour si son souhait est que vous n'interveniez plus ou si, au contraire il a besoin d'aide, voire de soutien extérieur, pour remonter la pente. Mettez-le au pied du mur. Il n'est pas question de ne plus l'accompagner, mais de le mettre face à ses responsabilités.
Ne rien faire, résister aux choses qu'on leur demande leur donne l'impression d'avoir le dernier mot. Vu sous cet angle, on ne gagne rien à gronder son enfant et à le traiter de paresseux. Une telle attitude, en effet, ne peut qu'augmenter sa volonté de vous résister.
Comment Inciter Son Enfant à Travailler ? Dans un premier temps, verbalisez. Portez de l'intérêt à ses occupations, à ce qu'il réalise à l'école, ce qu'il aime et ce qu'il aimerait. Montrez-lui que ce qu'il fait vous intéresse lorsqu'il n'est pas à la maison, et instaurez un dialogue avec votre enfant.
Soyez positive
Pour aider quelqu'un à retrouver sa motivation, il est essentiel de l'encourager afin de renforcer sa confiance en lui. Soyez attentive, et faites-lui remarquer ses petits succès. Sans tomber dans la flatterie, n'hésitez pas à souligner ses qualités.
Elève "en difficulté" ou élève "en échec"
Même si la notion d'échec est toujours relative, ce terme est habituellement appliqué à un élève qui a accumulé un important retard dans les domaines scolaires. Ainsi, l'enfant qui possède un niveau CP en lecture et se trouve au CM est considéré en échec à l'école.
Le préalable indispensable à tout apprentissage réussi est la motivation de l'enfant. Sans elle, il existe de nombreux moyens de "contraindre" l'enfant à apprendre, mais il s'agit alors de bourrage de crâne sans signification pour lui. Un enfant qui ne veut pas apprendre n'apprendra pas ou mal.
Changer la pédagogie
L'objectif d'acquisition par tous les élèves du socle commun de connaissances, de compétences et de culture à l'issue de la scolarité obligatoire réclame le renforcement de la priorité donnée à l'école primaire, et la poursuite de l'effort en cours dans l'éducation prioritaire.
Les quatre principaux indicateurs de la motivation scolaire sont : le choix, la persévérance, l'engagement et la performance. Ces indicateurs, contrairement aux sources de la motivation qui déterminent le niveau de motivation de l'élève, sont des conséquences de la motivation (2).
En outre, un élève-acteur de ses apprentissages doit être à l'origine de l'action : ainsi n'est-il pas le simple exécutant d'une démarche préconçue par l'enseignant, mais bien celui qui choisit des situations d'enseignements adaptées à son profil, à son niveau, à ses intérêts, mais également à son envie de réussir.
La motivation est, dans un organisme vivant, la composante ou le processus qui règle son engagement pour une activité précise. Elle en détermine le déclenchement dans une certaine direction avec l'intensité souhaitée et en assure la prolongation jusqu'à l'aboutissement ou l'interruption.
La première chose à faire avec lui, c'est de revoir son organisation ; plutôt que d'imposer vos propres règles, essayez de voir avec lui comment il voit les choses. Peut-être que les devoirs, c'est trop ! Peut-être a-t-il trop d'activités.
Proposez-lui d'apprendre de manière ludique
Comme mettre du sens dans ce qu'il apprend, étudier en s'amusant est un moyen de le motiver et de l'aider à canaliser son attention. Le jeu peut en effet devenir un outil pour l'apprentissage, et même parfois un moyen de mémorisation pour le "par cœur".
Peur de travailler : réactions à adopter
Ce stress peut être transformé en quelque chose d'utile et en signal d'alarme d'une situation qui ne convient pas. Il peut s'agir d'un problème d'orientation professionnelle, de place dans l'entreprise, ou bien d'un manque de confiance en soi.