Dessiner sur soi-même une
Il reste le signe d'affirmation des chrétiens orthodoxes et catholiques lorsqu'ils le font sur eux. Pour les catholiques, ce geste, répété au cours de chaque messe, équivaut à une profession de foi qui symbolise leur appartenance au « corps du Christ » qu'est l'Église.
Pour les alchimistes, la branche verticale, dressée, symbolise le principe masculin, et la branche horizontale, couchée, le principe féminin; leur conjonction est signe de vie 1. Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l'époque du Christ et a une valeur universelle.
La Bible raconte qu'il serait tombé à de nombreuses reprises, souffrant trop du poids de son fardeau. C'est en référence au Christ et à sa Passion que l'on utilise cette expression, "porter sa croix", qui signifie que l'on supporte des épreuves difficiles avec patience lorsque l'on ne peut y remédier.
Une croix est donnée à une personne lors du rite du baptême. Selon les lois de l'église, il faut le porter constamment sans l'enlever. Dans le même temps, une croix est un élément plutôt intime, qui ne doit pas être affiché. Par conséquent, il est suggéré que les gens le portent sous les vêtements.
PORTE-CROIX, subst. masc. A. − Personne qui porte la croix devant le pape ou un grand personnage de l'Église, ou dans une procession.
L'homme qui porte la croix dans les évangiles
dans l'évangile selon Luc : « Comme ils l'emmenaient, ils mirent la main sur un certain Simon de Cyrène qui revenait des champs, et le chargèrent de la croix pour la porter derrière Jésus » (Luc).
L'expression porter sa croix signifie « endurer, supporter, avec une forme de résignation, les épreuves ou les moments difficiles de la vie, qu'on ne peut ni prévoir ni éviter ». On trouve aussi une variante de cette expression sous la forme d'un proverbe : chacun porte sa croix .
Définition "renoncer à soi-même"
Cesser d'agir pour satisfaire ses intérêts égoïstes.
Il est placé chez Matthieu dans la finale du discours missionnaire : « Qui aura trouvé sa vie la perdra, et qui aura perdu sa vie à cause de moi la trouvera » (Mt 10, 39).
ORIGINE DU SIGNE DE CROIX
À l'origine, bien des siècles avant Jésus, on a l' habitude en terre d'Israël de tracer sur le front un signe de bénédiction divine en forme de +, ancienne graphie du tav, la dernière lettre de l'alphabet hébraïque désignant le T de Torah.
Elle symbolise bien entendu la mort, mais aussi l'ironie de la religion, et une certaine beauté. Ceux qui la portent à l'endroit la prennent simplement comme une "critique". Ceux qui la portent à l'envers sont à la base des "révoltés", les anti-religieux, ceux qui sont agressifs vis-a-vis des croyances chrétiennes.
La présence de Trois Croix au sommet du Rocher semble attestée depuis la nuit des temps, puisque leur origine, selon la légende locale, remonterait à la mort du Christ.
Crucifix est un terme issu du latin ecclésiastique du XII e siècle crucifixus, participe passé du verbe crucifigere, qui signifie « fixer sur une croix ». Un crucifix est donc une croix supportant une statuette de Jésus-Christ dans la posture de la crucifixion.
Selon une tradition chrétienne qui remonte à la fin du IV e siècle, c'est la mère de l'empereur Constantin Ier , l'impératrice Hélène, qui aurait découvert la Croix de Jésus ainsi que celles des deux larrons, lors d'un pèlerinage en Palestine entrepris en 326.
renoncer
1. Se désister du droit qu'on a sur quelque chose, ne pas vouloir l'accepter : Renoncer à une succession. 2. Abandonner quelque chose, s'en dessaisir : Il ne veut à aucun prix renoncer à son indépendance.
Elle doit être accrochée au dessus, ou à proximité immédiate de la porte d'entrée de votre demeure. Émettrice d'ondes positives, elle vous protège de celles et ceux qui, en venant chez vous, ne sont pas forcément porteurs de bons sentiments.
Vivre un calvaire signifie subir une lourde épreuve physique ou morale. Cette expression fait référence au lieu où le Christ fut crucifié et mourut après de longues souffrances : une colline voisine de Jérusalem, nommée Golgotha ou Calvaire. « Golgotha » signifie en hébreu « le lieu du Crâne ».
Alors Pilate, voyant qu'il allait provoquer une émeute, abandonna Jésus à la foule, se lava les mains devant celle-ci et déclara : "Je suis innocent du sang de ce juste, vous, vous y aviserez" ; ce qui signifiait que le sort du Christ lui était égal, et qu'il se dégageait de toute responsabilité.
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? (Mc 15,34 et Mt 27,46) crié « à voix forte » en araméen Eloï, Eloï, lama sabbaqthani ? (Ps 22:2) Souffrance suprême du sentiment d'abandon : la nuit obscure de l'homme Jésus, qui pourtant cite un psaume qui s'achève sur la réhabilitation du juste – et la mort survient à ...
Dans les Évangiles
La descente de croix a lieu le soir de la Crucifixion et Joseph d'Arimathie demande à Ponce Pilate l'autorisation d'emporter le corps de Jésus. Ponce Pilate, étonné que la mort soit arrivée si vite, demande la confirmation à Longin le Centurion qui perça le côté droit de Jésus avec la Sainte Lance.
Le Carême s'ouvre avec la célébration du mercredi des Cendres, qui peut tomber n'importe quel mercredi entre le 4 février et le 10 mars, en fonction de la date de Pâques.
Jésus, fatigué du voyage, était assis au bord du puits. C'était environ la sixième heure. Une femme de Samarie vint puiser de l'eau. Jésus lui dit : “ Donne-moi à boire ”.
Simon le Cananéen ou Simon le Zélote (de l'hébreu שִׁמְעוֹן Shiemone), est un Juif du I er siècle et l'un des douze apôtres de Jésus-Christ. Il est un apôtre, à ne pas confondre avec le disciple Simon le Magicien qui lui aussi devint chrétien (Actes 8, 9-13).