Une situation difficile, comme une séparation, un deuil, un déménagement ou l'arrivée d'un autre enfant. Un événement vécu difficilement par l'enfant peut aggraver la période d'opposition normale et se transformer en trouble d'opposition. Certains traits de personnalité.
D'après la théorie du pédiatre et psychanalyste anglais Donald Winnicott, appuyée par d'autres travaux de recherche, les causes des troubles du comportement pourraient être dues à une carence affective, éducative, sociale ou à un traumatisme dans la petite enfance.
Dans la mesure du possible, appliquer l'ignorance intentionnelle. Donner le plus d'attention positive possible. Relever les bons coups de l'enfant, souligner les efforts qu'il faits, lui dire que vous êtes fière de lui lorsque son comportement est adéquat. Éviter de dire « non ».
Chaque consigne se transforme en bataille, toute règle est une incitation à désobéir, même les compliments sont mal reçus ? Qui sont ces « petits chevaux sauvages » qui, à l'instar de SPIRIT (le personnage du film de Dreamworks) s'opposent à toute autorité ?
Un problème neurologique.
Les experts estiment que le TDAH non diagnostiqué est très souvent une cause du trouble de l'opposition. D'autres problèmes présents dès la naissance, comme un trouble du spectre de l'autisme ou le syndrome de Gilles de La Tourette, peuvent aussi être responsables du comportement de l'enfant.
Elle se termine généralement autour de trois ans. Durant cette phase, comme lors de la crise d'adolescence, l'enfant se sépare de ses parents et gagne en autonomie. Mais heureusement, les parents bénéficient d'une longue accalmie entre les deux crises ! »
Le tout-petit désobéit aussi parfois parce qu'il veut vérifier si sa conduite est celle qui est attendue. Il peut aussi désobéir pour voir s'il est vraiment surveillé. De plus, le tout-petit a besoin de s'affirmer pour faire sa place et être autonome. Il s'agit d'ailleurs d'une étape normale de son développement.
Ils font partie de son développement psychologique. Ils représentent la possibilité de tester, avec l'emploi de mots interdits, les limites de ses parents. S'il est inutile de dramatiser, il est indispensable de lui dire que cela ne se fait pas, qu'il est nécessaire de s'excuser.
il évite de voir sa famille et ses amis; il a perdu de l'intérêt pour des activités qu'il aimait; il frappe ou intimide les autres ou essaie de se blesser volontairement; il est obsédé par son poids ou, au contraire, néglige son apparence.
Le médecin de votre enfant peut vous aider à savoir si son comportement est normal pour son âge, si ses impulsions sont causées par le stress qu'il vit ou s'il souffre d'un trouble du comportement. Si vous lui demandez, le médecin vous suggérera le traitement à suivre.
afin qu'il acquiert le vocabulaire de ses émotions. C'est tout un apprentissage qui se fait tout au long de l'enfance. Quand un enfant entre dans un cercle d'agressivité et qu'il est méchant en permanence, c'est un signe qu'il a quelque chose à dire.
“Les mots que tu prononces doivent avoir de la valeur, c'est important. Il faut aussi respecter la personne à qui tu t'adresses.” “Si une insulte t'échappe, la Terre continuera de tourner, mais trouver une autre façon de t'exprimer doit être un défi pour toi.”
Placer des limites
Il faut faire savoir à son enfant que les gros mots peuvent blesser et qu'il ne faut plus les refaire. Si un enfant insulte, il ne faut pas en rire car il va croire que cela se fait. Il faut le punir pour qu'il comprenne que les insultes et les actes agressifs ne sont pas convenables.
Employez plutôt la technique très efficace du 1, 2, 3 (on ne demande les choses que 3 fois, la dernière sonnant la sanction). Elle permet de préparer l'enfant et de lui laisser le temps de se mettre en mouvement. Vous lui donnez comme ça une petite chance d'obéir.
Exemples : Réparer ce qu'on a cassé, remettre en place ce qu'on a dérangé, nettoyer ce qu'on a sali. Ou bien supprimer une heure de la prochaine sortie si l'ado est rentré une heure en retard sur l'horaire prévu. Chacun juge de ce qui est important dans le cadre familial.
Le diagnostic repose sur l'anamnèse. Le traitement repose sur la psychothérapie individuelle associée à une thérapie familiale (incluant la personne ayant la charge de l'enfant). Parfois, des médicaments peuvent être utilisés pour réduire l'irritabilité.
Les causes de l'agressivité
Un enfant agressif peut l'être parce qu'il se sent rejeté, en manque d'attention. L'arrivée d'un bébé dans la famille, par exemple, peut être source d'angoisse et de frustration. Il peut dès lors développer de la colère et adopter un comportement qui attirera l'attention sur lui.
L'agressivité est un comportement courant chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. L'entourage en est souvent ébranlé. Que faut-il savoir sur ce mode d'expression agressif ?
Il peut y avoir des causes médicales (par exemple des effets secondaires d'un médicament), des causes physiques (douleur ou inconfort physique), des causes cognitives (une difficulté à parler ou exprimer sa pensée), des causes émotionnelles (sentiments de perte, d'insécurité, d'abandon ou encore d'angoisse), des causes ...
L'agression physique est une réponse à un sentiment de frustration que l'enfant utilise pour faire respecter sa volonté. Parfois, il se montre agressif envers sa maman, parce que c'est la personne la plus proche, et en laquelle il a le plus confiance.
Des signes précoces ? Avant de chercher l'origine de la psychopathie, il faut savoir que ce trouble de la personnalité n'est constaté que chez les adultes, lorsque justement la personnalité est définitive. Il n'existe donc pas de "psychopathes" adolescents et enfants.
Pourquoi fait-il ça ? Il arrive à l'âge où il prend conscience de son individualité, il sait qu'il ne pense pas toujours comme ses parents ou comme les autres adultes, il cherche à former sa propre personnalité en vous montrant qu'il ne suit pas vos règles.