chaque fourchette est différente et possède une forme (plus ou moins longue et large) et un nombre de dents distinct (de 2 à 4). On trouve par exemple la fourchette à poisson avec trois dents larges qui permettent d'éviter de piquer la chair du poisson, très fragile.
La fourchette à poisson se différencie des autres fourchettes notamment par le nombre de dents qu'elle possède, et par ses lignes particulières. Nous pourrons constater que la fourchette à poisson possède seulement trois dents et qu'elle est dotée de contours arrondis à la différence d'une fourchette classique.
On est passé alors des deux dents du Moyen-Âge et de la Renaissance, à trois dents, puis à quatre, de manière à permettre à la fourchette de piquer, mais aussi de ramasser la nourriture avant de la porter à la bouche, un peu comme on le fait avec la cuiller.
On trouve les premières traces de l'objet à Constantinople, vers 350, puis au XIe siècle, à Venise, dans la dot d'une princesse byzantine. En France, c'est Catherine de Médicis qui en apporte dans ses bagages, en 1533, et fait connaître la fourchette – en or – à la cour.
sent mauvais. est excessivement molle. comporte des irrégularités voir des trous (un peu comme « mangée » par des vers) dans les cas sévères, la lacune médiane est ouverte en deux et remonte jusqu'au talon on parle alors d'infection profonde de la fourchette.
Fouchette 8 x 2,5 cm. Cette petite fourchette complètera les couverts à table, et ce couvert pourra servir à piquer le fromage, pour la dégustation d'un dessert ou pour piquer un fruit, et les aliments dans une assiette.
Étymologie. Le mot cuillère provient du latin impérial cochlearium (même sens), dérivé de cochlear (même sens), lui-même dérivé de cochlea (« escargot, coquille d'escargot »).
Une habitude dont l'origine remonte au Moyen Age, pour une raison pratique. A cette époque, les commerçants utilisaient fréquemment le chiffre 12 comme base de calcul. Il s'agit en effet du nombre de phalanges que l'on peut compter avec le pouce sur les quatre autres doigts de la main.
Comme la fourchette était un ustensile d'assistance au couteau et que ce dernier était déjà fermement tenu dans la main droite, les gens étaient obligés de diriger la fourchette avec leur main gauche. C'est pour cette raison que la fourchette était alors posée sur le côté gauche de l'assiette.
Début du XVIe siècle, certaines personnes trouvaient que l'alimentation par les doigts n'était pas très hygiénique donc a imaginé qu'une fourchette pouvait exister. Au départ, elle a été inventée à Venise, exclusivement réservée à la noblesse ou en tout cas à la haute société.
- Les couverts à poisson sont toujours très appréciés aujourd'hui, par leur forme élégante et très caractéristique. Le couteau à poisson n'a pas vocation à couper, mais uniquement à séparer délicatement la chair tendre du poisson.
Les couteaux des hommes de Neandertal ont été les premiers outils de l'humanité. La matière première : Les hommes de Neandertal utilisaient le silex trouvé à la surface du sol.
la fourchette doit se situer à gauche de l'assiette. "À la française", les dents sont dirigées vers la table, le couteau, en céramique ou en inox, se place à droite, lame tournée vers l'assiette, la cuillère à soupe, dont la partie bombée est tournée vers le haut, doit se trouver à côté du couteau.
Les fourchettes à gauche de l'assiette
Lorsqu'un filet délicat de saumon est servi, une fourchette à poisson s'impose. Elle est placée à l'extrême gauche, puisqu'elle est utilisée en première pour l'entrée. La fourchette pour le plat de résistance se trouve à sa droite juste à côté de l'assiette.
Appelée couramment « cuitochette » (ou « fourcheyère »), elle adopte la forme de pelle d'une cuillère et les trois ou quatre pointes d'une fourchette.
Si les oeufs sont vendus par douzaine, on demande une demi-douzaine, ça veut dire un demi-carton. Il est plus vite de diviser à deux une unité connue que de compter les oeufs individuels.
« C'est une tradition, depuis le Moyen Âge, qui viendrait du fait que les marchands comptaient avec leurs mains. Plus précisément, sur une main, ils utilisaient le pouce et comptaient les phalanges des quatre autres doigts, soit douze phalanges. À partir de là, la douzaine est devenue une unité de mesure.
Cette habitude remonte au… Moyen-Âge ! Et oui, à cette époque les commerçants utilisaient leur main pour compter et c'est naturellement le nombre 12 (comme le nombre de phalanges) qui a servi de base de calcul ; un nombre qui avait l'avantage d'être facilement divisible, par 6, 4, 3 et 2.
Les petits gâteaux secs n'ont pas toujours été une gourmandise du goûter. Le terme «biscuit» a en effet pour origine un mode de préparation employé avant les longues traversées en mer, au Moyen Age. Il est formé de «bis» et de «cuit», soit «cuit deux fois».
Le mot boudoir vient de bouder qui signifie se mettre à l'écart.
Étymologie. Dérivé de cuit , avec le préfixe bis- (« deux fois »), il s'agit d'une réfection tardive et savante de l'ancien mot bescuit.
Il est permis de supposer que cette double nouveauté, pouvoir piquer délicatement mais aussi prendre les aliments dans le creux de la fourchette, incite à les porter directement à la bouche. Il devient ainsi, peu à peu, plus simple de manger avec une fourchette qu'avec les doigts.
Les couverts pour le service du fromage.
Si le couteau sert à la coupe, la fourchette est indispensable pour le service. Idéalement, un fromage se découpe avec un couteau passé à l'eau chaude puis essuyé.
Plus petite, plus arrondie, elle se distingue par ses trois dents. Parfois elle n'a même que deux courtes dents. L'un des bords extérieurs est tranchant pour couper le pied des huîtres.